15 000 euros le million de fans Facebook, vous achetez ? | Rue89 Eco Montage du symbole « j’aime » de Facebook Sur les réseaux sociaux, le nombre de « followers » (utilisateurs abonnés à un compte) sur Twitter et de personnes abonnées à une page Facebook (bouton « j’aime ») sont devenus les baromètres de la popularité des internautes et des marques, l’un et l’autre se confondant parfois. Une société française, Boostic , propose de vendre des « followers » et des « j’aime » (ou « likes » en anglais) aux particuliers et aux entreprises, à l’instar de trois sites similaires qui se sont implantés dans l’Hexagone depuis quelques semaines. « Devenez le seigneur des réseaux » Mais Boostic a passé la vitesse supérieure en investissant les panneaux publicitaires du métro parisien en fin de semaine dernière : « Devenez le seigneur des réseaux […], l’ami des moteurs de recherche, mettez les projecteurs sur votre profil, gagnez dans votre stratégie de communication. » Plusieurs moyens sont possibles pour fournir ces fans : Une activité balbutiante Est-ce que ça marche ?
Facebook un peu plus privé, bonne nouvelle pour les Français ? | Rue89 Eco Souvent accusé de ne pas respecter la vie privée de ses utilisateurs, Facebook est sur le point de signer un accord avec les autorités américaines pour renforcer ses paramètres de confidentialité. Une nouvelle importante, mais dont les retombées en France seront plus limitées qu’aux Etats-Unis. L’accord, passé avec la Commission fédérale du commerce (FTC) n’est pas encore signé, mais devrait être voté « dans les prochaines semaines ». Le Wall Street Journal en précise les principaux points : Facebook devra avant tout obtenir l’autorisation de l’utilisateur pour partager ses données personnelles. Zuckerberg : « Etre de plus en plus clair » Le quotidien américain précise que l’idée d’un accord a fait son chemin après que Facebook a changé la manière de fonctionner de ses paramètres de confidentialité – nom, photo de profil, lieu d’habitation, genre, liste d’amis, entre autres – en 2009 : La pression monte sur Facebook. « Amener Facebook à respecter la législation européenne »
MegaUpload: non, Anonymous ne s'attaquera pas à Facebook Dans un message audio diffusé sur internet, une personne se faisant apparemment passer pour un membre d'Anonymous prévient que si MegaUpload n'est pas réintégré d'ici 72 heures, ils passeront à l'action. Dans ce message audio, cet internaute explique qu'il aurait déjà accès aux données confidentielles présentes sur différents serveurs tels que ceux des Nations Unies, de Twitter, Facebook, Youtube, PlayStation Network et Xbox Live. Il explique aussi que si MegaUpload ne réapparaît pas, les Anonymous procèderont au black-out des serveurs mentionnés ci-dessus. Mais il n'en est apparemment rien. Attaquer Facebook, Twitter ou encore l'ONU n'est pas dans l'intention d'Anonymous. Une personne nous contactant au nom d'Anonymous précise que pirater ces sites est contraire à ce groupement de hackers et que l'auteur de ces rumeurs n'a pas encore été identifié. A nouveau, difficile d'établir avec certitude que notre contact fait bel et bien partie du groupe de cyber-hacktivistes.
MULTIMÉDIA • Bienvenue dans la mentalité Facebook... La volonté du réseau social d'exploiter sans entrave les données personnelles de ses membres heurte de front la nouvelle politique européenne de protection de la vie privée. Voilà qui n'augure rien de bon, alors que la société américaine compte s'introduire en Bourse au printemps. Voilà une coïncidence intéressante. Le 25 janvier, la Commission européenne a présenté un projet de "révision complète" de la directive de 1995 sur la protection des données personnelles afin de "mieux protéger la vie privée sur Internet" et de "dynamiser le commerce électronique dans l'UE". La même semaine, Facebook annonçait sur son blog officiel : "L'année dernière, nous avons lancé Timeline [le "Journal" dans la version française], un nouveau profil vous permettant de mettre en avant les photos, les publications et les événements qui racontent votre histoire. Personne ne pourrait inventer ça. D'accord.
Le petit Facebook, 8 ans, inspire de plus en plus la pub | VivelaPub Le 4 février, Facebook a fêté son huitième anniversaire. Depuis 2004, le réseau social s’est largement immiscé dans notre vie quotidienne. Médias, politiques, marques, jeunes et moins jeunes... Preuve ultime de la notoriété du réseau de Mark Zuckerberg, ces très nombreux détournements publicitaires. Les pubs qui « like » Application « J’aime ma ligne », RATP, 2011 (RATP.fr) Certains annonceurs s’inspirent d’abord du « like » : le journal allemand Welt Kompakt – aussi inspiré par l’icône publicitaire Nicolas Sarkozy – ; le portuguais Jornal de noticias, à l’occasion d’un festival de cinéma ; la RATP, pour ses usagers possédant un smartphone ; et bien d’autres encore. « Nicolas Sarkozy likes Nicolas Sarkozy », Welt Kompakt (Welt Kompakt) « Like », Jornal de noticias, à l’occasion du 31e festival de films fantastiques de Porto, Fantasporo, 2011 Les pubs qui veulent vous faire décrocher
Pourquoi (et surtout comment) ils ont quitté Facebook « Get a life » (va t’acheter une vie), le logo Facebook détourné (boltron/Flickr/CC) « Cela faisait un an et demi que j’y pensais », « j’ai eu beaucoup de mal à sauter le pas » ... Comme on se prépare à arrêter la cigarette, les internautes que Rue89 a rencontrés ont longtemps mûri l’idée de quitter Facebook. Récemment, ils ont décidé de rompre avec cette communauté de 800 millions de personnes, dont 23 millions d’« amis » français. Pour Sevin, blogueuse de 28 ans, le réseau social avait perdu de son intérêt. « Je me désolais de voir les contenus très personnels que mes contacts postaient. « Si tu n’as pas plus de 300 amis, tu n’es rien » Au collège ou au lycée, les histoires et les rumeurs naissent sur Facebook. « Ce monde virtuel dégrade la notion d’amitié avec ses chiffres. Un petit jeu parfois cruel que Pauline, 15 ans, ne supportait plus : « Facebook m’apportait plus de soucis que de joies. « Facebook récupère toutes nos données » « C’est du harcèlement moral » Désactiver son compte
MÉDIAS • Instagram, porte d'entrée de Facebook en Chine ? Le réseau social fondé par Mark Zuckerberg est interdit en Chine. Mais en achetant Instagram et son application disponible en chinois, le PDG de Facebook a peut-être enfin trouvé une manière de pénétrer le marché de l'empire du Milieu. Facebook n'a pas encore réussi à infiltrer la Chine, mais les choses pourraient changer grâce au rachat d'un réseau social bien plus modeste, Instagram, qui permet à ses utilisateurs d'éditer, de "tagger" et de partager des photos en quelques instants. L'application Instagram a été traduite en chinois et est compatible avec l'un des services de microblogging chinois le plus populaires, Weibo (créé par la société Sina), sur lequel les internautes peuvent ainsi publier leurs clichés. Facebook est bloqué depuis des années. Instagram n'a pas de locaux officiels en Chine, mais le fondateur de l'application, Kevin Systrom, s'est exprimé à ce sujet à l'automne 2011 lors d'une conférence organisée par TechCrunch, appelée Disrupt.
PORTRAIT • Max Schrems, l'Européen qui ne “like” pas Facebook Un étudiant en droit autrichien accuse le réseau social de non-respect de la législation sur la protection des données. Mais Mark Zuckerberg, qui ne veut pas rater l’entrée en bourse de sa société et l’Irlande, qui abrite son siège européen, ont décidé de contre-attaquer. presseurop.eu 27 avril 2012 | Partager : Un beau jour, Max Schrems a voulu en avoir le cœur net. Il a demandé à Facebook de lui donner accès à l’intégralité des données sauvegardées à son sujet. La réponse qu’il a reçue du réseau social a dépassé toutes ses craintes : toutes les données qu’il avait effacées étaient encore là. C’était il y a un an. ENQUÊTE • "Je me suis fait passer pour une collégienne sur Facebook" La journaliste italienne s'est amusée à s'inscrire sur Facebook en se faisant passer pour une collégienne. Elle est restée désarmée face à la naïveté des enfants qui passent tout leur temps libre sur le plus grand réseau social de la Toile. Tous accros à Facebook, dès le CM2. Pour être "cool", il faut avoir son propre compte. Publier les photos de sa vie entière, à moins de se retrouver exclu, savoir s'affranchir des règles et des contrôles avec un je-m'en-foutisme retentissant, comme des milliers de jeunes Italiens chaque jour, clandestins ravis d'un réseau social interdit en théorie aux moins de 13 ans mais qui laisse à chacun la possibilité d'insérer l'âge de son choix en proclamant : "Rien à foutre". Le premier à avoir accepté ma demande d'amitié, nous l'appellerons Roberto. Selon le règlement, il est interdit de publier des photos ou des contenus sensibles d'un tiers sans sa permission, et l'accord parental pour les mineurs est nécessaire.
Comment Facebook lit vos messages privés (et peut les montrer à la police) Tout ce que vous écrivez sur Facebook – y compris la messagerie privée – est scruté par les ordinateurs de Facebook, à la recherche d’activités criminelles. Si un comportement suspect – pédophilie, harcèlement... – est détecté par ses algorithmes, le cas remonte à l’équipe de sécurité du réseau social. C’est seulement à cette étape que des yeux humains se posent sur des discussions privées. Le cas échéant, le géant d’Internet se met en relation avec la police. Toutes les entreprises surveillent ce qui se trame sur leur réseau. Mais une interview accordée à Reuters par Joe Sullivan, responsable de la sécurité à Facebook, est venue donner davantage de détails sur la manière dont Facebook a automatisé le processus de détection et comment, contrairement à d’autres géants, ce dernier est entièrement internalisé. Une détection intelligente Facebook se concentre en priorité sur les discussions supposées à risques. Un sujet délicat « La question, c’est la transparence de Facebook »
Je n’ai pas Facebook et je ne suis pas un mec louche Pour certains employeurs et psychologues, un jeune n’ayant pas Facebook serait quelqu’un de suspect. C’est ce que j’ai lu dans un article paru dans le Daily Mail, repris en français par Les Inrocks ou encore Numerama. Il relate les conclusions d’une étude menée par un magazine allemand, « Der Tagesspiegel ». Une caméra qui vous reconnaît dans les bars grâce à Facebook Et si vos photos Facebook permettaient à une caméra de vous reconnaître automatiquement quand vous entrez dans un bar ? Un peu effrayant, même si c’est pour vous proposer des réductions. C’est ce qu’est en train de tester une agence de pub de Nashville, aux Etats-Unis, en utilisant la reconnaissance faciale. En utilisant les photos des utilisateurs de Facebook, elle a conçu une caméra qui, postée à l’entrée d’un bar, reconnaît les clients et calcule, en fonction de leurs « J’aime » et de leurs habitudes sur le réseau, des offres spéciales. Heureusement, les utilisateurs doivent donner leur accord préalable : s’inscrire sur Facebook pour participer à l’expérience. Pour le moment, cette initiative – surnommée « Facedeals » – est limitée à quelques commerces de la ville, mais dans sa vidéo de présentation, l’agence dit vouloir l’étendre « à de grandes villes, dans le monde entier ». La vidéo de présentation de Facedeals (en anglais)
Soirée "Projet X" aux Pays-Bas, une trentaine de blessés et 34 arrestations La jeune néerlandaise voulait marquer le coup pour ses 16 ans, elle avait prévu une petite soirée entre amis dans la maison familiale à Haren (nord des Pays-Bas), une petite ville calme de 18 000 habitants. L'adolescente a lancé son invitation via Facebook mais elle a oublié de mettre son message en privé. Résultat : 20 000 personnes avaient indiqué qu’elles seraient de la partie. Une soirée rebaptisée, "Projet X à Haren", en référence au film américain qui raconte une soirée organisée via le réseau social par trois adolescents et qui dérape. Des clôtures, des voitures, des panneaux de signalisation ont été endommagés. "La façon dont la police agit fait en sorte que les gens réagissent de cette manière", a déclaré un de ces jeunes participants. Au final, une trentaine de personnes, dont trois policiers, ont été admises pour des blessures légères, dans deux hôpitaux de la région. La jeune fille, elle, n'est pas prête d'oublier cette soirée d’anniversaire. C.B. avec N.