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Smart city, ville intelligente

Smart city, ville intelligente
Elle est le reflet d’une ambition partagée qui consiste à produire une ville plus durable, offrant de meilleurs services à ses habitants, avec un maximum d’efficience pour limiter les coûts. Pour cela, le récent rapport de l’Institut de l’Entreprise (Smart Cities. Efficace, Innovante, Participative : Comment rendre la ville plus intelligente) nous explique que « la métropole intelligente développe le numérique dans les services urbains pour rendre la ville plus efficace, expérimente de nouvelles collaborations public-privé pour accroître les retombées économiques et fait participer les habitants à la fabrication de la ville ». Concrètement, les projets de ville intelligente qui fleurissent autour de nous peuvent être classés, pour simplifier, en trois catégories : Le citadin-objet qui veut reprendre la main Le citadin-objet fait son check-in sur Foursquare. Intéressons-nous d’abord au premier type de projet. Est-ce que je pourrais me rendre anonyme ? Les citadins intelligents Related:  Smart City ?

Smart Cities vs. Smart Communities: Empowering Citizens not Market Economics | Gurstein's Community Informatics “Smart Cities” has become a flavour of the day for governments, the private sector, even academics all of whom see this meme as being a way to translate the “hype”, err “glitz”, err “glory” of new tech–digital technology to the grimy old practices and policies of urban agglomerations and urban management. The fact that according to the UN, sometime over the last year or so the balance between those living in urban areas and those living in rural areas tipped irrevocably over to the urban side. Now those who had always hankered to focus on the rather richer and more desirable (at least when it comes to actually doing field implementations, studies, property developments etc.) environs of big cities could, with all due conscience, begin to ignore the much poorer, less accessible and generally less “sexy”, rural dwellers. • Smart Technology will connect the home, office, mobile phone and car on a single wireless IT platform. Hmmm…. Like this: Like Loading...

Brésil - Curitiba, la ville où se trouve Esther - Blog des CM1 et CE2/CM1 Par Nadine-Karine Thevenet-Laurent (école Jean moulin chevreuse 78460) le 05 janvier 2014, 17:13 - vie de classe - Lien permanent Curitiba est une grande ville du Brésil et c'est aussi la capitale de l'Etat du Parana. Sa population était de 1 746 896 habitants en 2010. La région métropolitaine de Curitiba comptait 3 168 980 d'habitants en 2010. Curitiba dispose d'un niveau élevé en ce qui concerne l'éducation. Cette ville est considérée comme "intelligente" car elle se soucie, conjointement, de l'écologie, du développement durable, de la qualité de vie, de mettre à disposition des infrastructures performantes et d'avoir une économie dynamique. Elle est appelée la Cidade Modelo da América Latina (Cité-modèle de l'Amérique latine).

Tomorrow's cities - the lamp-posts watching every move 24 September 2014Last updated at 19:10 ET By Jane Wakefield Technology reporter Street lights are among a range of new network-connected city furniture Imagine an app aimed at showing thieves the best places for stealing. It's actually not hard to do - simply pull together publicly available data on disposable income, crime levels and problems reported in a district. It may reveal that the optimum place to go pilfering is in an area of high income, low reported crime and broken streetlights. The app not only exists but it won first prize in the "safety" category at an Amsterdam hackathon a few years back. Makkie Klauwe (it means "easy pickings" in Amsterdam slang) was created by Bram Fritz, a student who wanted to "provoke discussion on the role of open data in our society". Luckily for the citizens and police of Amsterdam the app never went into public use - but it is proof, if proof were needed, that data can be used for both good and bad. If that is the bad then consider the good.

La ville intelligente : modèles et finalités Si les villes sont aujourd’hui le lieu où vivent 50% de la population mondiale — une part qui passera à 70% en 2050 —, elles ne sont pas une réalité nouvelle. Si ce n’est pas le lieu pour retracer leur histoire, c’est celui pour rappeler que le génie de la logistique urbaine s’exerce depuis près de 6000 ans. De fait, la première « révolution urbaine », selon l’expression popularisée par l’archéologue australien Vere Gordon Childe, date du 5e millénaire avant notre ère, en Mésopotamie. Si ces premières cités ne regroupent que peu d’habitants, elles représentent cependant une véritable rupture et un défi posé à l’intelligence humaine. Un cercle (vertueux) s’installe : des réponses techniques et logistiques sont développées pour faciliter la vie des populations urbaines (adduction d’eau et évacuation des eaux usées, transport et stockage de nourriture, etc.), solutions permettant aux villes de croître davantage en accueillant de nouvelles populations.

How do we interface with smart cities?: Places: Design Observer Essay: Shannon Mattern Kicked a smart city lately? Rio Ops Center, designed by IBM. By now you’ve heard the “smart cities” pitch. As Ada Louise Huxtable might put it: Kicked a city lately? Typically the urban interface is imagined as a screen. And behind all those screens is a flood of data. Dashboard proposed by Arup for Melbourne city staff. As more cities adopt these technologies, we are beginning to see the political and epistemological contradictions of the smart city writ large, in steel and silicon. City governments, technology companies and design firms — the entities teaming up to construct these highly-networked future-cities — have prototyped various interfaces through which citizens can engage with the smart city. Governments and their citizens need to think more deeply about these designs. If the ops-center dashboard has received too little critical analysis, the public interface has received almost none at all. Tiny, benevolent explosions. The urban stack.

Les intelligences de la smart city Faire d’Issy-les-Moulineaux une ville « à énergie positive », voilà le but d’IssyGrid, un projet porté par cette commune des Hauts-de-Seine et son maire André Santini avec Microsoft – qui y a son siège – Schneider Electric, Steria et Bouygues Immobilier, exposé jeudi 13 février 2014 lors des TechDays de Microsoft, le grand événement annuel de l’éditeur de logiciel américain, à l’occasion de la keynote sur les objets connectés, la session-reine du jour. Sur le stand « e-administration », on pouvait voir une démo de MaCollectivité, un tableau de bord pour élu, ou bien encore une borne de visio-conférence utilisé par le conseil général des Alpes-de-Haute-Provence pour échanger avec ses administrés et faciliter leurs démarches. Egoûts d’Haussmann et Chili sauce cybernétique - Comme souvent avec les termes de marketing, la réalité qu’ils recouvrent n’est pas entièrement nouvelle. Les cités n’étaient pas « bêtes » avant.

Smart city : la ville comme « objet collaboratif » D'emblée, les débats achoppent sur des questions de vocable. Quelle définition donner de la ville intelligente ? Quelles réalités celle-ci recouvre-t-elle ? Quels enjeux engage-t-elle ? Réunis à l'invitation d'Acteurs de l'économie-La Tribune, dans les nouveau locaux de l'Université de Lyon. Pour Renaud Gaultier, entrepreneur, spécialiste des pédagogies liées à l'innovation, « la ville intelligente relève prioritairement d'un projet digital dans un contexte de transition énergétique, socio-culturelle et environnementale qui oblige à s'interroger sur le partage de l'intelligence ». Renaud Gaultier, entrepreneur, spécialiste des pédagogies liées à l'innovation, concepteur et fondateur du programme IDEA (EMLyon, Centrale Lyon). Charles-Édouard Delpierre, responsable Territoires intelligents au sein de Cofely Ineo, le rejoint, la smart city voyant « ces métiers qui font la ville, acteurs publics, parapublics et acteurs de l'entreprise, s'immerger dans le numérique ». Les exemples japonais

How to build a city from scratch: the handy step-by-step DIY guide | Cities Building a real city from scratch isn’t like playing Minecraft, Civilization or SimCity. Well, it is a little. But problems arise in reality that don’t come up in cyberspace, including vainglorious dictators, pompous architects, bureaucratic impedimenta and the fact that much of the best land is already inhabited by those intractable objects: pesky humans. Nevertheless, after studying several urban planning projects around the world, we’ve mastered the step-by-step process of how to build your very own real city. Step 1: Choose a location Before you begin, you need a spot. Tajikistan’s president, Emomali Rahmon, recently laid the foundation stone for Saihoon, a new city for 250,000 people on a 14,000-hectare (34,580-acre) desert site. If you don’t have a desert or uninhabited island to hand, build one. Step 2: Ensure a reliable water supply This may sound elementary, but consider what happened to the city of Fatehpur Sikri. Step 3: Ensure a reliable money supply Step 4: Think about jobs

La «smart city» n’est pas si «smart» que ça Au vu de ce méga test de QI urbain, l’Europe ne compterait en tout et pour tout que six surdouées présentant la caractéristique d’être dotées d'une «politique ou d'une stratégie de ville intelligente»: Amsterdam, Barcelone, Copenhague, Helsinki, Manchester et Vienne. Sur un échantillon constitué des 468 plus grandes villes européennes analysées, pas de quoi pavoiser. Ni pour l’Europe, ni a fortiori pour la France. Heureusement, Lyon, classée dixième, sauve l’honneur. Appellation fourre-tout Mais, au fait, que faut-il entendre par «smart city»? Bien sûr, le palmarès des smart cities françaises hisse, lui aussi, la mobilité au rang de priorité. On pourrait égrener à l’infini les variations conceptuelles de la smart city À la limite peu importe. Lyon n’est pas un cas isolé. Logique d’empilement sans cohérence d’ensemble Même sentiment de confusion lorsqu’on cherche à savoir précisément ce que recouvre une «stratégie smart city» à travers l’exemple de Lyon. Partenaires très privilégiés

Êtes-vous élu en charge du numérique ? De l’e-administration ? De la smart city Smart city, French Tech, e-administration, démocratie participative…, le thème du numérique semble incontournable pour les collectivités aujourd’hui. Mais toutes ne le portent pas de la même façon, ni ne lui accordent la même importance, comme le montre la petite étude que nous avons menée sur les 50 plus grandes villes de France. La position des élu.e.s dans l’organigramme, l’intitulé du poste, le nombre d’élu.e. dédiés, l’approche transversale ou thématique constituent autant de paramètres. En force à Paris, Orléans… Au total, nous estimons qu’au moins la moitié des villes examinées consacrent une ou plusieurs délégations en position forte ou moyenne (adjoint placé plus ou moins haut), témoignant d’une montée en puissance certaine du sujet. En outre, il ne faut pas se fier à l’absence de champ lexical du numérique dans leur intitulé. Plus inattendu, Orléans met aussi le numérique sur le devant de la scène. A lire aussi Le label French Tech espère fédérer les écosystèmes numériques Focus

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