Le bien commun : l'assaut final - Un documentaire de Carole Poliquin Nombreux sont ceux qui pensent qu’en France le projet de loi « Création et Internet » (ou Hadopi) n’est pas qu’une simple question technique et juridique pour endiguer le « piratage », mais se situe bien au delà, sur le front politique et sociétal de la défense des biens communs contre une « marchandisation » croissante des activités humaines, ici la culture[1]. C’est pourquoi il nous a semblé intéressant de proposer aux lecteurs de passage un « vieux » documentaire que vous n’avez peut-être pas eu l’occasion de voir à sa sortie en 2002 (durée : 1 heure). Il a pour titre Le bien commun : l’assaut final et a été réalisé par la québécoise Carole Poliquin (dont nous avons obtenu accord pour diffusion). Voici ce qu’en disait Bernard Langlois dans le journal Politis : Sur le fond, c’est une charge très argumentée, très démonstrative contre la mondialisation libérale, nourrie de reportages et de témoignages recueillis au Canada, au Mexique, aux États-Unis, en Inde, en France. Loaded: 0%
Biens Communs -- Commons -- Bens comuns -- Bienes comunes La présentation du Manifeste pour la Récupération des Biens Communs à l'occasion du FSM 2009 à Belém au Brésil, marque le point de départ d'une campagne de mobilisation pour la préservation, la reconquête et la création des Biens Communs. Le but de cette campagne est de populariser la notion de Biens Communs en ouvrant un espace participatif de réflexion et de partage de toutes les initiatives concernant le futur des Biens Communs. Le manifeste est un point de départ. Chacun et chacune est cordialement invité à le commenter, à en faire la critique, et aussi à partager ses visions, ses idées et ses pratiques des biens communs. Il va sans dire que le Manifeste s'inspire et se relie avec de nombreux textes qui l'ont précédé depuis parfois de nombreuses années. Nous invitons chacune et chacun à signer le manifeste, à mettre en débat les idées qu'il présente et les faire circuler. Les initiatives et les pratiques en rapport avec les biens communs sont nombreuses et très variées.
La fin programmée de la civilisation du gâchis. Réflection faite. De quoi est fait notre avenir? Quel avenir pour notre civilisation? Dates d'puisement des ressources naturelles de notre planète. Nous vivons depuis longtemps sur la Terre, une accueillante petite planète d'un système stellaire parmi des milliards de milliards d'autres. Dans un univers qui vient de rien (on parle de fluctuation du vide) et qui a explosé il y a 13,7 milliards d'années, d'après notre dernière datation. Nous en avons conscience et nous nous posons des questions essentielles. Qu'est-ce que la vie ? Est-elle extrêmement répandue dans notre galaxie et dans les cent milliards d'autres, répondant à des lois chimiques universelles ou bien est-ce un phénomène rarissime au point que la Terre soit finalement une exception dans l'univers, l'héritière d'une somme incalculable de hasards tous aussi improbables les uns que les autres ? Tout irait bien dans le meilleur des mondes possibles si nous ne faisions pas les terribles observations suivantes : L'espèce dominante, Homo sapiens, a vaincu toutes les étapes de l'adaptation à toutes sortes de milieux souvent hostiles. 9 milliards d'habitants prévus en 2050.
Vecam - Réflexion et action pour l'internet citoyen Ressource non renouvelable Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une ressource naturelle est qualifiée de non renouvelable ou épuisable lorsque sa vitesse de destruction dépasse, largement ou non, sa vitesse de création. Ainsi un sol se forme en quelques siècles à plusieurs millénaires suivant les conditions chimiques, physiques et biologiques et est actuellement détruit dans certaines régions en quelques dizaines d'années, voire quelques années. On peut aussi rapprocher l'actuelle destruction accélérée des espèces d'une utilisation de ressources non renouvelables. On parle au contraire de ressource renouvelable lorsque leur production est possible sur un temps court (production animale, végétale, etc.) et ne consomme pas elle même une ressource non renouvelable, ou lorsque la ressource n'est pas détruite par l'usage (énergie marémotrice, énergie éolienne, énergie solaire). Modèles économiques[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] Situation actuelle[modifier | modifier le code]
Nos Libertés IASC COMMONS (iasc_commons) Le partage est légitime Le partage de fichiers représentant des oeuvres couvertes par le droit d’auteur entre individus sans but de profit a été rendu illégal au cours des 30 dernières années dans la plupart des pays et dans la plupart des cas. Cela ne m’empêche d’affirmer haut et fort que l’acte de prendre une oeuvre numérique qu’on a acquis et de la copier, la rendre accessible à d’autres ou leur envoyer est non seulement légitime, mais une contribution essentielle à l’établissement d’une culture commune. Je propose de défendre cette position en suivant les points suivants: montrer l’utilité du partage (délimité comme ci-dessus) et sa légitimité même sans autorisation des auteurs, montrer que lorsqu’on l’interdit, les pratiques culturelles appauvrissantes chassent les pratiques enrichissantes, et finalement affirmer que la prohibition du partage sera un jour vue comme un étonnant obscurantisme. 1. 2. 3. This post is also available in: English
Tomales Bay Institute: The Commons Rising (PDF) | fírgoa Tomales Bay Institute: The Commons Rising (PDF) From public schools and universities to public lands and other natural resources, from the media with their broadcast and digital spectrums to scientific discovery and medical breakthroughs, a broad range of the American commons is shifting from public responsibility to private exploitation. — Bill Moyers The idea of the free market has become so widespread it’s hard to remember when public stadiums weren’t named for private corporations. But evidence is mounting—from catastrophic climate disruption to unprecedented disparities in wealth—that our present corporate-dominated economic system is leading to ecological and social disaster. In fact, there is an alternative, and it’s on the rise.
Canal Marches - APPEL POUR LA MISE EN PLACE D'ATELIERS VIDÉO DANS LES QUARTIERS POPULAIRES Une proposition de l’Université Populaire Audiovisuelle Cher-e-s ami-e-s, L’Université Populaire Audiovisuelle (Upopa) animée par l’association Canal Marches vous propose de co-organiser un atelier d’initiation et de réalisation vidéo, atelier destiné aux bénévoles et aux salarié-e-s des associations agissant dans votre quartier. Il s’agit d’organiser ensemble une action d’initiation à la vidéo qui se concrétiserait immédiatement par une première réalisation à partir de paroles d’habitant-e-s du quartier : coups de gueule, coups de cœur, témoignages, rêves, poésies, chants, propositions... « 100 messages vidéo d’habitant-e-s des quartiers populaires » Depuis 2009, avec le soutien de la Région Île-de-France, l’Université Populaire Audiovisuelle délivre une formation aux associations agissant avec les habitant-e-s des quartiers populaires, et les accompagne dans des réalisations vidéo. Vous trouverez dans le document joint plus de détails. Bien cordialement, L’Équipe de Canal Marches.