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Smart city, ville intelligente

Smart city, ville intelligente
Elle est le reflet d’une ambition partagée qui consiste à produire une ville plus durable, offrant de meilleurs services à ses habitants, avec un maximum d’efficience pour limiter les coûts. Pour cela, le récent rapport de l’Institut de l’Entreprise (Smart Cities. Efficace, Innovante, Participative : Comment rendre la ville plus intelligente) nous explique que « la métropole intelligente développe le numérique dans les services urbains pour rendre la ville plus efficace, expérimente de nouvelles collaborations public-privé pour accroître les retombées économiques et fait participer les habitants à la fabrication de la ville ». Concrètement, les projets de ville intelligente qui fleurissent autour de nous peuvent être classés, pour simplifier, en trois catégories : Le citadin-objet qui veut reprendre la main Le citadin-objet fait son check-in sur Foursquare. Intéressons-nous d’abord au premier type de projet. Est-ce que je pourrais me rendre anonyme ? Les citadins intelligents Related:  Smart City ?

Smart Cities vs. Smart Communities: Empowering Citizens not Market Economics | Gurstein's Community Informatics “Smart Cities” has become a flavour of the day for governments, the private sector, even academics all of whom see this meme as being a way to translate the “hype”, err “glitz”, err “glory” of new tech–digital technology to the grimy old practices and policies of urban agglomerations and urban management. The fact that according to the UN, sometime over the last year or so the balance between those living in urban areas and those living in rural areas tipped irrevocably over to the urban side. Now those who had always hankered to focus on the rather richer and more desirable (at least when it comes to actually doing field implementations, studies, property developments etc.) environs of big cities could, with all due conscience, begin to ignore the much poorer, less accessible and generally less “sexy”, rural dwellers. • Smart Technology will connect the home, office, mobile phone and car on a single wireless IT platform. Hmmm…. Like this: Like Loading...

"Grâce au cloud, on saura tout de votre conduite", explique Patrick Pélata, vice-président de Salesforce - 2 Ancien numéro 2 de Renault (écarté en 2012), Patrick Pélata est aujourd'hui au cœur d’une nouvelle révolution : la voiture connectée à Internet. Capital : Vous êtes passé brutalement du siège de Renault à Boulogne, à celui de Salesforce, un leader du «cloud computing» et de la gestion de la relation client basé dans la Silicon Valley. Pas de regret ? Capital : La mutation s’accélère ? Capital : Mais concrètement, à quels types d’applications doit-on s’attendre ? Smartcities. Quelles clés numériques pour la ville intelligente? La ville intelligente constitue-t-elle une réponse pertinente au défi global de l'explosion démographique urbaine? Quels chantiers prioritaires pour la ville intelligente? Retour sur la conférence la ville 2.0, objectif 2020. La "smartcity" ou "ville intelligente" constitue-t-elle une réponse pertinente au défi global de l'explosion démographique urbaine? A l'heure de la prise de conscience collective touchant à la rareté des ressources naturelles, aux limites des modèles urbains existants ou encore à la nécessité de la réinvention du fonctionnement des services publics locaux, le concept de ville connectée et durable s'est progressivement imposé comme l'une des réponses possibles à ces différents défis. Le numérique et la troisième révolution de la ville contemporaine Le numérique constitue la troisième révolution organisationnelle majeure pour les systèmes urbains contemporains, après le passage à l'électricité puis l'introduction et la massification de l'usage automobile.

Tomorrow's cities - the lamp-posts watching every move 24 September 2014Last updated at 19:10 ET By Jane Wakefield Technology reporter Street lights are among a range of new network-connected city furniture Imagine an app aimed at showing thieves the best places for stealing. It's actually not hard to do - simply pull together publicly available data on disposable income, crime levels and problems reported in a district. It may reveal that the optimum place to go pilfering is in an area of high income, low reported crime and broken streetlights. The app not only exists but it won first prize in the "safety" category at an Amsterdam hackathon a few years back. Makkie Klauwe (it means "easy pickings" in Amsterdam slang) was created by Bram Fritz, a student who wanted to "provoke discussion on the role of open data in our society". Luckily for the citizens and police of Amsterdam the app never went into public use - but it is proof, if proof were needed, that data can be used for both good and bad. If that is the bad then consider the good.

Google, l’auteur absolu | Creationlibre Malgré tous les efforts réalisés par de nombreuses communautés pour dénoncer les clauses abusives de certains services en ligne et malgré le discours toujours plus grandissant sur la propriété intellectuelle et le droit à l’image, il semble cependant que la réalité prenne une autre direction. En exemple encore les modifications apportées récemment aux conditions générales google que nous ferons suite à notre article publié il y a déjà presque 2 ans. Google analyse les contenus Alors que tout le monde s’offusque des pratiques de la NSA ou des renseignements généraux, Google inclus, il se pourrait bien que Google ait compris que cette indignation ne soit que de façade. Nos systèmes automatisés analysent vos contenus (y compris les e-mails) Brefs, si vous pensiez que Google ne pouvez pas tout lire et que vous pouviez dormir sur vos deux oreilles, vous voilà mal à l’aise. Google posséde vos contenus autant que vous L’autre point habituel concerne donc la propriété. enfin à la Microsoft,

Internet des objets Du boulevard connecté à la ville intelligente Septembre 2013 - Paru dans Solutions&Logiciels N° 41 - Voir le sommaire du numéro Avec 47 projets innovants en moyenne, la “ville numérique” compte réduire les nuisances et les risques, moderniser la relation avec les citoyens et favoriser la création d’emplois locaux. Olivier Bouzereau D’ici à 2020, 50 milliards de capteurs et d’autres objets communicants seront connectés au réseau Internet. C’est cinq fois plus qu’on n’en compte aujourd’hui. Une opportunité de longue haleine déjà saisie par IBM (programme Smarter City), Cisco (Boulevard connecté), Schneider Electric (Smart City) et d’autres industriels. Plusieurs dizaines de collectivités territoriales sur l’Hexagone encouragent cet essor, souhaitant maîtriser les services et les données collectées en temps réel. La “Smart City” s’appuie sur un système mutualisé, émergent et complexe, qui accompagne le phénomène Open Data, présent dans tout appel d’offres ou marché public désormais. Motivations multiples Projets e-citoyens

La ville intelligente : modèles et finalités Si les villes sont aujourd’hui le lieu où vivent 50% de la population mondiale — une part qui passera à 70% en 2050 —, elles ne sont pas une réalité nouvelle. Si ce n’est pas le lieu pour retracer leur histoire, c’est celui pour rappeler que le génie de la logistique urbaine s’exerce depuis près de 6000 ans. De fait, la première « révolution urbaine », selon l’expression popularisée par l’archéologue australien Vere Gordon Childe, date du 5e millénaire avant notre ère, en Mésopotamie. Si ces premières cités ne regroupent que peu d’habitants, elles représentent cependant une véritable rupture et un défi posé à l’intelligence humaine. Un cercle (vertueux) s’installe : des réponses techniques et logistiques sont développées pour faciliter la vie des populations urbaines (adduction d’eau et évacuation des eaux usées, transport et stockage de nourriture, etc.), solutions permettant aux villes de croître davantage en accueillant de nouvelles populations.

Comment je me fais avoir ? Comment mon ordinateur se fait infecter ? Note d'information : Droits d'auteur attachés à cette page © Pierre Pinard - 1999 - 2015. Ce document, intitulé « Comment je me fais avoir », dont l'url est « », est extrait de l'encyclopédie de la sécurité informatique « ». Il est mis à votre disposition selon les termes de licence « Creative Commons » qui s'imposent à vous. Vous avez le droit de copier et modifier la copie de cette page, ou un extrait de cette page, dans les conditions fixées par cette licence et tant que cette note d'information reste attachée à ce document original ou a son extrait, et reste reproduite intégralement et apparaît clairement dans la copie ou la copie modifiée. Toutes les marques citées appartiennent à leurs propriétaires respectifs. Responsabilité Le principe d'absence de responsabilité du site d'origine, au regard des contenus des sites cibles pointés, est rappelé par l'arrêt du 19 septembre 2001 de la Cour d'Appel de Paris.

Smart City : la ville intelligente, la ville « communicante » Accueil » Entreprises » La concentration de la population en ville de plus en plus forte entraine des difficultés inédites. Les villes doivent répondre aux besoins accrus de ressources comme l’eau ou l’énergie, de services comme le transport ou le logement. En théorie et d’après Rudolf Giffinger, les villes doivent s’appuyer sur 6 leviers pour devenir intelligentes : l’économie, la mobilité, l’environnement, les habitants, le mode de vie et la gouvernance. En pratique les 6 leviers sont intimement liés. Il est impensable aujourd’hui d’aborder l’un de ces leviers sans l’intégrer de façon efficace et complète dans un système global de stockage, de traitement et d’analyse de de données. Les NTIC permettent à la ville de tirer un profit maximal de chacun des 6 leviers afin d’être le plus smart possible : est l’une des villes précurseur dans ce domaine. Plusieurs facteurs sont dans le développement des Smart Cities : Tags : Lire aussi

How do we interface with smart cities?: Places: Design Observer Essay: Shannon Mattern Kicked a smart city lately? Rio Ops Center, designed by IBM. By now you’ve heard the “smart cities” pitch. As Ada Louise Huxtable might put it: Kicked a city lately? Typically the urban interface is imagined as a screen. And behind all those screens is a flood of data. Dashboard proposed by Arup for Melbourne city staff. As more cities adopt these technologies, we are beginning to see the political and epistemological contradictions of the smart city writ large, in steel and silicon. City governments, technology companies and design firms — the entities teaming up to construct these highly-networked future-cities — have prototyped various interfaces through which citizens can engage with the smart city. Governments and their citizens need to think more deeply about these designs. If the ops-center dashboard has received too little critical analysis, the public interface has received almost none at all. Tiny, benevolent explosions. The urban stack.

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