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Les pratiques de discussion à visée philosophique À l’école primaire et au (...)

Les pratiques de discussion à visée philosophique À l’école primaire et au (...)
État des lieux en février 2003 J’ai rassemblé nombre de témoignages et tenté une première typologie de la diversité des pratiques de terrain dans plusieurs ouvrages [1] : courant des « préalables à la pensée », centré sur l’expérience existentielle du cogito comme dé-marche structurante de la construction identitaire du sujet [2] (A. Pautard, J. Lévine...) : l’élève s’y éprouve dans l’échange entre pairs comme un « parl’être » (Lacan) se constituant en « pens’être », se dotant d’un langage intérieur (A. Perrin) ; courant de la maîtrise de « l’oral réflexif » (D. Il s’agit là d’une typologie empirique, à partir de la diversité des expériences connues, instituantes parce que non institutionnalisées, qui vise plus à décrire le type de préoccupation, d’angle d’entrée dans l’activité des praticiens, qu’à discerner par une échelle normative le degré de « philosophicité » des activités en vue de prescrire (nous sommes là, pour reprendre les catégories de J. Enjeux et spécificité de ces pratiques

Repenser la différence anthropologique. Prolégomènes à toute éthologie future… Philosophie Que diraient les animaux si... on leur posait les bonnes questions ? Éditeur : La Découverte Revisiter les fondements de l’éthologie Vinciane Despret à travers ce nouvel ouvrage sur la condition animale nous propose une autre vision de la différence anthropologique. Même si on retrouve quelques thèmes pivots comme nous allons le voir, Vinciane Despret revendique non seulement un raisonnement mais aussi un style original. Brouiller les codes, les codes du livre, les codes du faire science, pour mieux faire passer, sans la lourdeur qui sert d’ordinaire de cachet à la vérité scientifique une autre vision de la condition animale. Le multi-perspectivisme comme méthode "Ni sens ni clé de lecture qui s’imposent" mais on peut quand même repérer au moins un thème de l’abécédaire qui en recoupe beaucoup d’autres, c’est celui de la Version. De nombreux autres thèmes sont ainsi abordés et passés au tamis du multi-perspectivisme.

Qu'est-ce que la philosophie ? - Carole Maigné, article Philosophie Philosopher, c'est créer des concepts. Tel est le leitmotiv de Gilles Deleuze et Félix Guattari qui les amène, ce faisant, à repenser le rapport de la philosophie à la vérité. « Peut-être ne peut-on poser la question : "Qu'est-ce que la philosophie ?" que tard, quand vient la vieillesse, et l'heure de parler concrètement. En fait, la bibliographie est très mince. Dégager l'événement Ce que G. Le constructivisme est inséparable d'une philosophie de l'immanence : il s'agit de tracer des lignes conceptuelles horizontales qui refusent toute profondeur, c'est-à-dire la fausse transcendance verticale des choses sur nous, sur notre saisie. La philosophie ne démontre ni ne prouve rien Le prix à payer d'une telle conception de la philosophie - certains préféreraient bien sûr parler d'un gain - est le renoncement à la vérité comme critère de la validité du concept. Une telle position sur la philosophie peut susciter un certain nombre de problèmes. Carole Maigné

Michel Tozzi "Nouvelles pratique philosophiques à l'école et dans la cité" > Entre Vues > News Michel Tozzi Présentation de l’ouvrage Philosopher à l’école maternelle, primaire, en collège, en lycée professionnel, dans des médiathèques, des maisons des jeunes, des foyers de jeunes travailleurs…, ou philosopher dans un café philo, banquet philo, ciné philo, théâtre philo ; au cours d’une rando philo, avec une BD philo, par une consultation philo privée ou en entreprise…, ou philosopher en prison, en maison de retraite, à l’hôpital, en pédopsychiatrie … etc. Dans chaque cas, de Nouvelles Pratiques Philosophiques (NPP) se mettent place. - décrire et analyser l’émergence de ces pratiques philosophiques sociales et scolaires souvent inédites, répondant à une demande sociale et esquissant une image nouvelle de la philosophie ; - dresser un panorama de la diversité des publics, des lieux d’exercices et des méthodes utilisées ; - inventorier les genres qui se cherchent puis se stabilisent, autour des tenants et aboutissants philosophiques ; Présentation de l’auteur Plan de l’ouvrage Préface

Philotozzi | L'apprentissage du Philosopher Kairos, le dernier mot à la mode... Je ne sais pas si vous êtes comme moi mais j'entends partout parler de Kairos. Ce mot n'est pas nouveau, il vient du grec et signifie "moment propice" ou "moment opportun". Voilà la définition qu'en donne le site agora : Kairos est le dieu de l'occasion opportune, du right time, par opposition à Chronos qui est le dieu du time. Ce mot, je l'ai vu pour la première fois, écrit par Laurent Fabius dans son livre Cela commence par une balade (édité en 1983...). moments "magiques", donc propices dans la vie d'un client. déménagementaugmentation de salairemariage / séparationnaissance au foyermaladiesnouveau sport pratiqué ou nouveau hobbyretraiteetc... «Je voudrais ajouter quelques mots sur la notion de kairos, dont il a été question plusieurs fois.

Praxis Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom. Sur les autres projets Wikimedia : praxis, sur le Wiktionnaire Praxis (nf, d'origine grecque) peut désigner : L'action au sens strict, en opposition à la théorie, et immanente sans autre fin que le perfectionnement de l'agent. Chez Sartre, dans sa Critique de la raison dialectique, la praxis désigne le champ de l'activité pratique s'opposant à l'hexis (pratique rigidifiée)[4]. Chez Antonio Gramsci, la philosophie de la praxis désigne sa propre conception du marxisme opposée au déterminisme économique. Selon les situationnistes, qui rejoignent en cela Antonio Gramsci, la praxis est la pratique qui se reconnaît elle-même par la théorie qui découle de son action. Entreprises[modifier | modifier le code] Fiction[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code] Portail de la philosophie antique

Le Syndrome de Pénélope J'ai trouvé dans un excellent article de Charles Népote une question que je me suis déjà posé : "sommes nous condamnés à faire le jour (pour le boulot) ce qu'on va redouter la nuit (pour le futur de nos enfants) ?". J'aime cette notion de "Syndrome de Pénélope", qui exprime l'opposition entre le travail qu'on fait le jour et nos intérêts en tant qu'humain, citoyens et parents. Le problème c'est que le syndrome de Pénélope ne concerne pas que les revendeurs de drogue, mais un nombre impressionnant de gens. En particulier, chacun d'entre nous, en tant que professionnel, a intérêt à avoir une croissance la plus forte possible, dans la mesure où c'est bénéfique pour son entreprise, et donc son emploi. Le souci, c'est que le risque de perdre son boulot est un risque à court terme, bien plus que la destruction de la planète, qui est à plus long terme.

Expérience de pensée Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une expérience de pensée est généralement composée de trois étapes : Il faut bien sûr garder à l'esprit qu'une expérience de pensée est souvent une illustration, et n'explique alors qu'imparfaitement l'idée dont elle découle. Ce n'est en aucun cas une démonstration. Exemples d'expériences de pensée[modifier | modifier le code] En physique[modifier | modifier le code] En thermodynamique : Le démon de Maxwell (James Clerk Maxwell, 1871) En relativité restreinte : En mécanique quantique : En philosophie[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] François-Xavier Demoures et Éric Monnet, « Le monde à l’épreuve de l’imagination : Sur « l’expérimentation mentale » », Tracès, ENS, no 9,‎ 2005, p. 37-51 (DOI 10.4000/traces.177, résumé)

Les Mots et les Choses Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Mots et les Choses (Une archéologie des sciences humaines) est un essai de Michel Foucault, publié aux éditions Gallimard en 1966. Avec L'Archéologie du savoir, c'est dans cet ouvrage que Foucault développe la notion d’épistémè. Foucault semble avoir tout d'abord privilégié le titre de L'Ordre des choses, avant de le changer pour satisfaire son éditeur, Pierre Nora[1]. Contenu du livre[modifier | modifier le code] Le livre s'ouvre sur une description et un commentaire détaillés du tableau Les Ménines de Diego Velázquez et de l'arrangement complexe de ses lignes de plan et de ses effets cachés. « Peut-être y a-t-il, dans ce tableau de Velásquez, comme la représentation de la représentation classique », écrit Foucault. « Ce sont tous ces phénomènes de rapport entre les sciences ou entre les différents discours dans les divers secteurs scientifiques qui constituent ce que j’appelle épistémè d’une époque »

épistémè Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire. Français[modifier | modifier le wikicode] Étymologie[modifier | modifier le wikicode] (xx e siècle) Du grec ancien ἐπιστήμη, epistêmê (« science »). Nom commun[modifier | modifier le wikicode] épistémè /e.pis.te.mɛ/ féminin (Philosophie) Ensemble des connaissances scientifiques, du savoir d’une époque et ses présupposés. Apparentés étymologiques[modifier | modifier le wikicode] Traductions[modifier | modifier le wikicode] Rasoir d'Ockham Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le rasoir d'Ockham ou rasoir d'Occam est un principe de raisonnement philosophique entrant dans les concepts de rationalisme et de nominalisme. Son nom vient du philosophe franciscain Guillaume d'Ockham (XIVe siècle), bien qu'il fût connu avant lui. On le trouve également appelé principe de simplicité, principe d'économie ou principe de parcimonie (en latin lex parsimoniae). Il peut se formuler comme suit : Pluralitas non est ponenda sine necessitate« Les multiples ne doivent pas être utilisés sans nécessité. » L'énoncé Entia non sunt multiplicanda praeter necessitatem, littéralement « Les entités ne doivent pas être multipliées par delà ce qui est nécessaire », est une variante souvent attribuée à Guillaume d'Ockham sans cependant qu'il y en ait trace dans ses écrits. Une formulation plus moderne est que « les hypothèses suffisantes les plus simples sont les plus vraisemblables ». Historique[modifier | modifier le code]

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