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Pierre Rabhi - Terre

Pierre Rabhi - Terre

Jardin partagé Le sens de l'’humus Créée au printemps 2006, l’association Le Sens de l’Humus est le fruit de la rencontre quelques mois plus tôt d’une vingtaine de personnes désireuses de se former et d’expérimenter un certain nombre de méthodes d’agriculture biologique. Le projet est né initialement de la lecture de deux textes, l’un de Claude Bourguignon, microbiologiste des sols, paru sur Passerelle éco, l’autre, de John Jeavons, intitulé "Sens de l’humus", publié par Kokopelli. L’association obtient pour ses travaux un terrain dans le secteur des murs à pêches de Montreuil, terrain prêté par la Ville. Un premier projet, soutenu par le Fonds Social Européen, débute en juillet 2006, et a permis de salarier trois personnes jusque fin 2007. Le projet consiste en : - La création d’un jardin expérimental et éducatif, d’inspiration permaculturale, où sont évaluées les différentes méthodes de jardinage biologique existantes et les techniques d’amélioration du sol à partir de divers amendements. —Nous contacter ?

NOTRE TERRE MERE | L'ESSENCE DE L'ECOLOGIE, UNE FACON D'ETRE ET DE PENSER, EN HARMONIE AVEC LA NATURE ET SOI-MEME. Sahaja Yoga France, Méditation & Développement personnel [Site Officiel] Intelligence Verte: Agriculture biologique, Formation bio, Travailler autrement Le manifeste de l’arpent nourricier : l’arpent nourricier L’agriculture per­son­nelle est dé­con­si­dé­rée par l’image dé­for­mée qu’on a de l’activité pay­sanne et par l’image idéa­li­sée qu’on a du mo­dèle in­dus­triel. Je veux mon­trer ici com­ment une micro-agriculture de per­sonnes libres, s’appuyant sur des pra­tiques agraires nou­velles très éco­nomes en la­beur, peut consti­tuer le socle d’un mo­dèle d’organisation éco­no­mique du­rable, ro­buste, et sou­hai­table. Cette ana­lyse re­prend un grand nombre de bases je­tées il y a res­pec­ti­ve­ment 80 ans et 40 ans par Ralph Bor­sodi et Ivan Illich. An­cien régime Il y a trois cents ans, presque chaque fa­mille ti­rait sa sub­sis­tance de la terre. Même le for­ge­ron ou le po­tier avaient leur lo­pin, ce qui leur per­met­tait de va­rier leur ac­ti­vité tout en pour­voyant aux be­soins vi­taux des siens quelles que soient les fluc­tua­tions dans le re­venu de leur art. Les pra­tiques agraires étaient ru­di­men­taires. La fausse image de l’efficacité industrielle Ro­bus­tesse et paix

Ferme du Bec Hellouin - Eco-cente du Bec Hellouin

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