#16 Cécile – 2012 | Mon corps, mon bébé, mon accouchement !
Bonjour, je m’appelle Cécile, j’ai 33 ans. je suis infirmiere et maman d’une petite Camille née le 08 février 2012 a ***** en France, dans un CH de niveau 3. Mon mari et moi avions fait de l’haptonomie pour pouvoir accueillir notre petite merveille. ma grossesse fut formidable malgré les quelques nausées des premiers mois. je fis donc un projet de naissance qui fut lu par la sage femme, qui ne s’opposa en rien, hormis le presence du papa en salle de cesarienne… mais surtout, j’avais noté en rouge « PAS D’EPISIOTOMIE », la redoutable…. tout semble clair, sauf peut etre l’anesthesiste, qui finalement, le plus honnetement du monde me dit « les accouchements physio ici, on fait pas trop ça… plutot en clinique privée, mais chez nous, c’est difficile à gérer » mais toute naive que je suis, je me dit que mon statut d’infirmiere me protège de toutes les tentatives de manipulation, de spoliation de mes droits, n’est ce pas ? nous mettons 30 minutes au lieu de 10 à patiner avec la voiture…. on ?
Mais d'ou vient cette envie d'accoucher sans péridurale ?
Se dire que l'on veut accoucher sans péridurale, c'est une chose, y parvenir, c'en est une autre. Quand on n'a jamais connu les douleurs des contractions d'un accouchement, c'est une décision prise sans véritablement avoir conscience de ce qui va se passer car il est impossible d'imaginer l'intensité de la douleur des contractions. On sait que ça va faire mal, très très mal, que ce sera 1000 fois plus douloureux que les règles les plus douloureuses (comme le décrivent certaines mamans), mais il est difficile de visualiser l'intensité de douleur que cela représente. Il faut beaucoup de force et de volonté le jour J pour ne pas revenir sur son choix, pour ne pas cèder à la péridurale, tellement la douleur est extrême. Les réactions des pro-péridurales sont parfois très "vives" face à celles qui choisissent de ne pas prendre la péridurale, il y a parfois beaucoup d'incompréhension entre les deux "camps". Les mamans qui ont peur de la péridurale et de ses effets
La science encourage l'accouchement à la maison
Selon scienceblog.com, il s’agit de la conclusion de chercheurs de l’Université de Copenhague et de la Research Unit for General Practice. Le statisticien Ole Olsen et la spécialiste de l’obstétrique Jette Aaroe Clausen sont catégoriques. Tous les pays devraient prendre en considération l’instauration d’un service de naissance à domicile. L’étude mentionne que trop de pays croient à tort que l’endroit le plus sécuritaire pour l’accouchement est l’hôpital. Cependant, ce que révèle l’étude, c’est que les femmes qui ont une grossesse normale, et donc à faible risque de complications lors de l’accouchement, devraient demeurer à la maison. Dans les faits, une femme qui donne naissance à son domicile n’aura pas de soins jugés non nécessaires comme le moniteur cardiaque pour l’enfant et l’épidurale. Bien entendu, la future maman sera accompagnée d’une sage-femme qui, pour sa part, sera en contact avec les services hospitaliers en cas de nécessité de transfert d’urgence.
L’ACCOUCHEMENT à domicile devrait-il être développé?
L’ACCOUCHEMENT à domicile devrait-il être développé? Actualité publiée le 25-04-2012 British Medical Journal Certaines femmes dont la grossesse se déroule sans complications souhaiteraient mettre au monde leur enfant à la maison. Cette vaste étude menée par des chercheurs de l'Université d'Oxford, de l'Université de Warwick et de l'University College London a examiné les coûts et la sécurité des naissances à la maison et à l'hôpital à partir des données de près de 65.000 femmes ayant des grossesses considérées comme à faible risque de complications, et comparé les données des naissances à la maison, dans des unités de sages-femmes libérales, dans des unités de sages-femmes rattachées à l’hôpital et à l'hôpital. · Les chercheurs constatent d’abord que le coût moyen pour un accouchement à domicile est le moins élevé, à 1.300 € en moyenne, vs 1.988 € à l’hôpital et dans une maison de naissance avec une sage-femme 1.767 €. Accéder aux dernières actualités sur l’Accouchement Santé de la Femme
Hopital comme à la maison
Il n'est pas simple de sauter le cap et de faire les démarches pour accoucher à domicile. Il y a parfois certains obstacles que l'on ne peut pas contourner. Et puis des fois c'est simplement la peur aussi qui fait qu'on finit par accoucher à l'hôpital parce qu'on s'y sent plus rassurée.Mais rassurez-vous, même en milieu hospitalier, il est possible d'avoir un bel accouchement, un accouchement naturel, un accouchement qui se rapproche d'un accouchement à domicile dans la façon dont il se déroule, sauf qu'il se déroule à l'hôpital. Bien évidemment, ce ne sera jamais pareil, mais on peut tenter de s'en rapprocher.Voici 12 conseils pour avoir un accouchement à domicile à l'hôpital. Un plan de naissance Écrivez un plan de naissance dans lequel vous expliquez comment vous aimeriez que les choses se passent. Être sur la même longueur d'ondes avec votre gynécologue Discutez avec votre gynécologue de votre plan de naissance, point par point, afin d'être sûre que les choses sont réalisables.
Pour une naissance sans violence
Vendredi 26 août 2011 5 26 /08 /Août /2011 06:20 Pour une naissance sans violence, c'est le titre du livre de Frederick Leboyer, gynécologue et obstétricien. Ce livre c'est Alice qui me l' a fait découvrir. Sous une écriture proche de la poésie, et sous la forme d'un dialogue, l' auteur s'interroge sur la naissance non pas du point de vue de la mère mais de celui de l' enfant. Souffre t- il ? " Les cris ne disent-ils pas une souffrance ? Naître serait-il douloureux pour l'enfant autant que pour la mère ? Et si il en est ainsi qui s' en soucie ? Alors bien sûr aujourd'hui ces propos peuvent peu être nous paraître désuets mais en 1974 ça avait encore tout sons sens. Si le bébé a l' époque n' était pas considéré comme une personne, un être a part entière, un être qui a mal, qui a peur, c'est grâce à de tels écrits que les mentalités ont changé. D' un acte assez barbare, au vue par exemple du récit d' accouchement de ma mère en 1975, la naissance a pris aujourd' hui une toute autre dimension.
Douce Naissance relaxation : hypnose ou sophrologie
Accoucher autrement
Naissance - NatalHypnotherapy France
CD de Préparation Efficace à la Naissance pour accoucher à la maternité - 15 € (1 heures 18 minutes) Achetez ce CD « Je vais être honnête, quand j’ai écouté le CD pour la première fois, je me suis dit que ça ne ferait rien, mais quelque chose s’est produit une fois que la travail a commencé. Les sages-femmes n’arrivaient pas à croire que je restais si calme et en parfaite harmonie avec mon corps. « J’ai trouvé que le CD a été d’une grande aide durant la grossesse, mais aussi l’accouchement. Pour lire davantage d'histoires et de témoignages, cliquez ici. Rejoignez le nombre grandissant de femmes qui écoutent ce CD facile à utiliser et sûr, pour se préparer émotionnellement, physiquement et mentalement à l’accouchement. Ce CD audio de 40 minutes vous entraine au travers d’exercices de relaxation profonde et de respiration, ils sont suivis d’une visualisation guidée et détaillée de l’accouchement, qui commence dès la première contraction jusqu’à ce que vous ayez le bébé dans vos bras. Retour
Accoucher à la maison moins risqué qu’un accouchement à l’hôpital ?
Je m'abonne pour 1,75€/mois C’est en tous cas ce qu’affirment des chercheurs anglais, après avoir étudié le nombre d’hémorragies post-partum enregistrées chez 500 000 jeunes mamans ayant accouché pour certaines à l’hôpital et pour d’autres à la maison. Les femmes qui accouchent chez elles ont moins de risques de souffrir de saignements et d’hémorragie post-partum que celle qui accouchent à l’hôpital : voilà l’étonnante conclusion d’une étude menée par les chercheurs de l'Université de Southampton, en Grande-Bretagne, qui se sont penchés sur les dossiers médicaux de 500 000 femmes. Une conclusion qui n’a rien d’anodin lorsque l’on sait que l’hémorragie post-partum est la principale cause de décès liées à l’accouchement en France. Hémorragie post-partum : c’est quoi ? L’hémorragie post-partum se définit par une perte sanguine de plus de 500 ml dans les 24 heures qui suivent la naissance.