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Et si on transformait le toit de votre immeuble en potager ?

Et si on transformait le toit de votre immeuble en potager ?
Une ferme Lufa sur un toit de Montréal (Fermes Lufa) Une batavia fraîchement cueillie qui craque sous la dent est un plaisir simple mais difficile à satisfaire pour un citadin. A mesure que les villes s’étendent et que les bonnes terres agricoles s’épuisent, l’appétit des consommateurs pour les produits frais et locaux se fait plus pressant. Pourquoi ne pas développer des cultures maraîchères en ville sur l’espace inutilisé des toits ? L’idée En Amérique du Nord, l’agriculture urbaine est en plein essor. Depuis, les jardins sur les toits de la « Grosse Pomme » ont fait souche et pris de l’ampleur. Une ferme sur un toit, « l’agriculture de l’avenir » Son créateur, Mohamed Hage, un jeune informaticien né au Liban, aime raconter s’être inspiré de la lufa (ou loofah), une variété de courge grimpante qu’il voyait pousser, enfant, jusque sur le toit de sa maison natale : « Pour moi, c’était tout naturel de construire une serre sur un toit. Une ferme Lufa sur un toit de Montréal (Ferme Lufa)

Farm City Le mode alimentaire américain basé sur une très forte consommation de viande de boeuf est une catastrophe écologique pour la planète - voir là et là, et risque de dévenir un enjeu d'aménagement urbain essentiel dans les décennies à venir - voir là. D'autres vont plus loin en imaginant carrément des immeubles associant en plein coeur de villes des élevages verticaux couplés à des abattoirs. C'est notamment le cas d'Amir Yousefi avec son projet "Carnivore Factory". On peut trouver cela terrifiant. On peut aussi imaginer que le visage des fermes évolue dans les années qui viennent pour donner naissance à une nouvelle "farmitecture"- voir les explications sur l'image ci-dessous là. PS : Sur les abattoirs comme modèle aéroportuaire, voir là. PS 2 : Sur le rôle du modèle alimentaire américain pour penser la mobilité du futur, voir là et là.

Cultures en lasagnes ("lasagna bed") - Permaculture Jeudi 4 novembre 2010 4 04 /11 /Nov /2010 23:21 La technique du jardin en lasagnes Tout le monde connait les lasagnes, ce plat italien constitué de plaques de pâtes en alternance avec des couches de sauce bolognaise et béchamel, sans oublier le fromage. On retrouve cette idée de couches alternées dans le mode de préparation du sol alternant des couches végétales variées favorables à la pousse des plantes potagères ou ornementales. Elle essaya de reproduire la nature dans son jardin. 1 : commencer par faucher les herbes folles en prenant soin de les disperser sur toute la surface. 2 : couvrir le sol destiné à la préparation en lasagne de cartons. 3 : étaler sur 20 cm d’épaisseur des déchets verts. « Mauvaises herbes » (pas si mauvaises), déchets de légumes (sauf les légumes soufrés, tels que les oignons) , taille de haies, foin, paille, tontes de gazon et, c’est le moment, fleurs et feuilles mortes. Suivons en images Madame Marylin Johnson, avec ses commentaires. RETOUR à L'ACCUEIL

ECOS - art/ecologie Les produits de la ruche: le miel Les abeilles produisent le plus doux produit qui soit, qui plaît et aux dieux et aux hommes: le rayon arrive sur les autels et l'on sert le miel au début des repas et aux desserts. Varron- Économie rurale III,16-5 Le miel est une matière sucrée vivante Le sucre est un aliment meurtrier. Alin Caillas- Ce qui pourtant, n'empêche pas cet apiculteur de nourrir ses abeilles avec du sucre! Généralités Production e nectar récolté par l'abeille descend dans son jabot où, sous l'action de la salive et du suc gastrique, se transforme en miel. Enfin les abeilles utilisent également le suc des glandes de certains pucerons qui ne donnent avec la mêlée qu'un miel de qualité inférieure à celui qu'elles butinent dans le calice des fleurs. Parmi les nombreuses obligations, pour être qualifié "biologique", celui-ci doit provenir d'une ruche dont le nourrissement ne peut être fait qu'avec du miel.voir conditions Composition et propriétés Classification Selon J. Récolte Les fraudes Le miel dans la petite histoire Hier

Vertigo - vol 10 - Agriculture urbaine Sous la direction de Eric Duchemin (VertigO - La revue électronique en sciences de l’environnement) (Institut des sciences de l’environnement, Université du Québec à Montréal) (Université du Québec à Montréal), Luc Mougeot (CRDI, Canada) et Joe Nasr (Collège Ryerson, Canada) Depuis maintenant plus d’une décennie - selon la plus récente estimation disponible – ils sont mondialement environ 800 millions à pratiquer l’agriculture urbaine (AU). 200 millions d’entre eux réalisent de la production de marché et 150 millions le font à plein temps. Ces gens produisent environ 15% de la production mondiale de nourriture. Selon les prédictions, ce pourcentage pourrait doubler dans la prochaine génération. Depuis 1996, les chiffres disponibles pour certaines villes ont démontré une augmentation du nombre de producteurs, de production et de valeur dans cette activité urbaine.

Production rentable sans facteurs de croissance Plus de la moitié (53 %) des porcs québécois reçoivent un antibiotique comme facteur de croissance dans au moins un de leurs aliments en période d’engraissement, selon une enquête d’Épidémio-Qualité. Pour contrer la montée des bactéries résistantes, cette pratique est interdite au Danemark, depuis 2000. Cela n’empêche pas le petit royaume d’être l’un des plus grands exportateurs de viande porcine du monde, avec 2,071 millions de tonnes exportées en 2011. « Même sans antibiotiques comme promoteurs de croissance, la production porcine danoise est compétitive sur le marché international », assure Frank Aarestrup, directeur du centre collaborateur de l’Organisation mondiale de la santé sur la résistance antimicrobienne dans les pathogènes alimentaires, rencontré à son bureau au Danemark. « La preuve, c’est qu’on exporte 90 % de notre production. » « Les producteurs ont commencé à se servir de leur tête, résume Christian Koustrup Frandsen, agronome au Centre de recherche porcine du Danemark.

Terres en Villes Des serres sur les toits! | Marie-Pier Duplessis | Architecture «Nous sommes les premiers au monde!», indique le président-fondateur des Fermes Lufa, Mohamed Hage, 29 ans. D'une superficie de 9450 mètres carrés, la serre, située dans l'arrondissement d'Ahuntsic-Cartierville, tout près du Marché central, est petite comparée à certaines serres industrielles, qui peuvent être jusqu'à 10 fois plus grandes, comme c'est le cas des entreprises Demers et Sagami. La polyculture de Lufa (tomates, concombres, aubergines, haricots verts et autres légumes) est destinée à une clientèle de proximité. Si, pour l'instant, la serre ne permet de rejoindre qu'une infime partie de la population montréalaise, le projet, lui, est en pleine expansion. Deux nouvelles serres du même genre devraient voir le jour à Montréal dès l'année prochaine grâce à une entente récemment conclue avec le Groupe Montoni, reconnu pour ses constructions certifiées LEED (Leadership in Energy and Environmental Design). Même l'hiver! Et l'hiver, on continue la production?

Dépollution des sols : la Chine cultive les plantes" accumulatrices" Les premières mentions de fougères utilisées comme accumulateurs d’arsenic remontent à 2001, année de la publication d’un article dans Nature. Le 3 juin 2009, le China Daily a publié un long entretien avec Chen Tongbin, spécialiste des sols à la CAS (Académie Chinoise des Sciences). Ce chercheur explique qu’après de longues années de travaux, il a mis au point une remédiation des sols pollués à l’arsenic dès 1999. Chen continue ses recherches sur le sujet mais ses découvertes sont aussi utilisées opérationnellement, par exemple dans le Hunan, à proximité de sites miniers. Phytoremédiation : une technique "améliorée" Les sols peuvent être dépollués en 5 ans par la culture de Pteris vittata L ( Ptéris rubané), une fougère de la famille des Pteridacae. La pollution des sols préoccupe la Chine Source : Agence pour la diffusion de l’information technologique (Adit) Pour en savoir plus : Les métaux lours et les plantes (rapport du Sénat) La phytoextraction (Ademe) Voir le site

Planification du plan de votre potager La première règle de base pour la planification d'un potager est la "Rotation des cultures". La définition de la "Rotation des cultures" est la suivante: La rotation est une technique qui consiste à faire se succéder sur une surface donnée des plantes aux exigentes et aux caractéristiques différentes et ce, sur le plus grand nombre d'année possible. La deuxième règle de base pour la planification d'un potager est la "Compagnonnage". La définition de la "Compagnonnage" est la suivante: L'objectif premier du compagnonnage est d'organiser la diversité dans son potager en associant entres elles les plantes amies et en éloignant les plantes ennemies, qui favoriseront une utilisation maximale de l'espace. La rotation permet de maintenir l'équilibre minérale du sol et de prévenir avec efficacité les parasites qui pourraient apporter les maladies. Comment faire ? Sur une feuille, préparer un tableau comportant plusieurs colonnes, voici mon exemple; A bientôt!

Révélations d'un Banquier Suisse - Le blog de observatoiredesconspirations Peter Odintsov Moscou, le 30 mai, 2011 Entretien avec un banquier suisse effectué à Mosсou le 30/05/2011 De la Bombe ces révélations ! Q: Pouvez-vous nous parler de votre implication dans le secteur bancaire suisse? R: J’ai travaillé pour les banques suisses durant de nombreuses années. Q: Voulez-vous dire, que certaines de ces personnes que vous mentionnez seront présentes à la réunion du Bilderberg qui se tiendra en juin à Saint-Moritz? R: Parce qu’il y a un accord entre eux et les propriétaires des médias. Partager l'article ! inShare

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