Entreprises et numérique, la nouvelle donne - Le Blog de 15marches 1. Le tout-à-l’écran (dématérialisation) La technologie envahit nos vies, avec notre complicité active. Alors que la fracture numérique se résorbe chez les particuliers, les “écrans” remplacent les objets de la vie quotidienne. Leur capacité à faire converger d’autres outils semble sans limite. Démocratisés dans la sphère personnelle, ils s’invitent désormais dans la sphère professionnelle. Standardisation des interfaces ne signifie pas standardisation des usages. L’accès aux biens et services se dématérialise. 2. L’internaute n’est pas un consommateur qui pousse un chariot dans votre magasin. Avoir un site web ne doit pas faire perdre de vue les fondamentaux de la relation-client : les consommateurs préfèrent les solutions simples et rapides. Si vous imposez à vos clients autant ou plus de formalités sur le web que “dans la vraie vie”, vous êtes à la merci d’un concurrent plus habile et moins exigeant. Il ne suffit pas de sous-traiter votre site web à un bonne agence. 3. 4.
Les pratiques culturelles à l'ère numérique La réalisation en 2008 d’une nouvelle enquête Pratiques culturelles des Français 1, plus de dix ans après celle de 1997, est l’occasion de faire le point sur les profondes mutations qu’ont connues récemment les conditions d’accès à la culture avec l’essor de la culture numérique et de l’internet. La diffusion extrêmement rapide de l’ordinateur et de l’internet dans les foyers, qui constitue à l’évidence le phénomène le plus marquant de la dernière décennie, ne doit pas être isolée du mouvement général d’enrichissement du parc audiovisuel domestique à l’œuvre depuis le début des années soixante. La montée en puissance de la culture d’écran Cette évolution a définitivement consacré les écrans comme support privilégié de nos rapports à la culture, tout en accentuant la porosité entre culture, distraction et communication. Les jeunes et les milieux favorisés ont été les premiers bénéficiaires des diverses opportunités offertes. La lecture d’imprimés toujours en recul Septembre 2010
Données personnelles : la chute de confiance Orange fait du respect de la vie privée de ses abonnés et de la sécurité de leurs données personnelles son nouveau cheval de bataille pour vendre ses services, en particulier d'hébergement. Mais il reste encore un gros travail de conviction à réaliser, qui n'est pas seulement dû au vol de données dont les abonnés d'Orange ont été victimes le mois dernier. L'opérateur a fait réaliser une étude par le cabinet britannique Loudhouse, auprès de 2 028 personnes dont 506 en France. Ainsi, 29 % des sondés disent faire moins confiance aux entreprises qu'il y a un an. Interrogés pour savoir à qui ils faisaient le plus confiance pour protéger leurs données personnelles, les sondés ont répondu majoritairement qu'il s'agissait des banques et autres institutions financières (51 %). Institutions financières : 51% Opérateurs de téléphonie mobile : 41% Fabricants de terminaux : 41% Fournisseurs de services Internet : 41% Développeurs d’applications : 24% Réseaux sociaux : 20%
La ville numérique : quels enjeux pour demain La ville numérique est en vogue et rares sont les municipalités et autres collectivités publiques qui ne se soient lancées, aujourd’hui, dans des actions visant à favoriser et diffuser l’usage des technologies de l’information et de la communication (TIC) dans leurs circonscriptions. Ces initiatives témoignent de la poussée de l’omniprésence des réseaux numériques dans la vie quotidienne des citadins qui modifie fortement l’accès aux services et aux ressources de la ville. L’internet, les smartphones et les divers assistants numériques que manipulent la plupart des individus sont devenus aujourd’hui, et seront encore plus demain, des vecteurs essentiels de communication et de socialisation. Il faut en convenir, les TIC et les réseaux numériques sont de plus en plus « encastrés » dans les modes de vie et représentent désormais aussi une composante de premier plan du fonctionnement de l’infrastructure environnementale et urbaine. Un cyberespace public ? Faut-il s’en inquiéter ?
Le travail et les territoires Taux d’équipement des 12 ans et plus en 2012 Contre respectivement57 %pour les portables et17 %pour les smartphones en 2011COMMUNIQUER, S’INFORMER, TRAVAILLER EN SITUATIONDE MOBILITÉ65%des 3.000 Français interrogésqui possèdent un smartphone sont connectésdurant leur trajet domicile - travail/école. Des salariésfranciliens sedisentintéressés parle télétravail Taux de satisfactionparmi les télétravailleurs,manageurs et employeursde 20 grands groupesfrançais De la population activefrançaise pratique letélétravail au moins unejournée par semaine 72% des actifs Français interrogéspar Regus considèrent les em-bouteillages et les métros bondéscomme la plus grande nuisanceliée à leurs trajets professionnels. Persée Export des références bibliographiques Différentes options sont à votre disposition : exporter un fichier BibText ou exporter directement la référence dans RefWorks, ProCite et EndNote notamment (RIS). Cette fonctionnalité est accessible dès le sommaire du numéro de la revue et elle accompagne chaque article. Il vous suffit de cliquer sur "Exporter cette référence bibliographique". Les utilisateurs de Zotero peuvent accéder directement aux références bibliographiques des articles via cette extension de Firefox. Référencement croisé Persée adhère à CrossRef et attribue un DOI (Digital Object Identifier) à tous les articles scientifiques diffusés. Cette fonctionnalité est accessible dès le sommaire du numéro de la revue et elle accompagne chaque article. Pour plus d'information, consultez la rubrique DOI & CrossRef sur le portail Persée. Archivage pérenne L'ensemble des revues présentes sur le portail Persée est en cours d'archivage.
L'économie collaborative s'invente en France : gardons notre avance Consommation collaborative, production distribuée, finance participative, éducation et savoir ouverts: ces mouvements nés de la rencontre de l'innovation numérique et sociale sont les piliers d'une nouvelle économie : l'économie collaborative dont la France est pionnière. Consommation collaborative, production distribuée, finance participative, éducation et savoir ouverts. Ces mouvements nés de la rencontre de l'innovation numérique et sociale sont les piliers d'une nouvelle économie : l'économie collaborative. La France est un pays pionnier en la matière. « Ce n'est pas une crise, c'est un changement de monde », prophétisait le philosophe Michel Serres. Alors que la banque Lehman Brothers s'effondrait et emportait l'ancien monde dans sa chute, quelques poignées d'enthousiastes anonymes, éparpillés un peu partout entre l'Europe et les États-Unis, commençaient à expérimenter des façons inédites de consommer, fabriquer et échanger. 1. 2. 3.
Les révolutions de l’open data Un débat peut en cacher un autre. La question des données numériques en est un bon exemple : elle est au coeur de plusieurs discussions qui s’enchevêtrent sans se confondre. Chaque jour, de gigantesques masses de données transitent sur Internet. Nous-mêmes, nous en produisons constamment, lors de chacune de nos connexions ou de nos transactions. Ces données ont une valeur, et cette valeur croît vertigineusement à mesure que se développe l’informatique des « Big Data », qui permet d’analyser ces flux. Cela pose plusieurs questions. Analyse« Créer un bien public » Le mouvement d’« open government », lancé aux États-Unis par des acteurs et penseurs du numérique avant d’être relayé par l’administration Obama, gagne la France. HistoireRetour sur l’ouverture des données publiques Le terme d’open data s’est d’abord appliqué aux données scientifiques, que les différentes institutions de recherche étaient appelées à partager davantage. Télécharger le dossier dans son intégralité en cliquant ici
L’économie collaborative au service du territoire Les pratiques collaboratives se multiplient. © Marion Boulay La consommation collaborative : un levier de mutation pour des territoires durables Un simple système économique permettrait de redessiner nos territoires ? Pour ce qui est de l’économie collaborative on n’est pas loin de pouvoir l’affirmer. La consommation collaborative, quels bénéfices pour la ville ? Le design : un élément essentiel pour faciliter les échanges Quelles motivations pour consommer autrement ? La consommation collaborative a encore besoin de convaincre pour recueillir l’adhésion du grand public. Les interactions humaines : un potentiel de richesses pour le territoire Marie Westeel a créé un concept store dédié à la promotion de l’entreprenariat local. La consommation collaborative nous pousse également à repenser notre rapport à l’autre. Par Marion Boulay, Marie Westeel, étudiantes en 5ème année à l’Ecole de design Nantes Atlantique option Mutations du cadre bâti, et Zélia Darnault, enseignante
La smart city s’impose tranquillement dans les municipales La Gazette des communes s'est penchée sur le très en vogue terme de «smart cities» ou villes intelligentes. Il est vrai que les grandes villes françaises veulent toutes en être: Anne Hidalgo a annoncé qu’un milliard d’euros, sur les 8,5 milliards d’investissements prévus sur six ans, serait consacré dans son programme à la «ville durable et intelligente». Le Monde écrivait par ailleurs fin février que «depuis quelques années, Lyon s'investit […] dans cette notion émergente de “ville intelligente”». publicité Le projet expérimental IssyGrid, mené par Issy-les-Moulineaux avec plusieurs grands groupes dont Microsoft, était à l’honneur des TechDays de Microsoft qui se sont tenus en février. Lyon, Lille et Nantes seraient selon un classement les villes les plus smart de France. Mais si le terme s’impose dans l’urbanisme, le concept n’est certes pas neuf et «les cités n’étaient pas “bêtes” avant», rappelle La Gazette des communes: À lire aussi sur Slate.fr
Les promesses à double tranchant de la ville intelligente La smart city, c’est le beurre et l’argent du beurre, en théorie : une gestion plus efficiente et démocratique au bénéfice des usagers et de la collectivité. Toutefois cette théorie demande à passer le cap de l’épreuve. Faute d’avoir toujours le recul pour soupeser en connaissance de cause avantages et inconvénients, certaines limites sont déjà cernées. cet article fait partie du dossier Smart city : les clés de la ville intelligente La smart city, ou ville intelligente, regorge de promesses qui varient selon son promoteur et la définition qu’il a de l’intelligence : un Cisco ne va pas toujours mettre en avant les mêmes avantages qu’un sociologue qui interroge cette notion très marketée. Ecologie - La smart city permettrait d’améliorer la qualité environnementale, grâce à un recours intensif aux smart grids – réseaux intelligents – bardés de capteurs renvoyant des quantités de données/informations qui sont analysées. Risques liés à la sécurité - Performance de l’e-administration -