Guide de la musique électronique (en anglais)

Découverte de musiques diverses C'est important, la Musique ... La seule chose qui fédère les jeunes gens. Une sorte d'espéranto (Françoise Giroud 1916-2003) Fou De Musique vous propose ici de découvrir ou re-découvrir différents genres musicaux : Pop-Rock, Soul, Funk et RnB, Jazz, Reggae et Dancehall, Musique Classique, Musiques du Monde au travers de leur histoire, les sites dédiés, les radios et jukebox, l'actualité ...

Ragtime Ragtime Le Ragtime apparaît aux Etats-Unis vers 1895, lorsque les rythmes venus d'Afrique sont incorporés dans les Cakewalks, Coon Songs (chansons chantées par les Blancs pour imiter les Noirs) et dans la musique des Jig Bands. C'est une musique vibrante et joyeuse, dynamisée par l’opposition de rythmes propre à la danse africaine. Précurseur du jazz, le Ragtime se décline en marches, valses et autres formes traditionnelles de chansons, mais la caractéristique commune est la syncope (élément sonore accentué sur un temps faible de la mesure, et prolongé sur un temps fort).

Frédéric MUNOZ - orgue Né dans une famille de tradition musicale, Frédéric MUÑOZ commence très tôt l’étude de la musique : le piano, puis l’orgue dès l’âge de 14 ans, auprès de Georges LAVAL, élève de Xavier Darasse et titulaire de l’orgue de la Cathédrale de Nimes. Grâce à ce dernier qui lui ouvre les portes de l'histoire de l'orgue, de ses grands compositeurs et interprètes. En Juillet 1969, il rencontre Michel Chapuis à la tribune de l’orgue de Saint Maximin du Var, et Pierre Cochereau aux claviers de l’orgue de Notre- Dame de Paris : deux évènements qui vont le marquer profondément et déterminer aussitôt, sa vocation d’organiste. Dès 1973, Il poursuit sa formation à Montpellier avec Jacques Bétoulières, en parallèle à ses Etudes Universitaires. Il obtient son diplôme de Pharmacien d’Etat en Juillet 1978. Frédéric Muñoz a excercé ce métier jusqu'en 2016.

Instruments de la Grèce antique askaros : sorte de cymbales antiques, claquettes ou castagnettes, que d'aucuns comparent ou identifient à un autre instrument de percussion appelé psithyra. askaules : cornemuse. Le terme apparaît à l'époque romaine chez Martial. aulos : le principal et le plus important des instruments à vent de la Grèce antique. On le jouait en solo ou accompagné de la voix ou d'instruments à cordes, de préférence la kithara. Habituellement joué par paire, appelé alors «auloi-jumeaux» ainsi que «clarinette-double».

Wagner et Tolkien : qui est le véritable seigneur de l'anneau ? Qui de Wagner ou de Tolkien est le véritable seigneur de l’anneau ? Malgré les nombreux points communs entre Le Seigneur des Anneaux et la Tétralogie, le romancier nie avoir été influencé par les opéras de Richard Wagner. Pourquoi ce refus ? Un anneau qui rend tout-puissant, des nains, des hommes, un dragon… Les points communs entre les deux œuvres sont troublants. Quizz musical Vous n'y connaissez rien à la musique classique ? Vraiment rien ? Même pas un petit air ou deux ? Allez, ce quizz est fait pour vous.

Les nombres chez Bach Les nombres dans l'œuvre de Bach La musique sacrée baroque ne se réduit ni à la mise en musique d'un texte ou d'un tableau, ni à un poème symphonique. Ses ambitions sont autrement plus importantes : elle veut évoquer la perfection divine en l'illustrant, voire en plagiant ses modes de création. Pour ce faire, elle emploie des règles qui remontent à l'Antiquité et que les grands penseurs du Moyen Âge et de la Renaissance ont réinterprétées à la lumière du Christianisme. De l'importance de la métrique en musique

Musique: Bach et le nombre d'or Un des mystères de l'oeuvre monumentale de Jean-Sébastien Bach est éclairci: le musicien allemand appliquait la règle du nombre d'or à ses compositions. Guy Marchand, l'homme par qui le secret a été découvert, donnait une conférence à ce sujet sur le campus le 27 novembre dernier. Il est l'auteur de l'essai intitulé Bach ou la passion selon Jean-Sébastien, de Luther au nombre d'or, qui vient de paraître aux éditions de l'Harmattan à Paris. Première monographie consacrée à «la divine proportion» au sein de l'architecture musicale de Bach, son ouvrage de 400 pages est le résumé de sa thèse de doctorat achevée en 1999 à l'Université de Montréal. Luthiste et musicologue, Guy Marchand a exploré quelque 200 cantates et des chants religieux de Bach pour débusquer cette norme esthético-mystique qu'est le nombre d'or. Par une analyse méticuleuse de la fugue de la Suite en do mineur pour luth, il en a fait ressortir la construction symétrique inusitée.