Les adolescents sur Twitter, acte II : la mise en scène frénétique de soi Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Michaël Szadkowski Cet article est le second d'une enquête en deux volets : "Comment les adolescents utilisent Twitter". >> Lire la première partie : "Les adolescents sur Twitter, acte I : "C'est histoire d'être 'in'"" [Avis aux lecteurs qui ne comprennent pas tout à Twitter : cette présentation que nous avions publiée en 2009 peut vous être utile pour l'article qui va suivre, de même que ce petit lexique du jargon employé sur le réseau.] La majorité des jeunes que nous avons interviewés revendique un usage de Twitter entre liberté et responsabilité – sous le couvert d'un certain anonymat, qui reste encore possible, avec l'usage de pseudos ou de codes introuvables par les parents. Et ceux qui utilisent intensivement Twitter sont bien loin de considérer la visibilité de leurs tweets comme un frein ou une menace. Le rythme, effréné, rappelle par contre les messages qu'ils peuvent s'envoyer par textos ou messageries instantanées. Je t'aime.
Le véritable danger, c'est l'isolement INTERVIEW - Elisabeth Rossé est psychologue au centre médical Marmottan, où elle prend en charge des cyberaddicts... La cyberdépendance est-elle la nouvelle menace venue du Web? C'est ce que semble indiquer un rapport parlementaire rendu public ce mercredi. Elisabeth Rossé est psychologue au centre médical Marmottan, où elle prend en charge des cyberaddicts. Elle explique le phénomène pour 20minutes.fr. Qui sont les cyberdépendants? Tout dépend du type d'addiction. Comment sait-on qu'on est cyberdépendant? On ne peut pas dire «tu passes tant d'heures devant ton ordinateur, tu es dépendant». Quels sont les risques? Physiologiquement, ils sont faibles. Comment les adolescents deviennent-ils accros aux MMORPG? Il y a trois grandes raisons. Certains sont-ils plus vulnérables que les autres? On peut distinguer trois types de joueurs addicts. Que faut-il faire? Pour commencer, en prévention, il faut éviter de laisser les enfants seuls devant un écran. Le mot de la fin? Source : 20 Minutes
Comment reconnaître une publicité sur Internet ? Quelques astuces pour ne pas se faire piéger Pub ou pas ? Comment reconnaître si ce que tu vois sur une page web est une publicité ou non ? Voici quelques astuces pour bien faire la différence entre la publicité et ce qui relève de contenus journalistiques ou informatifs. D’après une étude finlandaise relayée dans un article paru sur le site Slate.fr, un enfant sur cinq seulement serait en mesure de reconnaître une publicité sur Internet ! C’est quoi une publicité ? Sur Internet, la publicité peut prendre plusieurs formes. Voici quelques exemples de publicité pour t’aider à bien les identifier. La publicité sur les sites Internet Plusieurs types de publicités sont visibles sur les sites Internet que tu visites. Exemple de bannière publicitaire sur Lemonde.fr Déjà un peu plus difficile à percevoir comme de la publicité, les bannières qui ressemblent à de la recommandation comme celle-ci trouvée sur lefigaro.fr. publicité Bazarchic sur lefigaro.fr Publicité Young Life sur Melty.fr Style in the hair sur meltyfashion.fr.
Les nouvelles technologies favorisent-elles le lien social ? Selon des chercheurs américains, les usagers d'Internet, de réseaux comme Facebook, et de téléphones portables ont des contacts sociaux plus nombreux, plus ouverts et plus diversifiés que ceux qui ignorent les nouvelles technologies. Aux Etats-Unis, 82 % de la population adulte possèdent un téléphone mobile et 77 % utilisent régulièrement Internet. Les internautes américains passent, en moyenne, plus de douze heures par semaine devant leurs ordinateurs, selon un récent sondage du cabinet Forrester. Ces heures passées à faire usage des nouvelles technologies de communication compromettent-elles les relations sociales ? "On a toujours tendance à blâmer d'abord la technologie lorsque l'on assiste à des changements sociaux", lance le professeur Keith Hampton, coauteur d'une étude intitulée "Isolation sociale et nouvelle technologie", parue mercredi 4 novembre. Ces résultats contredisent une autre étude de juin 2006, sur le même sujet, et qui faisait autorité.
Formateurs - Comprendre et utiliser Internet Mis à jour le 19/11/15 par CANOPÉ académie d'Amiens Qu’est-ce que c’est ? Il existe de nombreux générateurs d’exercices sur Internet qui permettent de créer rapidement différents types d’activités : des QCM/quiz, des textes à trous, des éléments à remettre dans l’ordre, des mots croisés, des dictées… Le plus simple est d’utiliser les outils en ligne. Les outils et les possibilités sont multiples. Aborder une notion grâce à un exercice interactif généré sur Internet permet de varier les modalités d’apprentissage et d’aider les élèves qui rencontrent des difficultés avec les supports d’apprentissage imprimés traditionnels. Quels exercices et pour quoi faire ? Les exercices de systématisation : pour faire et refaire des exercices, afin de fixer et réemployer certaines connaissances. Les tests de connaissances : pour évaluer les connaissances d’un apprenant à la suite d’une séquence d’apprentissage ou l’aider à identifier ses lacunes. Comment concevoir des exercices ?
Internet et le lien social Le développement des usages d'Internet a contribué à la diminution des liens sociaux. On peut désormais faire ses courses sur Internet, y planifier ses vacances, communiquer, regarder les derniers films parus,... Autant d'actes qui faisaient autrefois l'objet d'une interaction physique et étaient donc générateur de lien social. On se déplaçait plus souvent à la poste pour acheter des timbres, on allait plus volontiers au cinéma pour découvrir les nouveaux films, on se rendait dans une agence de voyage pour préparer ses vacances. Et c'était à chaque fois une occasion supplémentaire de créer un lien social, de se sentir appartenir à une communauté de voisins, et tout simplement de parler, de pallier à la solitude inhérente à notre condition de citoyen. Or l'être humain est avant tout et restera un animal social et une société qui prône une absence de contact physique n'est pas viable pour des raisons biologiques évidentes.
Bruno Devauchelle : Critiquer, dans un contexte numérique. La profusion d'informations rendues disponibles depuis le développement de l'informatisation et la numérisation des informations a mis sur le devant de la scène le fameux esprit critique. Sorte d'iceberg dont on ne regarde que rarement la partie cachée, l'esprit critique est une posture avant d'être une méthode, une technique. Cela est d'autant plus important que, trop souvent, l'usage du terme "critique" est connoté négativement. L'expression "prendre de la distance" peut être associé à la notion de critique en apportant un cadre technique opératoire. Questionner, interroger sont deux verbes qui viennent compléter dans la même approche technicienne de la critique. Sur un plan plus philosophique, le scepticisme, apporte non seulement une dimension méthodologique, mais aussi un ensemble de principes de pensée qui amène à considérer que l'esprit critique est d'abord une posture philosophique fondée sur le doute a priori. L'information frappée par la numérisation Bruno Devauchelle
Les réseaux sociaux nous rendent-ils toujours plus seuls ? Nous n’avons jamais été aussi connectés que maintenant. Les réseaux sociaux nous donnent ainsi la possibilité de rester en contact avec nos amis. Mais aussi avec des inconnus, des connaissances croisées quelques minutes, des collègues, des amis d’amis… On peut vite se retrouver avec bien plus d’amis virtuels que de personnes réellement fréquentées au quotidien. On pourra échanger avec elle, sublimer notre quotidien avec des messages bien calibrés, nourrir notre égo des likes amassés et ainsi parfaire cette vie rêvée si éloignée de notre réalité. Mais avec quels résultats ? Ce constat, un peu désabusé, est celui montré par le sud-coréen Beomseok Yang dans ce court-métrage très esthétique, qui montre son périple dans la ville sous le prisme de son utilisation de Facebook.
Internet et le web en classe de 6ème Il fallait bien que ça arrive. A force d'avoir des enfants scolarisés au collège et à force de voir ma tête dans quelques journaux locaux rapport à mes tentatives désespérées de finir en prison, je me suis fait gauler. L'équipe du collège Piobetta (Vendée), par l'entremise de son documentaliste professeur-documentaliste, m'a donc gentiment demandé d'intervenir devant des classes de 6èmes "pour venir leur parler d'internet". Ce que j'ai naturellement accepté. Parce que je suis gentil. Et que j'aime bien parler des internets aux gens. Je ne vous cache pas que la rédaction du powerpoint ci-dessous a, de très loin, été la présentation la plus difficile qu'il m'ait été donné de faire depuis 20 ans que j'en fais (des présentations). 1er écueil : tenir un discours moralisateur ou culpabilisant en mode "attention aux dangereux pédo-nazis", "attention aux fausses informations", et autres "le téléchargement c'est le vol" ou "trop d'écran nuit à vos capacités de concentration". Et ma préférée :
Chaire des Réseaux Sociaux Locaux : renouer avec la dimension humaine A l’occasion du troisième rendez-vous de la Chaire des réseaux sociaux, organisé par l’Institut Télécom Paris Tech le jeudi 30 mai, les débats se sont portés sur l’impact des réseaux sociaux locaux dans notre quotidien. La Netscouade revient sur le sujet, grâce aux interventions de Pascal Thomas, Président Directeur Général de Mappy, Charles Berdugo, fondateur et président de Ma-residence.fr et Carole Anne Rivière, sociologue, dont l’enquête porte sur le réseau social Grindr. Retour sur une tendance sociale, locale et digitale. « Les réseaux sociaux sont créateurs de valeurs économiques et sociales » au sein de nos sociétés digitalisées et mondialisées. ZoomOn, un outil local au service de la vie réelle ZoomOn, le premier média local de France, illustre à merveille cette nouvelle relation client. 43 % des requêtes Google sont des requêtes locales. Une telle diversité dans les thématiques suppose une multiplicité de contenus. Il confronte deux espaces temps.
Bruno Devauchelle : Du copier-coller au plagiat... Il est difficile voire impossible, quand on enseigne, de ne pas s'inspirer, consciemment ou pas, du travail des autres. Le groupe d'élève confronté à son travail de TPE n'échappe pas à cette difficulté, tout comme l'enseignant qui prépare ses cours. Car nous n'inventons pas vraiment beaucoup, mais nous "recyclons" de nombreuses informations et savoirs collectés ici ou là. Et cela est normal. Et pourtant la lutte contre le plagiat est une activité récurrente. Comment rendre inintéressant le plagiat Sur un certain nombre de sujets, il est difficile de ne pas s'appuyer sur le travail des autres. De "la main à la pâte" au Travaux personnels encadrés et autres travaux des élèves, la question de la production de documents appelle tout de suite celle du copier-coller, voire du plagiat. Celui qui copie ou plagie va s'économiser beaucoup de temps mais s'aliéner beaucoup de compétences. Le plagiat, un dopage ? Le processus est-il plus important que le produit ? Eduquer les éducateurs ?
L’avenir du réseau social ? C’est un ami qui a posté cette vidéo sur son profil Facebook. On y découvre le projet d’une start-up californienne, qui a eu une idée géniale : mixer des fonctions sociales avec une technologie de reconnaissance d’images, permettant de se connecter avec ses voisins d’embouteillages… Le principe est simple : je prends en photo ta plaque d’immatriculation. Si tu es inscris, je peux me connecter à toi, et on peut échanger. Discuter, draguer, notifier un pneu crevé ou retrouver ce taxi dans lequel on a laissé un objet. Cette idée me terrifie, et en même temps, on y voit une vraie préfiguration de l’avenir du media social “dans la vraie vie”. Récemment, j’ai pas mal été interviewé sur ces notions de non-vie privée. Avec Bump.com, c’est tout autre, puisque la connexion initiale de mon profil social et de ma plaque crée un lien que je ne maitrise plus entre mon identité et un objet tangible, visible de tous. Sur Mashable, un article en fait un tour complet. Mots clés: 10 Commentaires
Savez-vous vraiment ce que font les ados avec leur téléphone portable ? - LCI 1L’âge moyen du premier portable est de 16 ansFAUX. Plutôt 11 ans, en fait. C’est l’âge le plus souvent cité par les parents comme étant "bon moment". 11 ans, c’est en effet l’âge où le jeune entre en sixième, et cette arrivée au collège est le début d’une plus grande autonomie. L’adolescent prend son envol, se déplace tout seul. Pour les parents, le téléphone est un moyen de garder le contact. Et de se rassurer. 2Les parents sont dépassés par l’usage que font les ados de leur portableCOMPLÈTEMENT VRAI.