Célébrer son consommateur : l'exemple de Procter & Gamble Le géant des PGC Procter & Gamble relance sa campagne à succès « Thank You, Mom » à l’occasion des JO d’hiver. Une campagne conçue autour d’un axe : célébrer la valeur de ses consommateurs. Une nouvelle version de la campagne pour les JO d’hiver A près d’un mois de l’ouverture des Jeux Olympiques d’hiver de Sotchi, Procter & Gamble vient de dévoiler sa nouvelle publicité intitulée “Pick Them Back Up”. Elle dépeint la manière dont les mères soutiennent leurs enfants tout au long de leur vie, les aidant à se relever et les incitant à recommencer après chaque chute ou chaque échec – jusqu’à devenir des athlètes olympiques. Diffusée à l’occasion des retransmissions des Jeux Olympiques de Sotchi, ce nouvel « épisode » de la campagne publicitaire « Thank You, Mom » sera mis à l’antenne aux Etats-Unis, au Canada, en Russie, en Allemagne et en Pologne. Procter & Gamble : une campagne qui a fait ses preuves Célébrer et valoriser son consommateur Pourquoi les mamans ?
Le comportement du consommateur. Joël Brée Dossier | Génération "social media" : les marques cherchent leur voix Dans Les nouveaux Bovary: génération Facebook, l'illusion de vivre autrement, son ouvrage paru chez Pearson fin août 2012, Georges Lewi, mythologue et spécialiste des marques, passe en revue les générations actuelles: de la génération "silencieuse", née dans les années 1930, à la génération Bovary, née après 1990. Entre les deux, les baby-boomers, puis la génération X, née après 1960, et la Y, née vers 1975. Toutes se connectent aujourd'hui à Internet, avec plus ou moins d'assiduité et de dépendance. Confrontées aux générations du social média, les marques doivent caler leurs stratégies pour nourrir le désir de dialogue et tenter de contenir les réactions intempestives, qu'elles soient fondées ou non. Le défi à relever est immense. La connexion rompt l'isolement. Marque emblématique de l'habillement, Blancheporte réalise 40 % de son chiffre d'affaires via son site d'e-commerce. " L'activité du site a cru de 10 % entre 2011 et 2012. Les "digital mums", branchées mais pas accros
Dossier | Les urbains et la consommation collaborative Favorisées par l'essor d'Internet et du Web 2.0, les pratiques dites de consommation collaborative se sont multipliées et intensifiées au cours des dernières années. Locations entre particuliers, achats groupés, troc, partage de biens ou de services : autant de pratiques qui se répandent dans la société française, et notamment dans ses grandes villes. Pour mieux comprendre l'émergence et le sens de ces nouveaux modes de consommation, Iligo a choisi d'interroger un échantillon représentatif d'urbains(*). Comment les urbains perçoivent-ils la consommation collaborative ? Quelles motivations, quelles valeurs fondent, selon eux, ces pratiques ? Parmi les différentes pratiques dites de consommation collaborative, quelles sont celles qui suscitent le plus l'intérêt des urbains ? Des urbains majoritairement intéressés par les achats groupés de produits alimentaires, les vide-dressing ou encore le covoiturage 63% des urbains manifestent quant à eux leur intérêt pour le covoiturage.
Dossier | INTERVIEW - Elizabeth Pastore-Reiss : la consommation responsable Cela fait plus de dix ans que vous militez pour un marketing éthique et durable. qu'est-ce qui vous anime ? Elizabeth Pastore-Reiss: J'ai envie d'être utile, d'aider les entreprises et les associations à créer de la valeur pour tous. Ethicity accompagne donc les entreprises dans leur stratégie de développement durable. Quel a été le principal accélérateur pendant ces dix ans ? Il y a eu plusieurs leviers. Avant les années deux mille, les pionniers étaient surtout des associations - comme Max Havelaar - et quelques entreprises nées de concepts novateurs, autour de personnes engagées et de grandes entreprises (Danone, Lafarge). Parmi les autres leviers incitatifs vis-à-vis des entreprises, il ne faut pas oublier les mesures du Grenelle de l'environnement: réduction des émissions de gaz à effet de serre, tri des déchets, réduction des consommations d'énergie. Qu'est ce qui a fait changer les consommateurs ? Le développement de l'offre, tout d'abord. Le passage a l'acte est votre leitmotiv ?
Dossier | Consommation : les cinq signaux forts de GfK "Au-delà de simples tendances, il s'agit d'anticiper les implications de ces nouveaux ancrages sur les marques elles-mêmes, et de pouvoir accompagner les gestionnaires de marques dans leur démarches d'innovation et de communication sur les deux/trois ans à venir", résume Anne Lerner, directrice de la division Consumer de GfK. À la lumière de différentes études quantitatives et qualitatives menées en 2012 pour le compte de nombreuses marques de grande consommation, GfK Consumer Experiences décrypte les marqueurs signifiants de la consommation. L'institut révèle ainsi cinq signaux forts qui peuvent inspirer les réflexions stratégiques actuelles des acteurs de la grande consommation pour définir et affiner leur offre et leur territoire de communication. Contradiction ? Quelle contradiction ? Aux marques qui s'efforceraient à la conciliation des extrêmes, nous répondons : surtout pas ! L'amour des beaux objets Le commentaire d'Anne Lerner : "Le beau fait vendre. La féminité expressionniste
Dossier | INFOGRAPHIE - Les six grands profils de consommateurs L'étude Leo Burnett PeopleShop identifie notamment six grands "profils" de shoppers, basés sur des attitudes et motivations d'achat différentes : les Shoppers Economes, les Shoppers Routiniers, les Shoppers Stratèges, les Shoppers Qualité, les Shoppers Passionnés et les Shoppers Opportunistes. A chaque catégorie de produits étudiée, on constate ainsi bien souvent la domination d'un, voire deux profils shoppers. Source : Etude PeopleShop de Leo Burnett, septembre 2012
Dossier | Un consommateur de plus en plus caméléon Le consommateur revient de loin. Pendant les Trente Glorieuses, il consomme par plaisir et l'objet de sa convoitise le valorise. Au cours des années soixante-dix, il montre les premiers signes de rejet de la société de consommation. Durant les années quatre-vingt, il plonge en apnée dans le "bling bling". Dans "l'ère du vide", conceptualisée par Lipovetsky, le consommateur narcissique se noie dans le clinquant et les signes extérieurs de richesse. "Le sujet, expose l'auteur, est maître de ses envies mais sans forcément répondre aux stimulations de l'hyper consommation, car il est à la fois déçu par la stagnation de son pouvoir d'achat, en proie à des ruptures dans sa sphère privée et angoissé car il se sent mal protégé." Un âge adulte de la consommation Le consommateur, héritier d'un demi-siècle d'apprentissage, devient adulte. Avec le Web 2.0 et la démocratisation du numérique, le consommateur devient digital. C'est le graal des annonceurs! S'adapter aux consommateurs pauvres
Les comportements d'achat du nouveau consommateur, un défi pour les marques Les fondements de cette nouvelle ère ? Un consommateur malin, éduqué, dont le parcours d’achat commence souvent en ligne, pour finir dans un magasin physique. Un consommateur qui, avant d’accéder au produit, synchronisera sa réflexion sur du multi-device : PC, Mobile, Tablette, médias classiques, articles de presse, bouche à oreille… avis consommateurs. Un nuage de sources qu’il maîtrise, lui rendant clair cette dimension multicanal, et….opaque pour le marqueteur.Ainsi, en dépit de ces faits, le consommateur s’est retrouvé en périphérie des réflexions marketing des marques, dont les efforts se sont concentrés sur les stratégies produits «push» on-line. Nouveaux comportements d’achat =Multiplicité de points de contact Internet a bel et bien révolutionné les habitudes des internautes : ces derniers utilisent le Web pour se renseigner, comparer les prix, lire les avis sur les forums de consommateurs, et, passée l’euphorie, trouver le point de vente le plus proche.