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Ecoles après BAC STMG

Ecoles après BAC STMG
Les bacheliers STMG peuvent aussi faire le choix d’une école qui leur permet de préparer, en 2 à 5 ans, des diplômes professionnels dans divers domaines : commerce, comptabilité, santé, social, tourisme... Recrutement sur dossier ou sur concours, avec une inscription en début d’année de terminale pour certaines écoles spécialisées. © Jérôme Pallé/ONISEP Les écoles de vente, de comptabilité, de gestion ou de tourisme conviennent bien aux bacheliers STMG. À lire aussi Commerce, gestion, comptabilité Une cinquantaine d’écoles de commerce en 4 ou 5 ans proposent un recrutement dès le bac. Deux langues étrangères peuvent être exigées, notamment dans les écoles à vocation internationale (par exemple, les écoles du concours Sésame). A noter : pour les diplômés de BTS-DUT qui désirent repartir vers ces cursus longs, une classe prépa ATS (adaptation technicien supérieur), proposée dans quelques établissements, permet à la fois de préparer les concours d'entrée et de valider une L3. Santé, social

prépas après BAC STMG Si la majorité des bacheliers STMG se tourne vers les BTS et les DUT, ils sont de plus en plus nombreux à entrer en une classe préparatoire aux grandes écoles (CGPE). Deux prépas économiques les accueillent. © Jérôme Pallé/ONISEP Avec un bon dossier, les bacheliers STMG peuvent suivre une prépa économique et commerciale option technologique. À lire aussi Les classes préparatoires économiques et commerciales La prépa économique et commerciale option technologique (ECT) est réservée aux bacheliers STMG. Elle prépare, en 2 ans, aux concours d'entrée des grandes écoles de commerce et de management. Une quarantaine de classes sont présentes sur le territoire national. Pour intégrer cette prépa, un bon dossier, équilibré entre les maths, l’économie et les matières littéraires, est demandé. Là encore, un dossier équilibré et de bon niveau est recommandé. Témoignages d'étudiantes

L’université après BAC STMG Une part des bacheliers STMG opte pour l’université en vue d’y préparer une licence générale (bac + 3), puis un master (bac + 5). Point commun à toutes ces orientations : le mode d'enseignement, très éloigné du lycée, impose une grande autonomie et de la méthode dans l'organisation du travail personnel. Les études universitaires requièrent une solide culture générale, un goût pour l'abstraction, de la méthodologie et des qualités d’expression en français. © Jérôme Pallé/ONISEP 1 bachelier STMG sur 5 poursuit ses études à l'université. À lire aussi Économie et gestion Les licences générales proposent des parcours dans divers domaines : gestion, comptabilité, ressources humaines, commerce, marketing, banque… La licence d’administration économique et sociale (AES) est structurée autour de trois champs disciplinaires : droit, économie-gestion et sciences humaines. Les licences en économie ou gestion recourent à la modélisation mathématique pour expliquer les phénomènes économiques.

Les BTS et DUT après le bac sciences et technologies du management et de la gestion (STMG) Plus de la moitié des bacheliers STMG optent pour un BTS ou un DUT préparant aux métiers des services. Accessibles sur dossier, ces formations associent, pendant 2 ans, cours théoriques, pratique professionnelle et stages de terrain. Une fois diplômé à bac + 2, possibilité d'entrer sur le marché du travail ou de continuer ses études, en licence pro (pour 1 an) ou vers des cursus plus longs. © Jérôme Pallé/ONISEP Plus de la moitié des bacheliers STMG poursuivent leurs études en BTS ou DUT dans le secteur des services. À lire aussi Les brevets de technicien supérieur (BTS) Les bacheliers STMG sont nombreux à préparer un BTS, en lycée ou en école privée, en formation initiale ou par alternance. La polyvalence de leur bac donne accès à une quinzaine de spécialités. L'accès à ces formations est surtout fonction de la qualité du dossier scolaire. En management et gestion En vente et commerce 3 BTS visent le développement de compétences commerciales larges : En informatique En communication

sapeur-pompier De la prise en charge des accidentés de la route à la lutte contre les incendies, en passant par les interventions auprès de particuliers, à domicile ou sur l'espace public, le sapeur-pompier est sur de nombreux fronts. Son champ d'action ne cesse d'ailleurs de s'étendre : il n'est pas rare de voir un pompier lutter contre une pollution d'origine chimique. Évacuer les personnes en danger, installer un périmètre de sécurité autour d'un accident, administrer les premiers soins aux blessés : pas de routine puisque chaque intervention est différente. Et le rythme est trépidant, en particulier dans les grandes villes où l'on enregistre parfois des appels très rapprochés. Plus qu'un métier, il faut parler de vocation, qui exige don de soi, altruisme, sens du devoir et des responsabilités. La plupart des sapeurs-pompiers sont fonctionnaires territoriaux.

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