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Des réseaux sociaux plus protecteurs de la vie privée…

Des réseaux sociaux plus protecteurs de la vie privée…
Le fonctionnement de la majorité des réseaux sociaux repose sur la mise à disposition d'un service gratuit en contrepartie d'une collecte d'informations pour une utilisation commerciale (analyse des profils et de la navigation sur internet pour délivrer de la publicité ciblée, transmissions de données à des tiers, …). Or, il est difficile de déterminer le devenir de ces informations une fois qu'elles sont sur le réseau. C'est pourquoi le G29 (groupe des CNIL européennes) a précisé les règles applicables aux réseaux sociaux dans un avis du 12 juin 2009. Les CNIL européennes leur demandent notamment de : L'ensemble de ces règles n'est malheureusement pas toujours respecté. L'initiative du réseau social Diaspora peut également être soulignée. D'autres sites proposent également des mesures protectrices, en particulier des mineurs, il s'agit par exemple de Mondokiddo, de le Mini réseau, de l'Univers de Wilby ou de Yoocasa.

Vie privée: Ce fonctionnaire irlandais est parvenu à faire plier Facebook - News High-Tech: Web Vie privée Billy Hawkes est responsable de la protection des données en Irlande. Avec des moyens modestes, il vient d’obtenir que le réseau social le plus populaire du monde suspende son système de reconnaissance faciale. Billy Hawkes, 61 ans, a pris la tête de l’Office de la protection des données en 2005. Trois ans plus tard, l’arrivée de Facebook à Dublin venait bouleverser son quotidien. Image: Derek Knight Galerie Photos Portarlington, village fantôme«Le Matin Dimanche» a rencontré Billy Hawkes dans le petit village de Portarlington, à une heure de Dublin, où il est installé. Le chiffre Le taux d’imposition des entreprises en Irlande, l’un des plus bas du monde. Comment l'Irlande drague les fleurons du web La presse irlandaise les surnomme les «Silicon Docks». Le temps où l’île d’émeraude abritait essentiellement des call centers bon marché semble révolu. Pourquoi les entreprises américaines choisissent-elles l’Irlande? Signaler une erreur Vous avez vu une erreur? Partager & Commenter

Usurpation d’identité en ligne (LOPPSI) @ L'identité à l'ère numérique Il y a quelques semaines E. Freyssinet discutait de la création dans le projet de loi LOPPSI d’une infraction d’usurpation de l’identité en ligne (article complet ici), extrait : L’article 2 de ce projet de loi prévoit une nouvelle incrimination pour certaines formes d’usurpation d’identité commises sur les réseaux de communications électroniques. Le texte issu du vote d’aujourd’hui est le suivant: Art. 222-16-1. – Le fait de faire usage, de manière réitérée, sur un réseau de communications électroniques, de l’identité d’un tiers ou de données de toute nature permettant de l’identifier, en vue de troubler la tranquillité de cette personne ou d’autrui, est puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 € d’amende. Est puni de la même peine le fait de faire usage, sur un réseau de communications électroniques, de l’identité d’un tiers ou dedonnées de toute nature permettant de l’identifier, en vue de porter atteinte à son honneur ou à sa considération. [...]

Etablissements scolaires : la CNIL dispense de déclaration des traitements de gestion de la scolarité ne comportant pas de téléservices Dès 1986, la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) avait adopté une norme simplifiée (la norme simplifiée n°29) concernant les traitements automatisés d'informations nominatives relatifs à la gestion administrative, comptable et pédagogique des écoles et des établissements d'enseignement secondaire du secteur public et privé (délibération n° 86-115 du 2 décembre 1986). Le 7 juin 2012, la Commission a adopté la dispense de déclaration n°17 qui abroge cette norme simplifiée. La CNIL a, au préalable, procédé à une instruction détaillée des traitements visés par cette dispense et vérifié qu'ils offraient des garanties de sécurité et de confidentialité suffisantes au regard de la loi informatique et libertés. Aussi, a-t-elle estimé qu'il n'était pas utile de maintenir, pour chaque directeur ou chef d'établissements, une obligation de déclaration "de pure forme", concernant des traitements identiques sur lesquels elle s'est déjà prononcée.

Réseaux sociaux : les tribunaux dessinent la frontière entre la vie privée et publique par Nicolas Guerrero - Chronique e-Business Face à des propos injurieux tenus par un salarié sur un réseau social, l’employeur peut-il se servir du contenu de l’information reçue et sanctionner le salarié ? La jurisprudence récente a été marquée par une série de décisions qui suscitent le débat. Les réseaux sociaux comme LinkedIn, Facebook ou Twitter brouillent les frontières entre vie professionnelle et vie personnelle. Circulant « d’amis en amis » puis parmi les « amis d’amis », les informations peuvent être portées à la connaissance de l’employeur.Dans une espèce jugée le 19 novembre 2010 par le conseil de prud’hommes de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), une salariée a été licenciée pour faute grave aux motifs « d’incitation à la rébellion contre la hiérarchie et dénigrement envers la société » pour des propos tenus un samedi soir sur la page personnelle Facebook d’un de ses collègues. Cette page était paramétrée de telle sorte que « les amis et leurs amis » avaient accès à son contenu.

E-réputation & Identité numérique, protection des données confidentielles et personnelles - Web Escape Agents Performance Web : il suffit de savoir utiliser internet pour bénéficier de ses avantages. E-réputation & Identité numérique, protection des données confidentielles et personnelles Vous n’êtes pas sur la Toile, et pourtant on parle de vous. Sans intervention, vous risquez d’en subir les conséquences : On peut utiliser votre identité ; On peut vous faire dire des choses ; On peut donner de vous une image trompeuse. Avant même de faire du personal branding, prenez en main ce que vous êtes sur la Toile et surveillez ce qui se dit de vous, de votre entreprise ou de votre marque. Notre conseil en protection des données professionnelles et personnelles vous assurera une identité numérique sans faille. L’identité numérique est une réalité à considérer sérieusement. - Du conseil : Nous conseillons et définissons un plan de maîtrise de l’e-réputation en parallèle avec une protection juridique contre la diffamation et le parasitisme en partenariat avec un cabinet d’avocats.

Evolution de la protection des données Viviane Reding : Commissaire européenne à la Justice, aux Droits fondamentaux et à la Citoyenneté. Crédit photo: D.R La Commission Européenne a estimé que la fragmentation des lois sur la protection des données en Europe générait un coût de 2,3 milliards d'euros par an. car les entreprises doivent composer avec 27 législations différentes. La commissaire européenne en charge de la justice Viviane Reding a déclaré que les autorités de protection des données dans l'Union européenne devaient avoir davantage de pouvoirs pour faire appliquer les règles de confidentialité dans les 27 Etats membres. Dans un discours prononcé à la Chambre de commerce américaine auprès de l'Union européenne, elle a indiqué que les entreprises qui opéraient dans plusieurs États membres étaient actuellement contraintes de se conformer à 27 interprétations différentes de la législation sur la vie privée. Publication d'une directive en février 2012

Jurisprudence - L'employeur doit respecter le secret des correspondances des salariés protégés Jurisprudence Un arrêt récent de la Cour de cassation, qui étend à tous les salariés protégés le bénéfice de l’accès à une ligne téléphonique garantissant la confidentialité de leurs communications, nous donne l’opportunité de faire un point sur la notion de secret des correspondances au sein d’une entreprise et plus particulièrement pour les salariés protégés comme vous, membres du CE. Le Directeur des ressources humaines d’une société, titulaire d’un mandat d’administrateur de l’Urssaf, reprochait à son employeur de ne pas avoir respecté sa qualité de salarié protégé en consultant la liste de ses appels téléphoniques passés au moyen du téléphone mobile mis à sa disposition par l’entreprise. Les Cahiers Lamy du CE, N° 116 © Tous droits réservés

En quête d’une identité unique, en ligne et hors ligne Des chercheurs britanniques mènent une étude sur une « super-identité », qui serait valide dans les univers numériques comme dans le monde réel. Des chercheurs de l’université de Southampton, au Royaume-Uni, conduisent un effort international pour étudier l’identité, et en particulier la façon dont l’existence de multiples identités numériques et dans le monde réel affecte la sécurité. Cette étude sur trois ans met l’accent sur la notion d’une « super-identité », autrement dit une identité unique et définitive. Après tout, nous sommes des personnes uniques, et tôt ou tard tous ces alias (en ligne ou dans la vraie vie) reviennent à une entité « centrale » unique. Le problème est que le manque de fiabilité de l’identification, sujette aux falsifications, représente une menace pour tout système de sécurité, depuis un compte de messagerie électronique d’entreprise jusqu’à l’Administration pour la sécurité des transports des États-Unis. À lire aussi

Un hébergeur doit se plier aux demandes concernant les données perso Au titre de la loi informatiques et libertés, un hébergeur est tenu d'accéder aux demandes d'internautes concernant leurs données personnelles, sans décision de justice préalable. Un internaute publiant du contenu sous pseudonyme sur un forum peut demander à l'hébergeur de supprimer ses noms et prénoms sans avoir à passer préalablement devant un juge. Telle est la décision rendue par le tribunal de grande instance de Béziers dans le cadre d'une affaire opposant la plate-forme de blog Overblog à un internaute dont l'identité avait été révélée à son insu par plusieurs autres utilisateurs "qui divulguaient des informations touchant sa vie privée et propageaient des calomnies". Selon Legalis.net, l'internaute avait demandé la suppression de ces contenus, ce qu'Overblog avait refusé de faire, se réfugiant entre autres derrière son statut d'hébergeur.

Quelle charte pour les médias sociaux J’ai déjà eu de nombreuses occasions de vous rappeler que les médias sociaux sont encore très jeunes et que les pratiques ne sont pas encore suffisamment stabilisées pur pouvoir établir des “grandes règles” applicables par tous. Il n’empêche… si je devais vous donner une conseil ou mettre en évidence une bonne pratique, ça serait de fixer dès le départ les règles de votre présence sur les médias sociaux, en d’autres termes de définir et publier une charte éditoriale “sociale”. Tout comme il existe des chartes graphiques ou ergonomiques, l’idée de cette charte est de poser les règles qui vont régir les interactions entre la communauté et la marque. Cette charte s’appliquant bien sur à tous les types de médias sociaux (blogs, réseaux sociaux, microblogs, forums, sites de partage…). Dans cette idée, le site Social Media Governance propose ainsi une liste des chartes d’annonceurs US : Social Media Policies. On retrouve ainsi des chartes ultra-simples comme celle de General Motors : L’U.S.

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