Les réseaux sociaux numériques d’entreprise, par Ziryeb MAROUF L’année dernière, sont parus trois livres sur les réseaux sociaux et leur mise en œuvre : Les réseaux sociaux numériques d’entreprise par chez L’Harmattan ; Les réseaux sociaux d’entreprise par chez Diateino ; Le réseau social d’entreprise par chez Hermes Lavoisier. L’objectif de ces trois billets successifs est de présenter et de faire une analyse de ces trois ouvrages. Ce livre réalisé par Ziryeb MAROUF, responsable RH 2.0 pour France Telecom Orange et fondateur de l’Observatoire des réseaux sociaux d’entreprises, fait un peu plus de cent quatre-vingt pages incluant un glossaire. , ce qui n’est pas courant, jusqu’à la mise en œuvre des outils logiciels correspondants dans les organisations. Une présentation et une analyse détaillée de son contenu sont réalisées ci après, chapitre par chapitre. L’analyse sociologique des réseaux sociaux Ici, même si la présentation qui en réalisée est limitée, elle est une très bonne introduction à ces travaux. Les différents types de réseaux sociaux
Emploi : Un Facebook interne chez Renault Le constructeur automobile a lancé son réseau social en interne. Objectif : créer la communauté de travail la plus vaste possible, au-delà des frontières. En deux semaines, quelque 3500 profils ont été créés. Comme de plus en plus d'entreprises, Renault s'est laissé séduire par un réseau social interne. Le principe est le même que sur Facebook: chaque employé dispose d'un mur où il peut faire part de ses remarques et de ses commentaires, et qui est accessible à tous les autres utilisateurs. Réunir tous les salariés, au delà des frontières Aujourd'hui, un tel outil de communication est devenu important pour plusieurs raisons. De la même manière, les rythmes de fabrication se sont accélérés. Depuis la mise en service du réseau social, 350 communautés ou groupes de travail ont été créés. » Les annonceurs s'éparpillent trop sur Internet
Savoir manager l'intelligence collective des équipes de travail L'intelligence collective est porteuse de grands enjeux pour l'efficacité du fonctionnement des organisations. Voici les principaux leviers sur lesquels agir. Par Olfa Zaïbet-Grèselle, Admeo. L'organisation en équipe constitue le mode d'action collective le plus performant : l'engagement de ses membres résulte d'une interaction entre la mobilisation, l'appartenance et la réalisation concrète. Système à la fois humain et opérationnel, une équipe constitue en elle-même un moyen d'efficacité et de performance dans lequel l'intelligence collective pourrait émerger et donc être managée pour un meilleur développement de l'équipe. Les composantes de l'intelligence collective dans les équipes de travail Une étude, que nous avons menée auprès de trois équipes de travail distinctes d'une PME du secteur de l'électronique, a permis de mettre en avant les conditions les plus citées ou observées pour faire en sorte qu'une équipe soit "intelligente".
Des réseaux sociaux en entreprise : pas aujourd'hui Pierre continue nos réflexions à propos de la bonne utilisation de la messagerie professionnelle et des nouveaux moyens tels que les réseaux sociaux pour faciliter les travaux tout en ne baissant pas la qualité du travail, ne serait-ce que parce que les progrès techniques font que les normes habituelles (les méthodes « qualité » et autres âneries pourtant indispensables) ne sont plus respectées. L’entreprise jugera si elle doit utiliser les réseaux sociaux (blog, compte Twitter, page Facebook, …) pour sa communication, soit avec les clients ou usagers, soit avec le personnel (ou le potentiel personnel…). Ce qui m’intéresse, ici, c’est comment peut une entreprise peut utiliser des réseaux sociaux pour son travail au quotidien, pour permettre une diminution du nombre de mails et un meilleur respect des normes, normes qu’il reste d’ailleurs peut-être à créer ou recréer, tout en améliorant le niveau d’efficacité des salariés. Il faudrait donc définir les besoins. Il finira par être validé.
Collaboratif / Coopératif : quelle différence ? François Bocquet Quand parle-ton de travail collaboratif ? « Quand deux ou plusieurs personnes - échangent des points de vue sur des informations existantes - planifient et gèrent leur temps - organisent leur travail collectif - partagent de l'expérience - définissent des objectifs communs - construisent des informations ensemble - construisent des compétences ensemble Quand parle-ton de travail collaboratif ? Séminaire TICE. Jean Heutte « La distinction entre coopératif et collaboratif s'opère en distinguant les relations qu'entretient chaque individu avec les membres du groupe, sa responsabilité par rapport aux actions, sa capacité à influer sur la définition et l'enchaînement des actions permettant d'atteindre l'objectif assigné au groupe. » Site personnel de Jean Heutte Apprentissage coopératif L'apprentissage se fait en équipe. Apprentissage collaboratif L'apprentissage résulte du travail individuel soutenu par des activités de groupe ou d'équipe. Université de Genève Tecfa.unige.ch
Intelligence collective Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'intelligence collective désigne les capacités cognitives d'une communauté résultant des interactions multiples entre ses membres (ou agents). La connaissance des membres de la communauté est limitée à une perception partielle de l'environnement, ils n'ont pas conscience de la totalité des éléments qui influencent le groupe. l'Intelligence Collective se distingue de l'intelligence collaborative (efficacité des échanges centrés sur une tache) et de l'intelligence projective (synergie des motivations individuelles et collectives, porteuse de sens individuel et collectif). Les formes d'intelligence collective sont très diverses selon les types de communauté et les membres qu'elles réunissent. Intelligence collective humaine[modifier | modifier le code] Conditions[modifier | modifier le code] L'intelligence collective dans une société humaine provient d'interactions plus complexes répondant à diverses conditions citées ci-après. et
Stratégie RH, le portail RH & Change de Sia Conseil La RSE permet de développer une marque employeur forte La marque employeur est une combinaison d’éléments (nom, terme, image, symbole, …) servant à identifier une entreprise en tant qu’employeur et à la différencier de ses concurrents sur sa politique RH. La marque employeur a deux principaux objectifs : En interne, elle vise à fidéliser et motiver ses salariés. A l’externe, elle permet de répondre le mieux possible à la guerre des talents en attirant les meilleurs éléments, dans des secteurs parfois dévalorisés, et de renvoyer une autre image de l’entreprise qui aujourd’hui semble complètement déshumanisée pour 66% des salariés (Les Débats RH, novembre 2008). La RSE permet de répondre aux besoins de la génération Y La génération Y est aujourd’hui la principale cible des recruteurs, mais elle présente de nombreuses caractéristiques à prendre en compte pour pouvoir espérer recruter et fidéliser les salariés de cette génération. La RSE permet de faciliter les relations avec les syndicats
Travail collaboratif [Choisir le bon outil de travail collaboratif] L'importance d'un système d'information Pour pouvoir travailler à plusieurs, il faut réorganiser les tâches en répartissant au mieux le travail entre les partenaires. La coordination des activités et des relations repose donc sur un bon système d'information. La gestion des données devient donc l'élément central dans une plate-forme. Le stockage, l'extraction et l'exploitation des données autorisent des utilisations différentes, telles les fonctions d'annuaire, de catalogue ou de transaction. La gestion des données permet également de formaliser les savoirs et le savoir-faire, afin de les rendre utilisables par tous, et de devenir, ainsi, un outil de gestion de connaissances. Le système d'information, dans un réseau d'entreprises, permet la communication entre l'animateur du réseau, les membres et l'environnement. Au-delà de l'information, les membres d'un réseau d'entreprises partagent aussi des connaissances. Apports des NTIC dans le travail collaboratif Outils d'information
ET SI L’INTELLIGENCE COLLECTIVE POUVAIT SAUVER NOS ENTREPRISES ? Chacun d’entre nous est capable d’objectiver les mutations que traverse aujourd’hui la communauté humaine. L’avènement des nouvelles technologies associé à la globalisation nous font d’ailleurs presque toucher du doigt ou en tout cas matérialisent une réalité qui, sans doute, échappe à la plupart d’entre nous, à savoir l’interdépendance. Cette interdépendance est le plus souvent évoquée à travers l’expression : « l’effet papillon ». Celle-ci laisse entendre qu’un simple battement d'ailes d'un papillon pourrait déclencher une tornade à l'autre bout du monde. « Faut voir !» Or, et c’est bien malheureux, quelques événements récents, tels que la crise des subprimes, l’accident nucléaire de Fukushima et plus près de nous encore, le scandale de la viande de cheval, nous ont confronté de manière brutale aux conséquences désastreuses auxquelles peuvent conduire cette interdépendance. - Les organisations à intelligence holomidale. - L’holoptisme. - Les architectures invisibles,