Emploi sur internet
Comme tout réseau, Internet a ses codes. Mieux vaut les connaître avant de s'y aventurer, a fortiori pour chercher un emploi ou valoriser son parcours professionnel. D'autant qu'après les chasseurs de tête et les cabinets de recrutement, les entreprises elles-mêmes repèrent maintenant les candidats sur le Net. Voici quelques pièges à contourner pour attirer l'attention des employeurs tout en restant crédible. Se lancer sur des réseaux sans connaître leur fonctionnement "Beaucoup de candidats ouvrent des comptes sur différents réseaux sociaux sans maîtriser leur utilisation", explique Camille Travers, fondatrice de la société de ressources humaines Octopus Factory, spécialisée dans la recherche de candidats sur le web. Ne pas prendre le temps de remplir ses profils Ouvrir un compte sans s'y impliquer, "cela donne des profils minimalistes qui n'apprennent rien sur les candidats, assure Damien Crequer, associé au sein du cabinet de recrutement Taste RH. Mentir sur ses expériences
Responsable de communication
Deux diplômes de niveau bac + 2, accessibles en 2 ans après le bac, forment des assistants de communication : le BTS communication et le DUT information-communication, option communication des organisations. De nombreuses licences professionnelles permettent ensuite de se spécialiser en 1 an. On peut citer la licence pro spécialité communication institutionnelle corporate (Evry-Val-d’Essonne). La poursuite d'études peut aussi se faire en 3e année de licence mention information et communication (L3) selon des conditions spécifiques (dossier, épreuve écrite et parfois orale). En Ile-de-France, 6 universités (Paris Panthéon Assas, Sorbonne Nouvelle, Paris-Sorbonne, Paris 8, Paris 13 Nord et Paris Ouest Nanterre La Défense) proposent une licence en information et communication, parfois uniquement à partir de L3. A bac + 5, les nombreux masters professionnels et recherche du domaine de la communication permettent d'espérer une évolution professionnelle rapide.
E-Réputation
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Métiers de la communication
Donner du sens au changement, convaincre les consommateurs, emporter l’adhésion des salariés... Autant de défis à relever par les métiers de la communication. Leur enjeu : asseoir une image ou accroître la notoriété d’une entreprise ou d’une institution. Loin des paillettes, les professionnels de la communication se sont imposés comme des gestionnaires de l’opinion des différents partenaires et publics de l’entreprise : actionnaires, clients, salariés, pouvoirs publics et fournisseurs. La communication poursuit 3 grandes finalités : forger une identité forte et valorisée de l’entreprisefavoriser l’émergence d’un nouveau management du travailparticiper à la modernisation des conditions et des structures de production. Attaché de presse, chargé de com ou chef de pub, le "communicant" travaille dans le service de communication d’une entreprise, d’un ministère, d’une collectivité territoriale ou d’une agence.
Identité numérique, recrutement et marronniers
Un superbe article de l'Etudiant.fr développant clichés sur clichés sur le métier de community manager (déjà qu'il y a tellement de choses intéressantes dites sur le sujet), et in fine sur le positionnement qu'un étudiant souhaitant travailler sur le web doit avoir. Je vous invite à lire l'article écrit par Antoine Dupin à ce sujet, et qui résume bien les principaux biais de l'article de l'Etudiant. Bref, mon étonnement m'incite donc à partager ces quelques rapides et courtes reflexions sur l'identité numérique et tout ce qui va avec... ==> Une bonne présence suffit à me faire recruter ! Oui, si je suis présent partout (Facebook, Twitter, Viadéo, etc.) alors les recruteurs ne peuvent que me remarquer. Mais, non... Au contraire, considérez que les recruteurs sont eux-aussi présents, et que les réseaux sociaux sont de bons moyens pour développer une stratégie de contacts. De plus, avoir une présence forte sur le web est inutile si personne ne vient consulter vos profils. Mais, non...
Mon CV online
Un petit mot Mon profil est atypique : titulaire d'un master II en gestion d'entreprise, je suis actuellement en charge du développement et de la coordination de réseaux d’entreprise ; J’ai également occupé pendant 5 ans la fonction chargée de communication /événementiels au sein d'une radio et de ma propre association. De part ces expériences, j'ai été impliquée dans les orientations stratégiques sur le positionnement et la communication interne/externe sur les régions Languedoc-Roussillon et PACA. Cela s’est concrétisé entre autre par le déploiement d’une stratégie de développement induisant la refonte de l'organisation interne, la création d’un réseau partenaires/financeurs privés, la réalisation d’opérations événementielles, la gestion de supports marketing, ou encore la réalisation de plan de promotions. J'espère, à travers ce site, pouvoir développer mon réseau et faire la connaissance de personnes qui pourront m'enrichir par leurs expériences et leurs relations. Marinne SALEUR
Community management : état des lieux
« Si vous demandiez à 10 personnes évoluant dans le milieu des médias sociaux ou du digital de vous expliquer ce que fait un community manager, vous obtiendriez certainement 6 réponses différentes », tel est l’un des préambules de cet excellent rapport The State of Community Management in 2011 réalisé par The Community Roundtable. En quoi consiste cette discipline du community management en 2011, comment cette discipline a évolué pour devenir un des « hot topics » du marché, et quelles sont les leçons que l’on peut retenir sur le sujet ? Ce sont les questions auxquelles les membres de The Community Roundtable tentent de répondre au sein de ce document, que je vais essayer de vous résumer et de commenter. La discipline du community management est ainsi un élément majeur dans la réussite d’une stratégie sociale, et devient donc l’un des sujets préférés des marketeux, puisque de plus en plus d’organisations se lancent dans les médias sociaux.
Fukushima et discours médiatique - mielczareck sur LePost.fr
Le11 mars, le séisme le plus important qu’ait connu le Japon est enregistré, suivi par un tsunami de grande ampleur. Au JT de 20h, les images catastrophes défilent, s’accumulent et se répètent. Ce ce n’est que le début, le Japon va faire les gros titres, jusqu’au vendredi 18 mars, remplacé par La Libye, «qui est ce soir(-là) au coeur de l’actualité internationale». L’inquiétude s’est rapidement tournée vers les réacteurs de la centrale de Fukushima. Plusieurs faits remarquables : Une gradation sémantique tout à fait notable sur la gravité du phénomène, la «possibilité de fuite» devient «menace nucléaire» mais sans qu’elle soit comparable à Tchernobyl... jusqu’au jour 6 ou l’on peut entendre sur les antennes «ce sera pire que Tchernobyl».La réactivation de la «mythologie Tchernobyl» à travers les images de l’explosion à Fukushima du bâtiment contenant le réacteur n°1. NB : Par convention, nous noterons «réacteur n°1» R1, «réacteur n°2», R2, et ainsi de suite. 0. 1. 2. b. 3. 4.
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Midipack - Réseau des entreprises du secteur de l'emballage et du conditionnement