10 Août 1943 - La seconde guerre mondiale au jour le jour En Haute-Savoie le maquis de Montfort est dissous. En Saône-et-Loire, le maquis de Brancion s'installe à la Grande-Montagne. Des actions de sabotage font dérailler un train allemand à Varennes-le-Grand et détruisent des installations de sources d'énergie des usines du Creusot. Affiche française pour le tirage de la loterie nationale du 10 août 1943 source : mémorial de caen (photo), guerre-mondiale.org Front d'Allemagne L'aviation alliée bombarde Mannheim, Ludwigshafen et Nuremberg. source : guerre-mondiale.org Front de l'est Front centre A l'est d'Orel, les soviétiques libèrent Khotinets Front sud L'armée rouge continue son offensive et progresse, malgré la résistance allemande. source : onwar.com, guerre-mondiale.org Sur la côte nord de la Sicile, les américains font un nouveau petit débarquement à Brolo, à l'est du cap Orlando, forçant les unités de l'axe à reculer une fois de plus, cette fois jusqu'à Patti. Le général Patton parlant avec le lieutenant colonel Lyle Bernard à Brolo en 1943.
Services d’archives et médias sociaux | Journal d'un archiviste Chers lecteurs, je m’ennuyais à mourir lorsque l’on m’a confié une mission : découvrir ce que les services d’archives et les médias sociaux fabriquent ensemble. J’ai donc enquêté pendant des mois et je vais aujourd’hui vous révéler LA vérité. D’abord, les noms… Les voici ces services d’archives présents sur les médias sociaux : carte Ensuite, qui fait quoi ? Sur quels médias sociaux ? Cette infographie, réalisée à partir des données recueillies par le Service interministériel des Archives de France, éclairera rapidement votre lanterne. Mais je suis sûre que, comme moi à un certain stade de mon enquête, une question vous brûle les lèvres : POURQUOI ? Pour répondre à cette question, j’ai pris quelques témoins et j’ai étudié à la loupe les contenus de leur site web et les contenus des médias sociaux sur lesquels ils sont présents. Le logo reste identique. Voyez-vous une réelle différence ? Ce ton décalé favorise le jeu. Légender des images Reconnaître un lieu ou un personnage Aurélia Houdayer
Folksonomy Un article de Wiki Paris Descartes. Des clés pour comprendre l'Université numérique Le terme "Folksonomy" (à partir duquel a été généré le néologisme "folksonomie"), provient de "Folks" (les gens) et "Taxonomy" (" taxinomie " en français : classification d'éléments) : il signifie donc la "classification par les gens". Par ailleurs, ces mots-clés facilitent la découverte et l' exploration de ressources connexes . Chaque tag génère un flux RSS auquel il est possible de s'abonner et permet ainsi de bénéficier d'une cartographie collaborative et en temps réel du web par mots clés. Un " nuage de mots " affiche les mots-clés les plus utilisés (mots-clés affectés aux objets du site et non pas mots-clés interrogés) dans un laps de temps donné. Ce concept ne cesse de prendre de l'ampleur avec l'avènement des nouvelles technologies du Web, dites « Web 2.0 », qui donnent plus de possibilités d'expression à l'internaute. Avantages des folksonomies Inconvénients des folksonomies (Par Olivier Le Deuff)
La seconde guerre mondiale (2) – Stalingrad La deuxième partie de ce chapitre a pour but de montrer que cette guerre fut une guerre d’anéantissement. Nous nous sommes appuyés sur l’exemple de Stalingrad pour l’expliquer. Dessin : Caricature de Leslie Illingowrth paru dans le Daily Mail le 26 novembre 1942 (trouvée sur Le diaporama de la leçon est à voir ci-dessous. Le même en vidéo commentée : Le podcast : Sa version html : Pour être le plus complet possible sur la guerre à l’Est, je reprends les informations d’un article rédigé l’an dernier : Commencée le 22 juin 1941 avec l’agression allemande contre les Soviétiques de l’opération Barbarossa, cette confrontation majeure de la guerre s’achève dans les ruines de Berlin en mai 1945. Barbarossa : Pour revoir une partie de Apocalypse sur le début de cette bataille, voir le site de France 2. Stalingrad : Pour le déroulement de la bataille : l’article de Wikipedia, l’article d’Herodote (plus court).
Blogging et réseaux sociaux pour la publication et la valorisation d’archives et de fonds de bibliothèque Ce cours, destiné aux étudiants du Master 1 archives et bibliothèques de l’université Aix-Marseille, a pour but de montrer dans quelle mesure réseaux sociaux et blogs sont des outils utiles pour la publication et la valorisation de fonds de bibliothèques et d’archives. Il s’attache à décrire le contexte de cette utilisation en brossant le panorama des principales logiques à l’oeuvre dans le numérique qui ont modifié les termes de la valorisation de contenus dans les archives et les bibliothèques et les contenus eux-mêmes, les objets de la médiation. Une réflexion est ébauchée sur les changements entraînés par ces dynamiques sur la nature de l’objet et de l’espace dans le cas des bibliothèques et sur la production et la temporalité dans le cas des archives. I – Contexte A/ Dynamiques 1. L’économie de l’abondance caractérise l’économie du numérique. 2. De très nombreux outils gratuits et techniquement accessibles sont disponibles aujourd’hui. 3. a. b. L’impact de la communication 4. 1. a. b.
Folksonomies Le terme de folksonomie est apparu récemment sur le web pour désigner le phénomène d’indexation des documents numériques par l’usager. On rencontre également fréquemment le mot tag qui désigne en quelque sorte un mot-clé. Le terme de folknologie est aussi employé, mais plus rarement. Ce phénomène ne cesse de prendre de l’ampleur avec l’avènement des nouvelles technologies du web, dites « web 2.0 », qui donnent plus de possibilités d’expression à l’internaute. Le phénomène est-il durable ou n’est-ce qu’un effet de mode ? Caractéristiques Les folksonomies constituent la possibilité pour l’usager d’indexer des documents afin qu’il puisse plus aisément les retrouver grâce à un système de mots-clés. Le paradoxe vient sans doute du fait qu’un esprit collaboratif marque le fonctionnement des systèmes dits de tags comme le fameux Technorati, l’un des plus importants moteurs d’indexation de blogs. L’ouverture d’esprit caractérise la folksonomie, comme le web 2.0. Deux types de folksonomies
World War II in Color: The Italian Campaign and the Road to Rome, 1944 Ask a dozen military historians to name the single most pivotal battle or campaign of World War II — the one operation that saw the war’s momentum irrevocably swing from the Axis to the Allied powers — and you’ll get a dozen answers. Did the pendulum shift as early as the Battle of Britain? At Midway? During the liberation of Paris? But one campaign that everyone agrees was a significant turning point in the Allied effort was launched more than 70 years ago, in July 1943. Tens of thousands of troops, on both sides, were killed or listed as missing, while hundreds of thousands more were wounded. [MORE: "A Brutal Pageantry: The Third Reich’s Myth-Making Machinery, in Color"] Here, LIFE.com presents a series of color pictures — none of which were published in LIFE magazine — made throughout the Italian Campaign by the great photojournalist Carl Mydans. In early May 1945, the war in Europe ended.
Avec Stalingrad, la Seconde Guerre mondiale bascule Plus que le débarquement anglo-américain en Afrique du Nord (8 novembre 1942) ou que la conquête américaine de l’île de Guadalcanal (8 février 1943), la victoire soviétique de Stalingrad (2 février 1943) est bien le « tournant » de la guerre. Mais la victoire est plus encore politique que militaire. Du 31 janvier au 2 février, malgré l’interdiction d’Hitler, la VIe armée allemande capitule après deux mois et demi d’encerclement, isolée malgré les raids de la Luftwaffe, pilonnée nuit et jour, épuisée par la faim, le froid, la neige. Des 330 000 encerclés ne survivent que 120 000 prisonniers. Les forces de l’Axe ont perdu au total 800 000 hommes à Stalingrad, le quart des forces du front oriental. L’enjeu de Stalingrad Pour pallier les besoins en carburant de l’économie de guerre allemande, Hitler déclenche, le 8 mai 1942, un nouveau Blitzkrieg en vue de conquérir les champs pétrolifères du Caucase. Les trois raisons de la victoire Les conséquences de Stalingrad
Les 177 visages du Commando Kieffer Le 6 juin 1944, 177 soldats français débarquent avec la première vague d’assaut sur Sword Beach, à Colleville Montgomery. Leur objectif est de reprendre le Casino d’Ouistreham, transformé en véritable forteresse par les Allemands, et de rejoindre les troupes de la 6e division aéroportée à Bénouville. Dirigés par Philippe Kieffer, ces hommes seront les seuls soldats français à débarquer en France le Jour J. La mystique nécessaire pour passionner les hommes, c'est l'idée de liberté, d'honneur et de fidélité. Philippe Kieffer, matricule 113 FNFL 40 de la France Libre, commandant le 1er Bataillon, c’est l’homme sur la photo qui a entrainé près de 177 hommes pour le débarquement. Premier épisode – Une légende au pied d’argile Le Commando Kieffer est le seul bataillon français du jour du débarquement. Second épisode – Établir une liste, les trouver tous sans exception "Ce sont des victimes de guerre. Avec : Benjamin Massieu, historien et auteur. Site sur les 177 Blog sur le Commando Kieffer
La victoire à tout prix : Stalingrad (1942 – 1943) Objectif: Caractériser les enjeux militaires et idéologiques de la guerre. Compétence évaluée: Raconter (cliquez sur la compétence pour accéder à la fiche méthode) Doc. 1- La bataille de Stalingrad La bataille de Stalingrad from Fred Sauzeau on Vimeo. Doc. 2: Une bataille idéologique Un padlet proposé par M. Activité: Racontez la bataille de Stalingrad en montrant qu’elle illustre à la fois des enjeux stratégiques et idéologiques. Aide: Pourquoi le contrôle de Stalingrad est-il un objectif stratégique et symbolique pour l’Allemagne et pour L’U.R.S.S. ?
On a traduit l'incroyable reportage sonore d'un journaliste américain en plein D-Day C’est un trésor d’archives. En rangeant sa cave, un Américain a retrouvé les bandes d’un reportage audio inoui sur le débarquement en Normandie. Quelques minutes d’immersion en plein coeur des combats du D-Day. Ce n’est pas une découverte banale. Un Américain a retrouvé chez lui les bandes audio d’un reportage radio du débarquement américain en Normandie, le “D-Day” du 6 juin 1944. Le journaliste en question s’appelle Georges Hicks, il est correspondant pour la chaîne NBC et embarqué à bord d’un cuirassé de la Marine, l’USS Ancon. Dans une version longue, disponible sur la plateforme Soundcloud, ce document à couper le souffle, d'une durée totale de 13 minutes, est introduit par un présentateur "Vous allez entendre une émission historique. Il crie : “C'est reparti, il y en a un autre, un autre avion nous survole !” Le feu anti-aérien gronde. Il poursuit : “Juste au-dessus de notre côté bâbord. “On dirait que nous allons avoir une sacrée nuit ce soir.” “Un autre vient sur nous ! Rires.
La nuit où les Tokyoïtes ont été «bouillis et cuits à mort» L’attaque a été éclipsée par le feu atomique des 6 et 9 août 1945. Mais ce qui s’était passé cinq mois plus tôt à Tokyo constitue «l’un des raids aériens les plus meurtriers de tous les temps, surpassant Dresde, Hambourg et Nagasaki, d’une échelle comparable à Hiroshima, et certainement l’un des plus destructeurs», écrivait l’historien militaire et ancien pilote américain Kenneth P. Werrell. Ce 10 mars, le Japon commémore les soixante-dix ans de cette attaque conçue par les Etats-Unis sous le nom de code «opération Meetinghouse» au cours de laquelle des milliers de Japonais ont été «brûlés, bouillis et cuits à mort», selon les mots du général d’aviation Curtis Lemay, responsable de ce crime de guerre. Des foules piégées dans le chaos Rare Occidental alors en poste au Japon où il travaillait pour l’Agence France Presse, le journaliste français Robert Guillain a raconté (1) cette «nuit d’horreur» des Tokyoïtes qui ont «subi l’ordalie du napalm». Voir notre diaporama
Galerie Flickr issue du travail de valorisation et de redocumentation présenté dans le diaporama ci-dessus. Cet exemple permet d’illustrer le résultat du travail décrit dans le diaporama et d’apprécier les spécificités du projet. En effet, tout utilisateur de Flickr peut contribuer à l’amélioration des légendes en postant un commentaire mais les tags et les légendes ne sont pas rédigées par n’importe quel visiteur de la galerie. Les commentaires sont d’abord vérifiés par un groupe d’intervenants spécialistes travaillant en collaboration pour assurer la validité des informations. by arkhaia Dec 11
les photos de PhotosNormandie (dont celles de la photothèque de Cherbourg-Octeville) commentées par des « amateurs » pour documenter un fonds de photographies anciennes by sphere_doc Jan 23