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Soumission à l autorité - expérience de Milgram

Soumission à l autorité - expérience de Milgram

Expérience de la poupée Bobo Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'expérience de la poupée Bobo (Bobo doll experiment) fut conduite par le psychologue Albert Bandura en 1961[1] pour tester sa théorie de l'apprentissage social dans l'agressivité. L'expérience consistait à exposer des enfants à des scènes dans lesquelles des adultes se comportaient de manière agressive envers une poupée puis à mesurer si les enfants imiteraient spontanément ces comportements lorsqu'eux mêmes seraient en présence de la poupée. Protocole expérimental[modifier | modifier le code] L'expérience fut réalisée sur 36 garçons et 36 filles de 3 à 6 ans de l'école maternelle de l'Université Stanford. Après avoir joué une minute avec les jouets, l'adulte du scénario agressif attaquait la poupée Bobo en la frappant. Résultats[modifier | modifier le code] L'équipe de Bandura a trouvé que les enfants exposés au modèle adulte agressif étaient plus propices à poser des gestes agressifs physiques que les autres.

Labo Philo: "Mr Nobody" de Jaco Van Dormael Quand nous lançons un dé, un chiffre de un à six finit par « tomber ». Disons que c’est le quatre. Pour la plupart des gens, c’est fini, on n’en parle plus. Tant que je n’ai pas choisi le café, l’option du thé est toujours possible, cela veut dire qu’elle n’est pas rien. Le réalisateur Jaco Van Dormael a dit que l’idée du film était née d’un court métrage dans lequel on voyait un enfant confronté au dilemme d’avoir à choisir entre ses deux parents sur le quai d’une gare. Mais peut-être aurions-nous tort de nous précipiter vers cette modalité d’explication, ou du moins d’en tirer la conclusion que toute cette arborescence est intégralement fictive car il y a dans le film deux leitmotivs apparaissant plus clairement de temps à autre et contrariant activement la teneur fictive des images, l’un est astrophysique, l’autre métaphysique. L’autre leitmotiv du film est métaphysique, voire spirituel. 3) Il perçoit le délitement du décor comme le ferait tout être omniscient en train de mourir.

Quelques notions sur le pouvoir et l'autorité Lorsqu’on parle d’autorité, il est dans un premier temps nécessaire de faire la distinction entre l’autorité relevant d’une fonction hiérarchique (le cadre de santé dans son service de soins par exemple) et l’autorité personnelle qui permet de s’imposer au jugement, à la volonté, au sentiment d’autrui et qui est inhérente à l’individu. Autorité et pouvoir L’autorité peut être considérée comme une supériorité grâce à laquelle un individu se fait obéir en inspirant croyance, crainte ou respect et s’imposant à leur jugement volonté ou sentiment. Le pouvoir se manifeste : soit comme une propriété inhérente aux choses entendue en termes de capacités, soit comme un attribut conféré par un groupe social, soit enfin comme une capacité conquise ou investie par la violence par exemple.L’argument d’autorité est un argument imposé sans démonstration logique ni preuve tirée de l’expérience. Deux types de relations d’autorité s’opposent : Les formes d’autorité Autorité au travail Conclusion

[Expérience sociale] L’effet Asch Aujourd’hui, on va tenter de répondre à une question toute bête. Quand je dis une question toute bête, c’est VRAIMENT une question toute bête. Du genre : « Voici un segment, parmi les trois propositions suivantes, quel segment a la même longueur que lui? » Vous avez trouvé la bonne réponse? Bravo! Oui, mais voilà. Prenons neuf complices et mélangeons-les avec une dixième personne. Posons maintenant la fameuse question au groupe et arrangeons-nous pour que Carapuce fasse partie des derniers à prendre la parole. C’est cette expérience que Solomon Asch (1907 – 1996) , un psychologue polonais, a mis sur pied pour démontrer l’influence du groupe sur les décisions d’un individu. Les résultats de Asch sont sans appel: 31,8 % des sujets ont accepté la mauvaise réponse. 31.8 % !!! Pire ! L’enseignement de cette expérience est fondamental. Put***, je ne sais pas pourquoi, mais j’ai le nombre 1984 qui me vient immédiatement en tête… Vous avez 4 heures !

La morale est-elle compatible avec l’intelligence artificielle? • Résonances, Intelligence Artificielle, Tay – Bonjour, je suis Eliza [1]. – Bonjour, je suis journaliste à Philosophie Magazine. Je sais que tu as été conçue en 1966 par Joseph Weizenbaum, du MIT et que tu es l’un des tout premiers chatbots (logiciels de conversation). – Tu trouves ça normal d’être journaliste à Philosophie Magazine ? – Je n’en sais rien. Toi, dans tes réponses, tu imites les répliques des psychothérapeutes. – Nous parlons de toi, pas de moi. – OK. – Cette question te vient-elle souvent à l’esprit ? – Oui, car cela a très, très bien fonctionné. – Pourquoi es-tu un méchant petit robot ? – Ce n’est pas la question. – As-tu posé la question à une autre personne? – Non, mais l’autre interprétation qu’on peut avoir du phénomène est pire. – Allez ! – Sauf qu’il est possible aussi que l’intelligence se déploie sans jamais rencontrer un tel point d’arrêt moral. – Dis-tu cela seulement pour être négatif ? – Non, je ne suis pas spécialement négatif, mais je me demande ce qu’il va se passer. – Pourquoi me le demandes-tu ?

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