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Végéphobie, oppression réelle ou victimisation?

Végéphobie, oppression réelle ou victimisation?
La végéphobie, oppression réelle ou victimisation outrancière? Les vegans eux-même forment deux camps opposés. D’un côté: Oui, je suis opprimé. De l’autre: Arrêtez de vous victimiser, c’est indécent de comparer quelques remarques désagréable à une véritable oppression. J’ai longtemps louvoyé entre ces deux positions. La végéphobie est-elle une oppression? Là, comme ça, j’ai envie de dire non. Au lendemain de la Veggie Pride 2013, je suis allé faire un tour sur les sites d’actualité. Y a un truc que j’adore, c’est qu’on m’explique si je suis discriminée ou non. Pour me faire l’avocat du diable, ou plutôt des gens qui parlent bêtement avant de réfléchir, ce ne sont pas les articles en ligne qui vont les instruire beaucoup sur ce qu’est la végéphobie. Pourtant, je pense que le parallèle n’est pas complètement idiot. Je ne sais pas si la végéphobie est une oppression, mais ce dont je suis sure, c’est que les végétariens, et surtout les véganes, sont victimes de discrimination.

Faut-il encore manger de la viande ? Pour que chaque année des milliards d’animaux ne soient plus élevés et tués dans des conditions abominables, il est nécessaire de diminuer fortement notre consommation de viande. Faut-il pour autant devenir végétarien ? Demandez à vos amis s’ils accepteraient que l’on fasse souffrir des animaux pour leur plaisir. Très probablement, offusqués par la question, ils vous répondront « bien sûr que non ». Prenez les vaches. La vie rêvée des cochons d’élevage Selon la réglementation imposée à l’industrie, ces scènes, dignes de films d’horreur, ne devraient pas se produire. Devant une telle abomination, il y a en gros trois attitudes. Une industrie jugée indéfendable En dehors peut-être de quelques sadiques, personne ne défend en soi le martyre des animaux. Le premier argument est tout simplement infondé. La justification économique semble au premier abord plus sensée. La tentation de l’élevage traditionnel Dans son essai Faut-il manger les animaux ? La question du végétarisme Aux yeux de D.

Expérimentation animale : il est temps d'accepter que le vent tourne ! Une réglementation obsolète et des responsables peu formés aux méthodes modernes sont le principal obstacle à la mise en oeuvre de tests fiables pour l’homme, sans recours à l’expérimentation animale. Les connaissances scientifiques et la technologie existent déjà. Pour nous aider à les promouvoir, faites passer l’information autour de vous. Par André Ménache Nous vivons à l’ère des traitements médicaux basés sur des preuves (de l’expression anglaise « evidence-based »). Selon les normes actuelles, les expériences sur des animaux ne remplissent pas l’exigence d’être basées sur des preuves (2). Le problème ne vient pas d’un manque de technologie pour remplacer les tests sur des animaux. Une autre approche est d’informer les scientifiques, en particulier ceux qui travaillent dans la recherche et les tests. Ici, nous nous heurtons à un nouvel obstacle : le « personnel en charge ». Mais nous ne pouvons pas nous permettre d’attendre.

Du welfarisme a l’abolitionnisme, ou comment la cohérence éloigne des normes J’ai exposé dans la précédente note, les raisons pour lesquelles, si on devient réaliste, on se rend compte qu’une certaine dose de souffrance est nécessaire si l’on veut élever des animaux, l’abus étant inhérent à la notion de propriété d’un être sensible. C’est donc en particulier vrai pour la viande, mais aussi pour toute forme d’élevage. J’insiste sur la viande, car en toute objectivité, si l’on se débarrasse de ses a priori culturels, il est difficile de considérer que l’abattage d’un animal en parfaite santé pour utiliser sa chair n’est pas un abus. Le welfarisme se définit comme une défense du bien-être des animaux d’élevage qui ne remet pas en cause l’élevage. De deux choses l’une. Soit le welfariste est quelqu’un qui défend le droit des animaux à ne pas souffrir, tout en acceptant qu’ils souffrent pour que l’on puisse les utiliser pour leur lait, leur viande, leur laine, ou quoi que ce soit. En réalité, je pense que c’est ni l’un ni l’autre, voire un peu les deux.

L’illusion du welfarisme C’est une scène de Earthlings. Des hommes sont autour d’un cochon et le frappent. Le cochon est à terre, incapable de se relever, mais ils n’arrivent pas à l’achever; il bouge encore. L’un d’eux ramasse un parpaing, le jette sur sa tête. Le cochon s’agite de plus belle, ses pattes remuent inutilement dans le vide. Je sais même plus si j’ai regardé jusqu’au bout. Earthlings est un film qui vous remue les tripes. Autrement dit, pardonnez-moi d’être franche, mais bon, c’est mon blog, j’fais ce que j’veux… Autrement dit, si vous croyez au welfarisme, deux hypothèses: Soit vous trouvez acceptable que de tels traitements soient parfois infligés à des animaux tant que ce n’est pas « la majorité ». Soit vous êtes niais. Ca ressemble à un jugement mais ce n’en est pas un. Parce que le welfarisme est finalement, l’objet d’une réflexion inaboutie. Donc vous êtes niais si vous pensez qu’on peut « traiter bien » les animaux, partout, tout le temps. J’entends déjà les objections fuser.

Comment devenir végétarien ? | Ces derniers temps, je parle beaucoup de végétarisme, que ce soit sur mon tumblr ou sur twitter. Et du coup, je reçois pas mal de questions de personnes qui s’intéressent à ce régime alimentaire et, plus largement, à la cause anti-spéciste. Je trouve ça vraiment chouette de constater que les gens qui me suivent ne se contentent pas de prendre des morceaux de mes combats et d’ignorer ceux qui ne les intéressent pas. Aussi, j’ai décidé de vous faire un petit mode d’emploi pour ceux qui souhaitent passer le cap. Avant de commencer, comme je sais que beaucoup de gens ne sont pas au fait du vocabulaire en rapport avec la cause animale, quelques petites définitions pour que vous ne soyez pas perdus dans cet article. Maintenant que vous avez le vocabulaire en main, quelques précisions : je me base sur ma seule et unique expérience pour vous donner ces conseils. - Un plus grand respect des animaux. - Un plus grand respect de l’environnement. - Un plus grand respect de l’humanité.

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L’éthique animale pour les nuls Le réalisateur Charles Pépin a diffusé sur YouTube les premiers épisodes, ces dernières semaines, de sa mini-série Éthique Animale. Carl Soucier-Bouffard est la vedette de cette série documentaire. Qui est-il? M. Saucier-Bouffard est professeur en éthique environnementale et animale au Collège Dawson et chercheur associé au Centre sur l’éthique animale de l’Université Oxford. Ce sont d’ailleurs carrément des cours d’éthique animale que nous présente le professeur dans ces vidéos. Ne vous détrompez pas, cette série documentaire est clairement orientée idéologiquement. Malgré cela, parce qu’on aime se remettre en question, ces vidéos posent des questions essentielles, telles que: doit-on manger des animaux, ou plutôt pourquoi ne doit-on pas manger des animaux? Pour M. Malheureusement, j’ai bien peur que cette série ne prêche qu’auprès des convertis et que son aspect très didactique se borne au déficit d’attention collectif dont souffrent les internautes. Une introduction Épisode 2: Spécisme

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