Commémoration de l'Holocauste2015 19h30 Jusqu’au dernier, la destruction des Juifs d’Europe, une série documentaire de William Karel et Blanche Finger En partenatiat avec France 2 Une série produite par Pawel Rozenberg, Céline Nusse, coproduite par Zadig Productions et Looks Film Textes lus par Yvan Attal, Lambert Wilson et Rut El Yuvi. « Jusqu'au dernier, la destruction des Juifs d'Europe » revient, soixante-dix ans après la libération du camp d’Auschwitz Birkenau par l'armée rouge, sur les étapes de la Shoah entre 1933 et 1945. Projection de deux épisodes, 2 x 52’, version française. 19heures - Concert de l’Orchestre symphonique de Jérusalem Sous la direction de Frédéric Chaslin Ode à la Paix, de Frédéric ChaslinSymphonie no 13 en si bémol mineur (op. 113, Babi Yar), de Dmitri Chostakovitch, sur la base de poèmes de Evgueni Evtouchenkouite yiddish, de Norbert Glanzberg 14h 45 - « Vie, liberté et héritage des rescapés de la Shoah » Table ronde - « Culture, mémoire et transmission » Avec la participation de : 19h30-21 heures
Auschwitz, mémoire d'un miraculé | Auschwitz, notre devoir de mémoire Le reportage de Jean-François Bélanger Au moment où l'Europe marque le 70e anniversaire de la libération du camp d'extermination d'Auschwitz, Raphaël Esrail, un des rares rescapés encore vivants, témoigne de son voyage au bout de l'horreur et de son incroyable survie. Il parle aussi du devoir de mémoire. Un texte de Jean-François Bélanger Le visage de Raphaël Esrail s'illumine quand on lui demande de raconter son histoire : le récit extraordinaire d'un survivant, d'un Juif revenu vivant, envers et contre tout, de l'enfer des camps de la mort d'Auschwitz et de Birkenau. « J'ai été plusieurs fois miraculé. » — Raphaël Esrail Le témoignage de Raphaël Esrail Cette histoire, il a bien dû la raconter des milliers de fois aux journalistes qui se pressent à sa porte tous les cinq ans à l'anniversaire de la libération du camp d'Auschwitz. « Préserver la mémoire, c'est une de mes occupations et de mes préoccupations depuis un peu plus de 20 ans. » — Raphaël Esrail
Bienvenue à « Auschwitzland » | Auschwitz, notre devoir de mémoire Auschwitz, notre devoir de mémoire Comment éviter que le camp de concentration d'Auschwitz ne soit qu'une étape, parmi d'autres, d'un circuit touristique? Toute visite à Auschwitz laisse sa marque. Une profonde douleur, un sentiment de révolte devant une aussi ingénieuse machine à éliminer des humains. Un texte de Raymond Saint-Pierre Je m'y étais rendu il y a 20 ans, avec le réalisateur Georges Amar pour le 50e anniversaire de la libération du camp d'Auschwitz. Vingt ans plus tard, bien des gens se demandent si on n'est pas en train de dénaturer ce lieu de mémoire. Le journaliste Konstanty Gebert, que j'ai interviewé lors de mon passage en Pologne, en a long à dire sur le sujet. « Tu entres sur les lieux au péril de ton âme. Écoutez les témoignages du journaliste Konstanty Gebert et du père Patrick Desbois Plusieurs, dans ce qui reste de la communauté juive polonaise, débattent de ce qu'il faut faire pour préserver ce lieu, dont les constructions en bois sont usées par le temps.
Eric Schwab, photographing the unspeakable By Yves Gacon A prisoner dying of dysentery at Buchenwald concentation camp, as it was liberated in April 1945 (AFP Photo / Eric Schwab) PARIS, February 13, 2015 - It comes down to a few dozen pictures by Eric Schwab, preserved in the Agence France-Presse archives. An insignificant number in a photographic fund of more than 30 million digital documents and seven million analog files. One of the first photographers to work for the modern-day AFP, founded in 1944 as France was freed from Nazi occupation, Eric Schwab was among the very first witnesses to the boundless horror that Allied forces uncovered as they advanced into Germany, liberating the death camps one after the other. Schwab formed a partnership with the American writer and journalist Meyer Levin, travelling together into the darkness on board their jeep “Spirit of Alpena”. The gate of Buchenwald camp, with the words 'Jedem das seine' (To each what he deserves) (AFP Photo / Eric Schwab) “We had known. (AFP Photo / Eric Schwab)
70 ans plus tard, Auschwitz porte encore les traces de l'horreur Le camp de concentration et d'extermination d'Auschwitz constitue un passage difficile, mais un chemin obligé pour qui ne veut pas oublier l'abomination de l'Holocauste. Visite d'Auschwitz I et de Birkenau, deux des principales sections du camp de la mort. Un photoreportage de Melanie Julien Bien que l'on soit tous au courant de ces horreurs, ce n'est que sur place qu'on peut en mesurer l'ampleur. Marcher dans ce camp nous atteint en plein coeur. Melanie Julien « Le travail rend libre », peut-on lire sur cette enseigne à l'entrée du camp, par où arrivaient les déportés. Melanie Julien La baraque de la mort abritait les prisonnières sélectionnées par les SS.
Auschwitz Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Auschwitz-Birkenau ou plus simplement Auschwitz (en allemand : Konzentrationslager Auschwitz Ce camp de concentration, dirigé par les SS, est créé le par Heinrich Himmler[1]et libéré par l'Armée rouge le . En cinq années, plus de 1,1 million d'hommes, de femmes et d'enfants meurent à Auschwitz, dont 900 000 immédiatement à la sortie des trains qui les y transportaient. 90 % de ces personnes étaient juives. En raison de sa taille, Auschwitz est considéré comme le symbole des meurtres de masse commis par les nazis et plus particulièrement comme celui de la Shoah, au cours duquel près de six millions de juifs furent assassinés. Comme les autres camps de concentration nazis, Auschwitz était sous les ordres de Heinrich Himmler et de la SS. Monument historique et culturel majeur qui contribue au « devoir de mémoire », Auschwitz est inscrit depuis 1979 (3e session du Comité du patrimoine mondial) au patrimoine mondial en Pologne de l'UNESCO.
La brochure de l’UNESCO Pourquoi enseigner l’Holocauste ? La brochure de l’UNESCO Pourquoi enseigner l’Holocauste ? permet aux responsables politiques, éducateurs et élèves intéressés d’explorer le potentiel pédagogique inhérent à l’apprentissage de l’une des pages les plus sombres de notre histoire commune. Elle met en relief les questions universelles posées par l’histoire de l’Holocauste, présente aux éducateurs quelques-uns des principaux défis et possibilités associés à l’enseignement du génocide et donne un aperçu de la variété des ressources disponibles dans le domaine. Élaborée par le Secteur de l’éducation de l’UNESCO, la brochure est disponible dans les six langues officielles des Nations Unies : anglais, arabe, français, chinois espagnol et russe <- retour vers Toutes les actualités
Histoire des persécutions des Juifs de l'Antiquité au Moyen Âge Capétiens, le temps des bûchers, des exils et des spoliations "Dans la mesure où l’origine du christianisme remonte aux communautés juives du Moyen-Orient, l’attitude de l’Église vis-à-vis des Juifs a longtemps été indécise. Mais à partir des Croisades, les Juifs sont considérés comme des Infidèles, et persécutés dans toute l’Europe. Le statut des juifs est celui de citoyens de second ordre : obligés de vivre dans des ghettos, ils n’ont pas droit de séjour permanent dans les villes,et les seules activités auxquelles ils ont accès sont le commerce, le col-portage et le prêt sur intérêt, ce qui aggrave encore le ressentiment à leur égard. La France connaît deux espaces géographiques emblématiques de la présence de la culture juive, l’une au nord-est abritait les communautés des Tzarfatim (ashkénaze) et au sud-est les Juifs de Provence. En mai 1096, environ 800 juifs sont tués à Worms (Allemagne), et d'autres choisissent le suicide. En 1144 - «La Diffamation du sang». 3. En 1390. (...)