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Jeremy Rifkin : « Partageons l'énergie comme l'information »

Jeremy Rifkin : « Partageons l'énergie comme l'information »
L’Américain, pour qui on est entré dans la « civilisation de l’empathie », donne une leçon de modernité à Sarkozy, chantre du nucléaire. « Une nouvelle conscience pour un monde en crise », sous-titre : « La Civilisation de l’empathie », qui vient de paraître en français (Les Liens qui Libèrent, 29 euros) fera-t-il date ? Si l’on en croit le devenir des précédents essais du président de la Fondation pour les tendances économiques, c’est probable. Depuis les années 70, celui qui fait profession de conseiller des grands de ce monde assène quelques vérités, qui lui valent d’être critiqué. Ainsi : en 1977 dans « Who should play God ? Venu à Paris pour parler de l’émergence d’une nouvelle civilisation, Jeremy Rifkin, conseiller de la gauche américaine et européenne, a cet art d’annoncer les catastrophes à coup de données précises et de sourires malicieux. La couverture de « Une nouvelle conscience pour un monde en crise » de Jeremy Rifkin. Pour faire simple, sa thèse est la suivante :

Le rapport qui plombe la voiture électrique et prône l'hybride L'avenir de la voiture ? L'hybride rechargeable répond sans ambages le projet de rapport réalisé par la mission Syrota pour le compte du Conseil d'analyse stratégique (CAS), que s'est procuré La Tribune. La version définitive, dont la publication est prévue ces prochaines semaines, ne devrait pas comporter de modifications changeant radicalement le fond de la réflexion. L'intitulé de cette étude - "La voiture de demain : carburant et électricité" - menée par celui qui dirigea de 1982 à 1988 la direction générale de l'énergie, exprime clairement que l'avenir de l'automobile passe d'abord par les véhicules hybrides. Très exhaustif, le rapport scanne l'ensemble des scénarios qu'impose l'évolution du concept de mobilité. Ce que d'aucuns qualifieraient de coup de grâce apparaît lorsque le rapport aborde l'aspect économique du dossier. Douce utopie ? Face à tant d'obstacles, la voiture électrique passerait pour une douce utopie. - Ces progrès sont réels et vont se poursuivre.

stanford : histoire des TECHNIQUES First published Fri Feb 20, 2009; substantive revision Fri Dec 13, 2013 If philosophy is the attempt “to understand how things in the broadest possible sense of the term hang together in the broadest possible sense of the term”, as Sellars (1962) put it, philosophy should not ignore technology. It is largely by technology that contemporary society hangs together. It is hugely important not only as an economic force but also as a cultural force. Indeed during the last two centuries, when it gradually emerged as a discipline, philosophy of technology has mostly been concerned with the impact of technology on society and culture, rather than with technology itself. The entry starts with a brief historical overview, then continues with a presentation of the themes that modern analytic philosophy of technology focuses on. 1. 1.1. Philosophical reflection on technology is about as old as philosophy itself. 1.2. 2. 2.1. 2.2.

Science Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La science (latin scientia, « connaissance ») est « ce que l'on sait pour l'avoir appris, ce que l'on tient pour vrai au sens large, l'ensemble de connaissances, d'études d'une valeur universelle, caractérisées par un objet (domaine) et une méthode déterminés, et fondés sur des relations objectives vérifiables [sens restreint] »[1]. La volonté de la communauté savante, garante des sciences, est de produire des « connaissances scientifiques » à partir de méthodes d'investigation rigoureuses, vérifiables et reproductibles. Quant aux « méthodes scientifiques » et aux « valeurs scientifiques », elles sont à la fois le produit et l'outil de production de ces connaissances et se caractérisent par leur but, qui consiste à permettre de comprendre et d'expliquer le monde et ses phénomènes de la manière la plus élémentaire possible — c'est-à-dire de produire des connaissances se rapprochant le plus possible des faits observables.

Histoire des sciences Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'histoire des sciences est l’étude de l'évolution de la connaissance scientifique. L'histoire des sciences n'est pas la chronique d'une série de découvertes scientifiques. C'est l'histoire de l'évolution d'une pensée, mais aussi d'institutions qui offrent à cette pensée les moyens de se déployer, et de traditions qui viennent l'enrichir. L'histoire des sciences n'est pas l'histoire des techniques. Préhistoire[modifier | modifier le code] Historiquement, la technique précède la science. Le développement de l'agriculture et de l'élevage ne sont pas non plus sans rapport avec l'émergence de certaines protosciences, le calcul et l'astronomie en particulier[réf. nécessaire]. Antiquité[modifier | modifier le code] L'homme pense à son environnement depuis la nuit des temps, comme en témoignent les fresques préhistoriques. Pré-science mésopotamienne et babylonienne[modifier | modifier le code] Sciences égyptiennes[modifier | modifier le code] Aristote

wiki : PHASES Histoire des sciences Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La science (latin scientia, « connaissance ») est « ce que l'on sait pour l'avoir appris, ce que l'on tient pour vrai au sens large, l'ensemble de connaissances, d'études d'une valeur universelle, caractérisées par un objet (domaine) et une méthode déterminés, et fondés sur des relations objectives vérifiables [sens restreint] »[1]. La volonté de la communauté savante, garante des sciences, est de produire des « connaissances scientifiques » à partir de méthodes d'investigation rigoureuses, vérifiables et reproductibles. Quant aux « méthodes scientifiques » et aux « valeurs scientifiques », elles sont à la fois le produit et l'outil de production de ces connaissances et se caractérisent par leur but, qui consiste à permettre de comprendre et d'expliquer le monde et ses phénomènes de la manière la plus élémentaire possible — c'est-à-dire de produire des connaissances se rapprochant le plus possible des faits observables.

Histoire des techniques Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jusqu'au XVIIIe siècle, les progrès techniques ont précédé les progrès scientifiques, le XIXe siècle a été une période de grandes innovations accompagnant la révolution industrielle, et l'occasion d'un rapprochement entre techniques et sciences. Depuis le milieu du XXe siècle progrès techniques et scientifiques sont intimement liés[1]. Histoire de la discipline[modifier | modifier le code] L'histoire des techniques est un sujet d'étude assez récent, qui est apparu, en tant que domaine historique, dans l'entre-deux-guerres, à un moment où conjointement la technique (la rationalisation) et l'économie (la crise de 1929) faisaient débat. Chronologie[modifier | modifier le code] Certains auteurs défendent les idées selon lesquelles l'évolution des techniques est cumulative et la vitesse d'évolution augmente de manière exponentielle au cours de l'histoire : on parle de « l'accélération du progrès scientifique et technique ». Exemples

Edgar Morin Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Morin. Edgar Morin Edgar Nahoum, dit Edgar Morin, né à Paris le , est un sociologue et philosophe français. Biographie[modifier | modifier le code] Il s'intéresse très vite aux pratiques culturelles qui sont encore émergentes et mal considérées par les intellectuels : L'Esprit du temps (1960), La Rumeur d'Orléans (1969). Durant les années 1960, il part près de deux ans en Amérique latine où il enseigne à la Faculté latino-américaine des sciences sociales. Aujourd'hui directeur de recherche émérite au CNRS, Edgar Morin est docteur honoris causa de plusieurs universités à travers le monde. Il est membre du comité de parrainage de la Coordination française pour la Décennie de la culture de paix et de non-violence. Morin a écrit plusieurs ouvrages revenant sur son passé, dont Autocritique en 1959, Vidal et les siens sur son père en 1989 et Itinérance publié en 2006. Distinctions[modifier | modifier le code]

Histoire des Sciences "L'étude du progrès scientifique et technique dans les temps modernes n'est pas seulement indispensable à la compréhension de phénomènes comme la prépondérance de l'Europe ou la révolution industrielle et agricole, elle prépare les élèves à la complexité du monde du XXème siècle et à la révolution scientifique de notre temps." Instructions officielles de quatrième de Collège Quelques éléments d'histoire des sciences et des techniques: Ce n'est que relativement récemment que les historiens se sont intéressés à l'épistémologie, c'est-à-dire à l'étude critique des sciences, de la formation et des conditions de la connaissance. les sciences abstraites (mathématique et logique) les sciences expérimentales (physique, chimie, biologie, ...) les sciences humaines ou sciences de l'homme (histoire, géographie, linguistique, ...) Or , le monde dans lequel nous vivons a une évidente connotation scientifique et technique. " Deuxième élément de cohérence, le progrès scientifique et technique.

Syndrome de l'île de Pâques Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Image satellitale de l’île Le syndrome de l'île de Pâques (Easter Island Syndrome en anglais) est un concept créé par J.F. Thèse[modifier | modifier le code] Selon Richard, la culture disparue a subi le monopole de l'autre concernant l'exploitation du bois insulaire. Critique[modifier | modifier le code] Dans son article « Du génocide à l'écocide », « B. Notes et références[modifier | modifier le code] Annexes[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Jean-François Dortier, « Île de Pâques : la catastrophe a-t-elle vraiment eu lieu ?

Pensée complexe Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ce concept exprime une forme de pensée acceptant les imbrications de chaque domaine de la pensée et la transdisciplinarité. Le terme de complexité est pris au sens de son étymologie « complexus » qui signifie « ce qui est tissé ensemble » dans un enchevêtrement d'entrelacements (plexus). Définition d'Edgar Morin[modifier | modifier le code] Nuage de tags « complexe » « Quand je parle de complexité, je me réfère au sens latin élémentaire du mot "complexus", "ce qui est tissé ensemble". Principes[modifier | modifier le code] Il convient davantage de parler de pensée complexe que de « pensée critique », puisque la pensée complexe englobe les trois modes de pensée : critique, créative et responsable. Principes sous-jacents[modifier | modifier le code] Edgar Morin invite à réformer la pensée et à entrer dans un paradigme de complexité ou encore à se doter d'une épistémologie complexe. [réf. nécessaire] Le tiers inclus[modifier | modifier le code]

L’immense chantier du Smart Grid Ils en sont tous fous ! Après Intel, Google ou General Electric, c’est au tour de Cisco Systems d’annoncer cette semaine sa volonté de passer à la vitesse supérieure dans le « Smart Grid ». Une bonne occasion de revenir sur ces solutions technologiques qui visent à rendre « intelligents » nos vieux réseaux électriques. Etat des lieux. Et pour commencer, un simple chiffre : 11. Une problématique globale et domestique Fort de ces belles promesses, la révolution « Smart Grid » commence tout doucement à se mettre en ordre de bataille. Miami comme avant-première mondiale Mais si le réseau intelligent sera sans doute la sensation éco-innovante de la prochaine décennie, tout reste pour l’instant à inventer : dispositifs de télécommunication, outils de gestion, processeurs spécifiques… Premier projet de grande envergure, l’« Energy Smart Miami » devrait servir de laboratoire à ciel ouvert pour cette nouvelle vague cleantech. Source de l’illustration : www.urbanecoist.com

Théorie de l'acteur-réseau Pour les articles homonymes, voir ANT. Effet réseau (Network effect) Principes fondateurs[modifier | modifier le code] Pour ces théoriciens, le monde ne doit pas être pensé en termes de groupes sociaux, mais en réseau (en un sens précis qui ne correspond aucunement à celui de réseau internet). Ce qui fait le social, c'est l'« association », la formation de « collectifs » et l'ensemble des relations et les médiations qui les font tenir ensemble (voir Latour, Changer de société, refaire de la sociologie). Cette conception se veut « symétrique » (voir David Bloor et le projet d'une « anthropologie symétrique » proposé par Latour dans Nous n'avons jamais été modernes, 1991) et tout se trouve alors être d'égale importance pour l'analyse, qu'il s'agisse des facteurs organisationnels, cognitifs, discursifs ou, plus généralement, des entités « non-humaines » qui entrent dans la composition des collectifs. Concepts et méthode[modifier | modifier le code] Concepts de base[modifier | modifier le code]

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