Comment s’informe la Génération Y ? Une récente étude du tout jeune cabinet new yorkais d’étude de marché Ypulse met en lumière les réels moyens d’information et les exigences en la matière de la génération Y. Et le constat est sans appel, les médias “traditionnels” ont bel et bien cédé leur place aux médias sociaux, dans le coeur des 14-30 ans en tout cas. Les réseaux sociaux, 1ère source d’information des 14-30 ans Comme nous le montre l’infographie “The Ypulse Times”, 68% des personnes issues de la génération Y s’informeraient grace aux réseaux sociaux. Ils sont donc la première source d’information de la génération Y, devant le bouche à oreille (63%) et les sites d’information (62%). Crise de confiance de la génération Y dans les nouveaux médias d’information Avec la diversification des médias, les 14-30 ans ont vu se développer les sources d’information. Pas étonnant donc de constater que 66% des interrogés émettent un doute sur l’exactitude des informations qu’elles reçoivent.
Je découvre Shamengo est un néologisme constitué des mots Shaman (celui qui passe d’un monde à un autre monde) Men (la communauté humaine qui nous caractérise) Go (allons de l’avant). Sa sonorité chante agréablement à l’oreille de tous les habitants de la planète que nous avons rencontrés. Qu’ils se trouvent dans les grandes mégalopoles des pays développés ou émergents, dans les forêts les plus reculées d’Amazonie ou d’Afrique, les villages du toit du monde, les îles paradisiaques des mers du Sud. Shamengo évoque l’ailleurs, le voyage, la promesse d’un monde meilleur. Shamengo s’utilise comme un prénom et signe l’appartenance à une communauté. Je suis Shamengo parce que je suis né dans un village qu’on appelle la planète bleue. Je suis Shamengo parce que je participe à la construction d’une nouvelle société. Je suis pionnier, éclaireur, passeur, fan, fée ou ange-gardien Shamengo. Et si, finalement, nous n’avions pas tous en nous quelque chose de Shamengo ?
nouveautesYM-automne-hiver2014.pdf De quelle tribu êtes vous ? Les créatifs culturels Ils sont 50 millions aux États-Unis, 200 millions dans le monde, et constituent 30 % de la société française. Leur émergence a fait l’objet d’une étude de l'université de Toronto. Ces acteurs du changement de civilisation en cours ont une vision globale du monde et se fédèrent autour de valeurs : l’écologie – qui passe par une consommation éthique et locale –, l’engagement sociétal, le féminisme, l’altruisme, la solidarité, et le développement personnel, voire une spiritualité laïque. Ces « éveillés » ne le sont pas grâce à la télévision : ils se détournent des médias traditionnels et privilégient la lecture. Le réseau social Newmanity en a fait son cœur de cible. Dans le travail, ils sont prêts à gagner moins ou à changer de métier pourvu qu’ils soient en cohérence avec leurs valeurs et aient le temps de développer leur créativité, leur culture de la vie. Les « twittos » Twitter rythme leur vie en flux continu.
Lettre d'information • Novembre 2014 Créée en Juin 1996, sous l'impulsion de Michel Giran, ADOME a réalisé de nombreux produits multimedia autour du développement durable [ CD Roms , Livres , sites internet ] et organisé des évènements autour de l'utilisation des Technologies de l'Information et de la Communication pour le Développement Durable. Membre du Collectif des ONGs françaises au Sommet de Johannesbourg, du Comité 21 , de l'Alliance des ONGs pour la Planète [ L'Alliance pour la planète après 6 ans d'existence, s'est dissoute le 30 juin 2012 ] , de 1% pour la planète , présente au dernier Sommet Rio + 20...etc , ADOME s'insère dans un vaste réseau de partenaires.
Le Provocateur de Sourires | Le magazine des bonnes nouvelles FLOK Society en Équateur : et si cela changeait véritablement la donne (...) Il a été dit dans un article précédent qu’il suffit qu’un pays change ses règles du jeu pour que cela impacte tous les autres. Ce pays sera peut-être l’Équateur et son ambitieux projet FLOK Society. FLOK est l’acronyme de Free/Libre Open Knowledge Society, la société pour la connaissance libre et ouverte. Le projet est ainsi présenté sur le site de nos amis de Remix the Commons : Alors que le « Buen Vivir » vise à remplacer l’accumulation aveugle de la croissance économique par une forme de croissance qui profite directement au bien-être du peuple équatorien, le « Buen Saber » vise à créer des communs de la connaissance ouverts qui faciliteront une telle transition ; à travers le projet de recherche Free/Libre Open Knowledge (FLOK), l’Équateur entreprend de refonder son économie en déclenchant une transition nationale vers une société de la connaissance libre et ouverte. Nous avons voulu en savoir plus en traduisant cette interview de quelques-uns des ses acteurs.
Burkina Faso : recycler le plastique pour protéger l'environnement et enrichir les femmes Les associations Pengdwendé et AIRTAE espèrent bientôt mettre en place des unités de production. Pengdwendé et l’Association pour l’innovation et la recherche technologique appropriée en environnement ont décidé de mener la guerre aux déchets plastiques. Ces deux associations burkinabès ont mis en place un système de recyclage qui permettra aux femmes de transformer ces polluants pour en faire des objets utilitaires. Donner une deuxième vie au plastique usagé. « J’ai eu l’initiative de recycler du plastique en faisant des recherches sur la gestion des déchets, surtout des sachets noirs. Enseigner les propriétés du plastique pour mieux le travailler L’inventeur explique avoir été « l’un des premiers » à avoir exposé ses œuvres en plastique recyclé au Sénégal, où il n’y avait « principalement que des tricotages (articles tricotés avec de la « fibre » plastique, ndlr). Des masques et une cheminée pour capter les émanations Prévision d’usines de transformation de plastique