Stuff, Things... (iamdarthvader: cleophatracominatya: ...) How to Be Happy Want to know how to be happy? Try practicing gratitude throughout your day by cultivating awareness for little (and big) things that you're thankful for. Buddha is quoted as having said, "Let us rise up and be thankful, for if we didn't learn a lot today, at least we learned a little, and if we didn't learn a little, at least we didn't get sick, and if we got sick, at least we didn't die; so let us all be thankful." Regardless of your religious or philosophical outlook, gratitude may be one of the factors that can increase your happiness. On a person to person level, saying "thank you" positively reinforces the person who has offered you a gift. Interestingly, women may be better at offering thanks than men. Being grateful doesn't mean that you won't strive for more tomorrow, it means acknowledging what you have today. What does this mean on a practical day-to-day level? Of course, being thankful isn't the only piece to being happy.
Look into another’s eyes One of the primary pathways to an enduring happiness is facilitating a sense of connection. When we feel connected we feel balanced, when we feel balanced, we often feel happy. The problem is as we grow up in this world, we have to learn how to shield ourselves from vulnerability and so we build up walls or put on armor that make connection more difficult. One of the most powerful (and challenging) practices to do is look into another person’s eyes for a prolonged period of time as it immediately makes us feel vulnerable. Check out this short video from Soul Pancake to see some of the surprising results of people making connection: One of the defining characteristics of compassion is recognizing our common humanity. Behind my eyes and your eyes are the same fundamental needs, to feel cared about and understood – to feel a sense of belonging. When we look into another’s eyes and see this, it can melt the barrier and uncover the connection that’s always been there. Warmly,
Boîte à outils Par où commencer pour réfléchir sur le film que l’on vient de voir au cinéma ou chez soi ? Quelles questions peut-on se poser ? Comment savoir ce qu’est une représentation normée, un axe de domination, un trope ? Parfois des choses nous sautent aux yeux, et parfois on sent de manière diffuse que des choses sont problématiques sans arriver à mettre le doigt dessus. D’autres fois encore, on passe totalement à côté. Il existe de nombreux concepts pour appréhender l’analyse des rapports de pouvoir et des représentations. Nous avons choisi de présenter 4 étapes de réflexions. De la même manière, nous avons choisi de garder un format court afin que le texte reste digeste, et de renvoyer plutôt vers quelques ressources qui nous semblent pertinentes pour celleux qui souhaitent quelques pistes de départ pour développer leur réflexion avec des apports extérieurs. Voici donc les outils de notre boîte : 1. Compter : représentations et invisibilisations À croiser avec : Ressources : 2. À croiser avec :
The “Other Side” Is Not Dumb. The “Other Side” Is Not Dumb There’s a fun game I like to play in a group of trusted friends called “Controversial Opinion.” The rules are simple: Don’t talk about what was shared during Controversial Opinion afterward and you aren’t allowed to “argue” — only to ask questions about why that person feels that way. Usually, someone responds to an opinion with, “Oh my god! In psychology, the idea that everyone is like us is called the “false-consensus bias.” Online it means we can be blindsided by the opinions of our friends or, more broadly, America. What is emerging is the worst kind of echo chamber, one where those inside are increasingly convinced that everyone shares their world view, that their ranks are growing when they aren’t. Fredrik deBoer, one of my favorite writers around, touched on this in his Essay “Getting Past the Coalition of the Cool.” [The Internet] encourages people to collapse any distinction between their work life, their social life, and their political life.
Sexisme et images : une étude d’observation En matière de discrimination entre les hommes et les femmes, on s’accorde souvent à penser qu’au-delà des lois, le problème s’ancre dans l’imaginaire collectif, sur le terrain du symbolique. Le sexisme se manifeste par des images, des signes, à la fois sources et reflets de l’imaginaire collectif. Travaillant moi-même sur le terrain du symbolique dans une optique d’ artiste chercheur, j’ai souhaité enrichir mon point de vue sur l’état actuel des représentations hommes-femmes à l’aide d’observations pour une fois « générales », sans m’arrêter sur les cas particuliers. Les images aussi dessinent des statistiques… Mais quelles images observer ? Le corpus Il s’agit des bandes annonces des cinq films les plus vus chaque semaine au cinéma, en France, sur une période de six mois, de novembre 2013 à mai 2014 (cliquez ici pour en récupérer la liste). Trois observations pour établir la proportion d’hommes et de femmes 1ère observation Les personnages : Hommes : 70% Femmes : 30% 2ème observation
Positive Body Image: How to Feel Good About Your Body (+Worksheets) How do you feel about your body? If you don’t immediately answer “Great!” with a smile—don’t worry, you’re not alone! This is a very common problem for people today, especially women. With advertisements and images of a specific body type constantly bombarding us wherever we are or whatever we’re doing—on television, on our phones, on social media platforms, on our commutes and while we’re out shopping—it’s easy to see how we can begin to feel bad about our bodies. Building a positive body image is a good way to counteract this negative stream of images we are encouraged to compare ourselves to. If you’re feeling unattractive and down about your body, read on to find out how you can improve how you feel about yourself. What is a Positive Body Image? In simple terms, body image is: “…the perception that a person has of their physical self and the thoughts and feelings that result from that perception.” As this definition shows, body image isn’t just one unidimensional construct. Keri Hilson
Audre Lorde Audre Lorde, en 1980. Audre Lorde, Meridel Lesueur, Adrienne Rich 1980. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance et adolescence[modifier | modifier le code] L'indépendance[modifier | modifier le code] Avec l'argent économisé, Lorde finance son voyage au Mexique en 1954. De retour à New York, elle publie la nouvelle La Llorona dans la revue Venture sous le pseudonyme de Rey Domini. continue à exercer des petits boulots (notamment secrétaire médicale et bibliothécaire), tout en étudiant les sciences des bibliothèques au Hunter College. Écrire et lutter[modifier | modifier le code] À partir des années 1960, Lorde est régulièrement publiée, que ce soit dans des magazines littéraires noirs, des anthologies de poésie ou dans une anthologie de poésie Noire, éditée par Langston Hughes, New Negro Poets, USA (1962)[7]. Berlin[modifier | modifier le code] Entre 1984 et 1992, elle passe beaucoup de temps à Berlin. Les dernières années[modifier | modifier le code] Poésie[modifier | modifier le code]
Ces pauvres hommes injustement accusés, ou la résurgence d’une vieille rengaine masculiniste La sortie de Taken 3 au début de l’année a confirmé une tendance masculiniste à l’œuvre au moins depuis le début de la décennie, à savoir la multiplication des figures d’hommes injustement accusés d’avoir commis des crimes sur des femmes et/ou des enfants. On trouve notamment un certain nombre de maris accusés d’avoir tué leur femme dans des films tels que Inception (2010), Gone Girl (2014), Hercule (2014), ou dans la série Flash (2014-…). On peut aussi penser à Dark Places (2015), film adapté d’un roman de Gillian Flynn (l’auteure de Gone Girl, qui a visiblement de la suite dans les idées…) dans lequel Charlize Theron joue une femme ayant, lorsqu’elle était enfant, accusé son frère d’avoir tué sa mère et sa sœur alors que le malheureux n’y était pour rien ; ou encore à l’ignoble Effets Secondaires (2013) de Steven Soderberg qui, en plus de sa misogynie et de son masculinisme, est un très bon candidat pour la palme du film le plus lesbophobe de la décennie. L’homme souffre Paul Rigouste
Violence des échanges en milieu militant - Lacets rouges et vernis noir Tant que j'en suis à parler de ce qui se passe sur les réseaux sociaux... (promis, après j'arrête). Un certain nombre de textes sont sortis récemment pour parler de la violence dans les milieux « militants » sur Internet. J'en oublie sans doute un certain nombre, mais parmi ceux dont je me souviens, il y a eu : Signalons aussi le texte Féminisme et terrorisme, sur Suck My Glock!, qui s'amuse à reprendre des morceaux de la brochure de Léon Trotsky (et de sa préface), Terrorisme et communisme, avec un résultat assez... frontal : Ivresse sanguinaire ! Cela dit, c'est des autres textes dont je vais parler. Pour en finir avec ce piment du chaos La première chose assez surprenante dans ce texte, c'est qu'il nous explique que dans le milieu des « miiltants SJW » (dont je ne sais pas, au juste, ce qu'il est censé désigner exactement), grosso-modo les rapports d'oppression sont à peu près inversés : Mais qu'est-ce exactement qu'être privilégié selon ses critères ? De la violence en milieu militant