De la performance sociale à la performance économique La réussite d’une entreprise se résume dans la majorité des cas, aux résultats économiques et à la hausse du capital. Le capital humain est un facteur essentiel de la croissance et joue un rôle crucial. Lorsqu’on allie la bonne marche de l’entreprise d’un point de vue de performance économique avec le capital social, il s’en dégage des exemples concrets qui nous amènent à cette conclusion. Chez Microsoft, chaque manager est libre d’organiser tout type de célébration informelle : cocktail, repas d’équipe, activité ludique, etc. Pour cela, il dispose d’un budget lui permettant de financer ce type d’événements. Nous sommes convaincus que les entreprises qui mettent l’accent sur le relationnel entre collaborateurs, peu importe leur échelon, trouveront leurs résultats financiers favorables et durables. La convivialité Elle incite les collaborateurs à mieux se connaître, se faire confiance, au sein d’un cadre adapté à travers des activités extra-professionnelles par exemple.
Le sport en entreprise au service des pratiques managériales 1Dans le cadre de la « sportivisation de l’économie » et de « l’économisation du sport » accentuées au cours des années 1980 (Andreff et al., 1989), bon nombre d’entreprises dont l’activité n’avait pas de relation directe avec le champ sportif ont progressivement investi cet espace. Au nom d’une politique de communication institutionnelle qui visait entre autres à valoriser leur image, elles ont engagé des opérations de sponsoring sportif et mis en place des actions sportives pour mobiliser leur personnel en interne (voir tableau 1). Les stages outdoor (Fourré, 1999) puis quelques années plus tard l’incentive et les team building à caractère sportif (Burlot et Pichot, 2004) consacrent, en même temps qu’ils illustrent, un nouveau mode d’utilisation du sport et de ses supposées valeurs — culte de la performance, esprit d’équipe, courage, abnégation, dépassement de soi (Ehrenberg, 1990 ; Heilbrunn, 2004). Tableau 1. Si l’on observe bien, le foot c’est quand même plus l’usine.
Fidéliser des salarié Motivation, performance de l’entreprise Une politique de fidélisation des salariés vise à mettre en place un environnement qui maintienne durablement l’attachement des salariés envers leur entreprise. La fidélisation du personnel est une problématique actuelle qui concerne tous les secteurs d’activité. La crise financière a des répercussions sur la motivation et la confiance du personnel vis-à-vis de leur entreprise. Les difficultés financières, les baisses de budgets et les risques de licenciements influent sur le dynamisme et les performances des salariés. La fidélisation des salariés correspond à l’ensemble des mesures permettant de réduire les départs volontaires des employés. La fidélisation des salariés représente un facteur déterminant de la performance de l’entreprise, de son attractivité et de sa compétitivité. Les chiffres suivants mettent en évidence l’importance d’offrir aux salariés de bonnes conditions de travail et un climat social agréable. Attentes des français : résultat 2012 HR Beat
Savoir rémunérer la performance sociale L'Express/DahmaneIsabelle Hennebelle, chef de la rubrique Emploi de L'Express, journaliste RH à L'Expansion, fondatrice du Cercle de l'humain. A l'heure du développement durable et de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE), les dirigeants ferraillent pour mobiliser leurs cadres dirigeants et leurs managers dans la mise en oeuvre de leur politique "verte" et "sociale". Indexer la performance sociale sur le variable est l'un des outils possibles. Afin d'accompagner les entreprises, celui-ci publie le 7 juin, avec le cabinet PwC, le guide pratique Etude sur l'intégration de critères RSE sur la part variable des rémunérations des dirigeants et des managers. Quatre étapes à suivre Pour fonctionner, "la démarche doit inclure la direction générale, à titre d'exemplarité", estime Daniel Giffard-Bouvier, associé conseil RH chez PwC. Deuxième étape: la conception du dispositif.
L’engagement de Renault en matière de responsabilité sociale Affirmer que l'industrie doit faire partie de la solution pour relever les défis environnementaux, c'est reconnaître que les entreprises ont une responsabilité sociale. Renault a conscience depuis longtemps de sa responsabilité sociale, vis-à-vis de ses salariés, de ses clients et de la planète, et agit en ce sens depuis de nombreuses années. La création de la Direction de la responsabilité sociale de Renault (DRSE) en mai 2009 s'inscrit dans cette lignée. La DRSE pour but de définir la stratégie RSE de l’entreprise et de la déployer, ainsi que de structurer et d’organiser toutes les actions et initiatives qui relèvent de l'engagement citoyen. Quatre enjeux majeurs de progrès sont visés : éducation, sécurité, mobilité durable et diversité. Objectif in fine : minimiser les impacts négatifs des activités du Groupe et renforcer ses contributions positives au monde qui l’entoure.
la motivation un facteur de réussite des entreprises aujourd'hui. | A une époque où le travail a changé de sens et se réorganise, où la compétition est devenue mondiale, la motivation du personnel à tous les niveaux de l'entreprise devient un problème prioritaire. Les dirigeants sont plus que jamais dans l'obligation de tenir compte de la motivation des salariés. D'abord, parce que le travail est une valeur en voie de disparition, à cause de l'évolution du contexte socio-économique. La motivation des salariés est donc désormais un facteur essentiel de la réussite des entreprises. Aux vues de ces théories, nous pouvons nous demander comment les dirigeants motivent leur salariés aujourd'hui. La place des salariés dans l'entreprise tend à évoluer. La performance sociale : une aberration dangereuse. Une nouvelle expression est en train d'apparaître au sein des cabinets de consultants et de certaines directions d'entreprises : la performance sociale. Elle risque de se diffuser rapidement, se situe dans le droit fil de l'approche techniciste et instrumentale qualifiée de « risques psychosociaux au travail ». Mesurons le chemin parcouru en presque 40 ans : au début des années 70, Antoine Riboud, alors PDG du groupe BSN, devenu Groupe Danone, posait les fondements du double projet économique et social. Ce qui alors, relevait du stratégique du projet, de la pénétration réciproque entre l'économique et le social, d'une ambition large et à long terme se trouve réduit à de la tactique, de l'instrumental, du mesurable, à la tentative de tempérer la performance économique par une performance sociale ! On refuse de voir que, relativement à la « souffrance au travail », c'est la notion même de performance qui est en cause. Ce n'est pas le travail que l'on prétend soigner, mais le travailleur.
Présentéisme : l'autre visage (inquiétant) de l'absentéisme Présent mais...totalement absent. Voilà le paradoxe que traduit le présentéisme. Envers de l'absentéisme, il illustre à bas bruit souvent une situation de « burn out » ou de démission intérieure. Le salarié est présent physiquement mais psychiquement absent. Certains s'efforcent même de donner l'impression qu'ils travaillent alors qu'en réalité ils en font le moins possible. Une présence qui traduit plus un désengagement qu'une réelle motivation. Facteur de risque pour la santé au travail D'où la sonnette d'alarme tirée par les médecins du travail qui voient dans le présentéisme un facteur de risque pour la santé des salariés. Mal typiquement français La France reste encore la championne toute catégorie de ce phénomène.
Les 10 outils de la fidélisation. La fidélisation ne doit rien au hasard. Elle résulte d’un ensemble de moyens et d’actions mis en synergie pour élaborer une véritable stratégie d’entreprise visant à produire de la valeur ajoutée tant pour l’entreprise que pour ses clients. Les gains retirés seront bien sûr des profits pour l’entreprise, mais aussi des améliorations d’image de marque, de qualité de services, de valorisation vis-à-vis de la concurrence, de satisfaction ressentie par le client, et donc de pérennisation du lien avec celui-ci… Le savoir-faire 1. Rien ne sert d’envisager un programme de fidélisation, si le produit ne répond pas à l’attente. 2. Le processus de fidélisation suppose l’implication de l’ensemble des membres de l’entreprise. 3. Le fond de commerce d’une société s’établit autant sur le portefeuille clients que sur les produits.C'est son véritable trésor de guerre, celui qu'on enrichit, qu'on peaufine, dont on vérifie régulièrement l'actualisation des informations. Le faire-savoir 4. 5. 6. 7. 8. 9.
Performance sociale - comprendre, évaluer, agir Les études sur les entreprise montrent bien souvent que les entreprises gèrent bien leurs relations avec leurs principales parties prenantes et n’intègrent pas dans leur démarche les questions sociales plus globales. Partie intégrante d’un projet RSE, la question de la performance sociale et de son évaluation ne doit pas être minorée. Très (trop ?) souvent, l’évaluation de cette performance sociale se limite à la satisfaction des principales parties prenantes (salariés, actionnaires). Mais la notion de satisfaction peut-elle à elle seule permettre d’évaluer la performance sociale ? Définition de la performance sociale On peut définir la performance sociale comme les résultats d’une entreprise dans les domaines qui ne relèvent pas directement de l’activité économique. La performance est-elle héritée ou intrinsèque ? Développer des valeurs sociales pour une meilleure performance Mesurer sa performance sociale ou socio-économique Efficacité commerciale Contrôle de la performance
Prévention / PME : Les chefs d’entreprises impliqués dans la prévention des risques Axa Prévention vient de rendre les résultats d’une étude sur la prévention des risques dans les PME à l’échelle nationale. Si l’ensemble des chefs d’entreprises semblent concernés par cette problématique, la santé est le facteur déterminant dans la mise en place d’actions de prévention. A l’occasion de la remise des « Trophées de la Prévention Entreprise » édition 2011, (qui récompensent les binômes Entreprises et Agents Généraux ayant mis en œuvre des programmes de prévention), Axa Prévention vient de dévoiler les résultats d’une étude nationale sur la politique de prévention des risques en entreprises. Ensuite, on apprend que 93% des patrons de petites et moyennes entreprises ont déjà mis en place au moins une action de prévention dans sa société (pour une moyenne de 4 actions de prévention par PME). La santé au cœur des préoccupation des patrons Le rôle des assureurs
Ces PME ou il fait bon vivre - enquête Mieux qu'une pause-café, une pause-massage. Depuis huit ans, les collaborateurs de Xilam Animation, une PME parisienne de 80 salariés, reçoivent la visite d'un masseur professionnel une à deux fois par semaine. Preuve que le bien-être au travail n'est pas le privilège des grandes entreprises. Pour 12 euros, dont la moitié est prise en charge par la société de production de dessins animés, les dessinateurs profitent d'un temps de relaxation entre deux planches de croquis. «Toute la journée, ils restent assis à leur table. Une posture physique contraignante, estime le président, Marc du Ponta- vice. Un stress improductif. En 2008, Patrice Verley et Jean-Baptiste Le Bigot, dirigeants de Faber France, ont investi 45 000 euros dans la création d'un restaurant d'entreprise «modèle». «La manifestation du stress en entreprise a un coût: absentéisme, turnover, agressivité, perte de concentration, de motivation, de créativité... Faciliter le quotidien. Repassage, courses, lavages de voitures...