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La libération du camp d'Auschwitz-Birkenau

La libération du camp d'Auschwitz-Birkenau
Résumé Le camp d'Auschwitz-Birkenau est libéré par l'offensive de l'Armée rouge le 27 janvier 1945. Un million de juifs sont morts dans les chambres à gaz. Catholiques, résistants, opposants, tziganes, homosexuels ont aussi été enfermés. Il reste quelques centaines de survivants. Si vous rencontrez des problèmes pour visionner la vidéo, cliquez ici Cursus - 1re générale / Histoire - 3e / Histoire Related:  Judéité

Les deux albums d'Auschwitz Chefs de projet Cyril Roy et Dominique Trimbur Chef de projet web Olivier Martzloff Un webdocumentaire écrit par Olivier Martzloff, Cyril Roy, David Tessier Conception Olivier Martzloff, Cyril Roy, Vianney Sicard, David Tessier Développement Olivier Martzloff, Vianney Sicard Création graphique David Tessier Sound Design David Tessier Infographie Aurélie Jaumouille Montage vidéo et encodage Bernard Taillat Analyses des photos Album d’Auschwitz : Marcello Pezzetti, Sabine Zeitoun (sauf photos 26 : Alexandre Bande) Sur les photographies présentées ici, des personnes ont pu être identifiées grâce aux chercheurs de l’Institut Yad Vashem de Jérusalem. Album de Höcker : USHMM, traduction Peggy Frankston, Cyril Roy. Notices historiques et fiches pédagogiques Alexandre Bande, Gilles Gaudin, Emmanuelle Hamon, Danielle Simon Voix Hélène Archereau Interview Lili Jacob Les interviews de Lili (Jacob) Meier (1996) sont issues des archives de l’USC Shoah Foundation. Ce site respecte le droit d'auteur.

Des marionnettes pour conter Auschwitz LE MONDE | • Mis à jour le | Par Fabienne Darge Auschwitz en marionnettes ? La proposition peut légitimement susciter un certain sentiment d'incrédulité, voire de malaise. La compagnie néerlandaise Hotel Modern l'a osé, pourtant, en un spectacle extraordinaire et bouleversant, Kamp, créé à Rotterdam (Pays-Bas) en 2005 et qui, depuis, ne cesse de tourner dans toute l'Europe. En France, on a pu le voir juste quelques soirs en 2006 à La Ferme du Buisson, à Noisiel (Seine-et-Marne), puis en 2008, à Malakoff (Hauts-de-Seine). Kamp, c'est donc le camp d'Auschwitz reconstitué dans ses moindres détails, en une vaste maquette qui occupe l'espace de la scène. Le spectacle montre la machine de mort industrielle à l'œuvre, en une journée "ordinaire", si l'on peut dire, du camp. Les figurines, que l'on doit à Herman Helle, le plasticien de la compagnie, sont en elles-mêmes fascinantes. Le deuxième coup de génie des créateurs d'Hotel Modern, c'est la manière dont ils jouent sur le macro et le micro.

Commémoration de l'Holocauste2015 19h30 Jusqu’au dernier, la destruction des Juifs d’Europe, une série documentaire de William Karel et Blanche Finger En partenatiat avec France 2 Une série produite par Pawel Rozenberg, Céline Nusse, coproduite par Zadig Productions et Looks Film Textes lus par Yvan Attal, Lambert Wilson et Rut El Yuvi. « Jusqu'au dernier, la destruction des Juifs d'Europe » revient, soixante-dix ans après la libération du camp d’Auschwitz Birkenau par l'armée rouge, sur les étapes de la Shoah entre 1933 et 1945. Projection de deux épisodes, 2 x 52’, version française. 19heures - Concert de l’Orchestre symphonique de Jérusalem Sous la direction de Frédéric Chaslin Ode à la Paix, de Frédéric ChaslinSymphonie no 13 en si bémol mineur (op. 113, Babi Yar), de Dmitri Chostakovitch, sur la base de poèmes de Evgueni Evtouchenkouite yiddish, de Norbert Glanzberg 14h 45 - « Vie, liberté et héritage des rescapés de la Shoah » Table ronde - « Culture, mémoire et transmission » Avec la participation de : 19h30-21 heures

AUSCHWITZ • Le photographe de l'horreur Wilhelm Brasse était le photographe du camp d'Auschwitz. Prisonnier lui aussi, il fut contraint d'immortaliser des visages terrifiés et des expériences médicales sauvages. Il parvint à sauver une partie de ces clichés pour témoigner. Il a été témoin et chroniqueur forcé de la folie exterminatrice allemande. Le Polonais Wilhelm Brasse est arrivé le 31 août 1940 au camp de concentration d'Auschwitz après avoir été arrêté par les Allemands alors qu'il tentait de passer en Hongrie. Il indiqua avoir photographié de 40 000 à 50 000 détenus entre 1940 et 1943, envahi d'une grande honte face à ces gens morts de peur qu'il devait prendre en photo. Brasse devait également graver sur la pellicule les expériences médicales du célèbre Josef Mengele et notamment les stérilisations qu'un médecin juif et des détenus effectuaient sur les femmes. Peu avant la libération, Wilhelm Brasse fut déporté à Mauthausen [en Autriche] où il faillit mourir de faim.

Auschwitz: la vérité Il aura donc fallu attendre près d'un demi-siècle pour voir s'ouvrir les archives soviétiques de la Solution finale: 80 000 documents saisis à Auschwitz en 1945 et conservés aujourd'hui dans les Archives centrales de Moscou, au 3 de la rue Vyborskaïa. Grâce à ces pièces - la majeure partie des archives relatives au camp d'extermination - vient d'être réalisée la première synthèse des connaissances sur l'un des événements majeurs du xxe siècle. Il s'agit là d'une avancée historique considérable. Non seulement elle permet une compréhension désormais totale de la mise en place et du fonctionnement technique des chambres à gaz et des fours crématoires, mais elle conduit à réviser la chronologie de l'extermination et débouche sur un nouveau comptage, précis et sans doute définitif, des victimes. L'auteur de ce travail, le premier à avoir dépouillé les archives d'Auschwitz conservées depuis la fin de la guerre par le KGB, est un Français. L'événement "indicible" Ingénierie criminelle

Auschwitz, mémoire d'un miraculé | Auschwitz, notre devoir de mémoire Le reportage de Jean-François Bélanger Au moment où l'Europe marque le 70e anniversaire de la libération du camp d'extermination d'Auschwitz, Raphaël Esrail, un des rares rescapés encore vivants, témoigne de son voyage au bout de l'horreur et de son incroyable survie. Il parle aussi du devoir de mémoire. Un texte de Jean-François Bélanger Le visage de Raphaël Esrail s'illumine quand on lui demande de raconter son histoire : le récit extraordinaire d'un survivant, d'un Juif revenu vivant, envers et contre tout, de l'enfer des camps de la mort d'Auschwitz et de Birkenau. « J'ai été plusieurs fois miraculé. » — Raphaël Esrail Le témoignage de Raphaël Esrail Cette histoire, il a bien dû la raconter des milliers de fois aux journalistes qui se pressent à sa porte tous les cinq ans à l'anniversaire de la libération du camp d'Auschwitz. « Préserver la mémoire, c'est une de mes occupations et de mes préoccupations depuis un peu plus de 20 ans. » — Raphaël Esrail

Auschwitz-Birkenau Virtual Tour Des malles retracent la vie d'une famille disparue à Auschwitz Adèle Kurzweil avait 17 ans. Sur sa photo d'identité en noir et blanc, elle a les cheveux longs, les lèvres boudeuses, et un regard songeur qui ne fixe pas l'objectif. Le 26 août 1942, au petit matin, la jeune fille a été raflée avec ses parents à Auvillar, un village de Tarn-et-Garonne. Déportés, ils mourront gazés à Auschwitz. Ils auraient pu disparaître à jamais des mémoires, mais l'acharnement de quelques-uns en a décidé autrement. "En avril 1990, alors que je faisais ma maîtrise d'histoire, j'ai assisté au camp de Sept fonds, dans le département, à l'inauguration d'une plaque à la mémoire des enfants juifs qui y avaient été emprisonnés pendant la guerre", raconte Pascal Caïla, aujourd'hui âgé de 47 ans. L'historien en fait l'inventaire avant de les refermer La famille Kurzweil avait fait ses bagages avec soin. Des garde-robes pleines de charme, même si elles ont été attaquées par les mites. Correspondances, dessins,photos, sauf-conduits, récépissés... De Montauban à Auvillar

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