Etude de cas : comment Clarins pilote sa stratégie digitale Envoyer une photo de son visage à la conseillère beauté, scanner une crème de soin pour en connaître les ingrédients, le mode d’application… tout cela est désormais possible pour les clientes de Clarins via mobile que la marque vient de lancer “Mon fil Rouge Beauté ”. À l’origine de cette initiative, on trouve Laurent Malaveille, Directeur Digital, CRM et E-Commerce du Groupe Clarins qui s’est appuyé sur l’expertise de Dagobert. « C’est la première fois que l’on met à profit les fonctionnalités d’un smartphone, (caméra,enregistrement vocal, …) pour rendre plus interactif et ludique le dialogue avec les clients », explique-t-il. À vrai dire, Laurent Malaveille n’en est pas à son coup d’essai. Comment mettre les possibilités offertes par le numérique au service de la marque et de la relation clients ? ETAPE 1 : Définir les axes stratégiques ETAPE 2 : construire une plateforme digitale groupe. ETAPE 3 : constituer une base de données homogène pour ses contenus
« Avec le digital, le brand content revient sur le devant de la scène » Comment est né le concept de brand content ? Le brand content n’a rien de nouveau. Depuis le début de la publicité, dans les années trente-quarante, le brand content consistait à proposer des soap-operas. Procter & Gamble a été l’un des premiers annonceurs à mélanger le contenu à ses produits pour plaire à des consommateurs. Dans le but de capter l’attention des ménagères américaines, pendant leurs activités, le groupe a conçu des émissions de fiction pour placer son produit dans des situations du quotidien. De cette façon, la cliente qui effectuait ses tâches ménagères, regardait le programme reposant sur des thématiques à l’eau de rose, sponsorisé par Procter & Gamble. L’arrivée du digital a-t-elle changé la donne ? Étant donné que le contenu à la télévision ou dans un magazine print se révèle très coûteux, le digital et les réseaux sociaux ont permis au brand content de revenir sur le devant de la scène.
Facebook va-t-il disparaître d’ici 2020? Eric Jackson, fondateur de Ironfire Capital, a déclaré lundi dans l’émission Squawk on the Street (CNBC) que Facebook perdrait sa réputation d’entreprise Web majeure d’ici 2020. « Dans cinq à huit ans, Facebook et Google vont disparaître de la même façon que Yahoo a disparu, » a t’il précisé. « Yahoo gagne encore de l’argent, l’entreprise est toujours rentable avec près de 13 000 employés travaillant pour elle, mais elle ne représente aujourd’hui que 10% de la valeur qu’elle avait en 2000″. Pour Eric Jackson, également économiste et blogueur chez Forbes, il y a trois générations de sociétés web. La première génération est représentée par des gros portails web comme Google ou Yahoo, où le contenu a été agrégé en un seul endroit. Le mois dernier, Facebook a reconnu son défi mobile dans un document réglementaire. Alors, comment Eric Jackson voir l’érosion de la puissance de Facebook ? CNBC a publié le 15 mai les résultats d’un sondage sur Facebook effectué sur un panel de 1004 personnes.
Restera t-il Encore des Purs "Pure Players" dans 10 ans ? Post de fond un peu long, parfois "technique", mais sans doute une bonne "food for thought" pour les pure players... Aux Etats-Unis, sur les 100 1ers CA réalisés en eCommerce, on n'a aujourd'hui que 17 Pure Players, le reste étant le fait de retailers ou VPCistes. Et si on considère le CA réalisé par les 100 1ers acteurs de ce canal : Retailers et VPcistes en réalisent 66%Amazon en réalise environ 27%Les autres pure players 7% Et si on enlève ces 2 acteurs particuliers que sont NetFlix et VistaPrint, les Pure Players ne représentent plus que 4%... La réalité US est simple, les Pure Players - à l'exception très notable d'Amazon - sont devenus marginaux dans le CA total du canal eCommerce. Cette montée des acteurs traditonnels est tout ce qu'il y a de plus logique car ils jouissent d'avantages concurrentiels majeurs, avec une marque, une notoriété, un sourcing puissant, une connaissance des besoins clients, la possiblité de faire du cross-canal, etc
Google Analytics est un outil indispensable pour al prise de décision Google Analytics est l’un des outils gratuits d’analyse web les plus populaires au monde. Il permet au webmaster ou à l’éditeur d’analyser la fréquentation de son site Internet et affiner la stratégie marketing. Serge Descombes et Alan Boydell sont deux spécialistes « Data Insights & Analytics » au sein de l’agence parisienne Fifty-Five (collecte, analyse des données, testing, optimisation des dispositifs numériques…). Avec Sébastien Manaches, ils viennent de réactualiser un ouvrage sur Google Analytics : prise en main, utilisations avancées et cas pratiques. Les deux auteurs connaissent bien l’outil analytics de Google, ayant fortement contribué à son lancement au sein du groupe Internet en 2005 (après le rachat d’Urchin Software). ITespresso.fr : Pourquoi avez-vous ressenti le besoin d’écrire cet ouvrage didactique sur Google Analytics ? Quelques livres, principalement en anglais, existaient déjà sur le marché, mais aucun dans notre langue.
La fin prochaine du e-commerce tel que nous le connaissons ? par Pascal Podvin - Chronique e-Business Depuis les déclarations en février 2012 du PDG de Sainsbury’s, Justin King, appelant le petit commerce à simplement accepter son destin et se résigner à disparaître, la « mort du commerce de proximité » est à nouveau un sujet brûlant dans les médias. Le e-commerce a été considéré comme l’un des responsables des déboires des commerces « bricks and mortar ». Mais c’est un jugement biaisé, qui suggère une cannibalisation des canaux commerciaux entre eux, alors que la véritable tendance est, au contraire, celle d’une complémentarité dont le potentiel est quasiment illimité.Si les consommateurs ne se restreignent plus à faire leurs achats dans les magasins traditionnels, ils ne souhaitent pas non plus faire leur shopping exclusivement en ligne. En réalité, les consommateurs veulent les deux. Et même plus : ils veulent aussi pouvoir faire leurs achats par téléphone, sur catalogues ou sur leur Smartphone. Le magasin éphémère ne proposait que les articles présents sur le catalogue en ligne.
"La distribution physique va décider de l'avenir de l'e-commerce" Les retailers vont prendre possession de l'e-commerce. Ils imposeront leurs réponses aux grands enjeux du secteur et lui apporteront une nouvelle phase d'innovation au travers du mobile. Le fondateur de Rueducommerce détaille sa vision. JDN. Quel est selon vous le changement majeur auquel nous allons prochainement assister dans l'e-commerce ? Gauthier Picquart. Car en parallèle, les distributeurs physiques vont progressivement s'approprier le secteur. Comment doivent réagir les e-commerçants ? Il n'y a plus d'innovation dans la vente en ligne depuis un bon moment. Pourquoi la montée en puissance de la distribution physique est-elle inexorable ? De façon similaire, aux débuts de l'e-commerce, on pouvait s'attendre à ce que les vépécistes prennent la main. Ceci n'empêche pas qu'à terme, il restera toujours des dizaines de milliers de pure players, des sites de niche qui continueront à avoir leur place. Mais Amazon est-il un vrai e-commerçant ?
Les responsables marketing vont miser sur la publicité en ligne d'ici à 2017 Que ce soit aux Etats-Unis ou en Europe, les dépenses marketing dans la publicité digitale seront au beau fixe dans les cinq années à venir. Les plateformes ad exchange et la vidéo devraient se tailler la part du lion. Les dépenses publicitaires en ligne vont croître dans le monde entre 2012 et 2017. Selon les prédictions d'un rapport de Forrester, la hausse sera de 17% les cinq prochaines années aux Etats-Unis passant de 12,7 à 28 milliards de dollars. Bonnes prévisions pour la vidéo et les plateformes ad exchange Des deux côtés de l'Atlantique, ces résultats à deux chiffres sont dûs à plusieurs facteurs, notamment au renforcement des technologies d'achat via des plateformes ad exchange - plateforme virtuelle automatisée qui met en relation directe les acheteurs et vendeurs de publicité sur Internet - , ainsi que les options Rich Media et vidéo. Arrivée à maturité
Comment PurePeople cartonne à contre-courant de la pub en ligne PurePeople, PureMedias, mais aussi PureShopping ou PureTrend... Ces sites centrés sur le divertissement en tout genre font partie de la même galaxie créée par Webedia depuis cinq ans. Alors que la publicité en ligne fait grise mine, la société, qui emploie 130 personnes, va réaliser un chiffre d'affaires de 19 millions d'euros, en hausse de 80% sur un an, pour un bénéfice d'exploitation de 7 millions d'euros, contre 1 million en 2011. Sortie prochaine des fonds d'investissement Déjà, Webedia, qui a levé en 5 ans 10 millions d'euros auprès de Ventech, Xange et Idinvest, est à la croisée des chemins. Une croissance de 50% prévue en 2013 En attendant, Webedia, qui avait racheté la plateforme CanalBlog début 2012, espère réaliser 50% de croissance en 2013. Problème spécifique des « opérations spéciales » : elles coûtent cher, dans la mesure où elles requièrent des développements spécifiques. Les pratiques "journalistiques" de Webedia font polémique
Il est intéressant de comparer cet optimisme à cet article qui met en valeur le déclin de la Fnac : by trackingnewtech May 15