Entreprise étendue Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Réseau. Une entreprise étendue (dite aussi « en réseau », ou « matricielle », ou « virtuelle ») est un ensemble d’entreprises et d’acteurs économiques associés pour la réalisation de projets communs. Motivations de l’entreprise étendue[modifier | modifier le code] Généralement ce système vient d’une décision d’externalisation, sur un mode coopératif, par l’entreprise initiatrice, d'activités qu’elle n’a pas intérêt à, ou la possibilité de, réaliser elle-même. Il peut aussi se mettre en place dans le cadre de stratégies de développement durable, comprenant des partenariats avec des ONG. Les composantes typiques d’une entreprise étendue[modifier | modifier le code] Une entreprise étendue comprend en général : Les motivations de cette forme d’organisation[modifier | modifier le code] Elle permet notamment: Le cas des réseaux locaux d'entreprises[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code]
Co-conception Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La coconception, que l'on retrouve couramment sous le terme codesign ou co-design, correspond à l'activité de mener un processus de développement d'un produit ou service, le plus souvent innovant, impliquant l'utilisateur final. Afin de minimiser le risque du lancement de produit innovant, de recentrer le développement du produit sur le client, de satisfaire le besoin et de réinventer un modèle industriel et économique, il semble intéressant de donner au client un rôle plus important que celui de validateur dans le processus de conception du produit. Il semble important qu’il joue un rôle actif dans les différents stades du développement du produit. L’expérience de travail collaboratif fait déjà partie de l’expérience d’achat du produit, une sorte de service associé. En entreprise, cette méthode est appréciée car elle permet de mener à bien un projet d'innovation plus rapidement et de façon moins couteuse que les approches traditionnelles.
User-generated content Many commercial websites rely on UGC. For example,Amazon.com and Trip Advisor rely on users to rate products and hotels and restaurants, respectively.[2][3] These reviews are important part of what the two respective websites offer. When UGC is contained in commercial websites it is often monitored by administrators to avoid offensive content or language, copyright infringement issues, or simply to determine relevancy of the content to the site's theme. Because user-generated content is generally free to store, the world's data centers are now replete with exabytes of UGC that, in addition to creating a corporate asset,[4] may also contain data that can be regarded as a liability.[5][6] General requirements[edit] The advent of user-generated content marked a shift among media organizations from creating online content to providing facilities for amateurs to publish their own content. The OECD has defined three central schools for UGC:[9] Adoption and recognition by mass media[edit]
Sciences citoyennes Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les sciences citoyennes sont des programmes de recherche associant des scientifiques et une participation « citoyenne » d'amateurs volontaires, d'amateurs éclairés, de spécialistes à la retraite, etc. Elles se sont notamment développées dans le domaine naturaliste, où dans le fil des sociétés savantes des siècles passés, une grande partie du travail se fait sur le terrain sans nécessiter de moyens coûteux ou de laboratoire, permettant à des non-professionnels de contribuer aux avancées en matière de connaissance et d'inventaires. Mais des objets plus lointain, astronomiques notamment font aussi l'objet de sciences citoyennes. Le document Green Paper on Citizen Science: Citizen Science for Europe les décrit dans ces termes (traduction libre) : « ... des activités de recherche scientifique auxquelles des citoyens contribuent activement par un effort intellectuel ou par l'apport de connaissances pertinentes, d'outils ou de ressources.
Travail collaboratif Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La notion de travail collaboratif désigne aujourd'hui un travail qui n'est plus fondé sur l'organisation hiérarchisée traditionnelle, et plus spécifiquement un nouveau mode de travail (éventuellement intégré dans un modèle économique de production) où collaborent de nombreuses personnes grâce aux technologies de l'information et de la communication. Les outils nouveaux permettent de maximiser la créativité et l'efficience d'un groupe associé à des projets d’envergure même si elles sont très dispersées dans l'espace et le temps. Le projet d'encyclopédie en ligne, libre et multilingue, Wikipédia est un exemple de résultat d'un travail collaboratif « en réseaux coopératifs »[1] Il ne faut pas confondre « travail collaboratif » et « travail coopératif » : Le travail collaboratif, comme le travail collectif (dont il est une des variantes) n'est pas nécessairement synonyme d'efficacité, d'efficience, ni de rapidité. De nombreux exemples montrent :
Externalisation Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'externalisation, sous-traitance ou impartition (Québec) désigne le transfert de tout ou partie d'une fonction d'une organisation (entreprise ou administration) vers un partenaire externe. Elle consiste très souvent en la sous-traitance des activités jugées non essentielles et non stratégiques : pour une entreprise, il s'agit de celles qui sont les moins productrices de revenus. Il s'agit d'un outil de gestion stratégique qui se traduit par la restructuration d’une entreprise au sein de sa sphère d’activités : ses compétences de base et son activité principale (core business en anglais). pilotage étroit par l'entreprise donneuse d'ordre ;engagement du prestataire externe. Le terme d’infogérance désigne quant à lui les services d'externalisation informatique proposés par des SSII. Le processus inverse, c'est-à-dire la reprise à l'interne de l'entreprise des activités externalisées est parfois observé. Selon P.
Sous-traitance Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La sous-traitance est un contrat par lequel une entreprise demande à une autre entreprise de réaliser une partie de sa production ou des entreprises auxquelles sont agréées certaines parties de travail. Le sous-traitant est différent du simple fournisseur car il fabrique un produit conçu par le commanditaire ou, souvent, en commun avec lui. Le produit est fabriqué par le sous-traitant pour le compte exclusif du commanditaire et ne porte pas son nom. rapport aux directives du commanditaire. Typologie de la sous-traitance[modifier | modifier le code] Il existe plusieurs types de sous-traitance :[1] Considérations juridiques[modifier | modifier le code] L'entreprise cliente est la personne morale ou physique pour le compte de qui les travaux ou ouvrages sont exécutés. La loi met en place des outils de protection des sous-traitants[3] : Considérations économiques[modifier | modifier le code] Avoir un niveau de commandes assuré. Portail du management
Savoir-faire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sur les autres projets Wikimedia : savoir-faire, sur le Wiktionnaire Le savoir-faire est la connaissance des moyens qui permettent l'accomplissement d'une tâche. Le savoir-faire est différent des autres savoirs comme la connaissance scientifique car il peut être directement appliqué à une tâche. Une des limitations du savoir-faire est sa dépendance à un travail ; ainsi il tend à être moins général que la connaissance. Un des avantages du savoir-faire est qu'il peut impliquer plus de dimensions, comme l'expérience manuelle, l'entrainement à résoudre des problèmes, la compréhension des limites d'une solution spécifique, etc. Les savoir-faire, les techniques et les matériaux traditionnels[modifier | modifier le code] Recherches et inventaires[modifier | modifier le code] les techniques de construction,la coutellerie,le tissage de la soie,la fabrication des peignes en corne, etc. Elles tendent à répondre à deux types d’objectifs :
Intelligence Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme est dérivé du latin intellegentia, « faculté de comprendre », dont le préfixe inter- (« entre »), et le radical legere (« choisir, cueillir ») ou ligare (« lier ») suggèrent essentiellement l'aptitude à lier des éléments entre eux. L'intelligence pratique est la capacité d'agir de manière adaptée aux situations. La compréhension ne peut se concevoir sans un système de codification diversifié. Définitions historiques[modifier | modifier le code] Intelligence et cultures[modifier | modifier le code] Cultures africaines[modifier | modifier le code] Les deux opérations sont complémentaires et conduisent à l’action. Culture musulmane[modifier | modifier le code] Pour Ibn Khaldoun[2], l'intelligence comporte plusieurs branches incluant l’intelligence discernante ou tactique ; l’intelligence expérimentale ou stratégique ; et l’intelligence spéculative, scientifique ou politique. Cultures occidentales[modifier | modifier le code]
Créativité Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Marina Bay Sands à Singapour. Sur les autres projets Wikimedia : créativité, sur le Wiktionnaire créatif, sur le Wiktionnaire originalité, sur le Wiktionnaire La créativité décrit — de façon générale — la capacité d'un individu ou d'un groupe à imaginer ou construire et mettre en œuvre un concept neuf, un objet nouveau ou à découvrir une solution originale à un problème. Opérationnellement, la créativité d'un individu ou d'un groupe est sa capacité à imaginer et produire (généralement sur commande en un court laps de temps ou dans des délais donnés), une grande quantité de solutions, d'idées ou de concepts permettant de réaliser de façon efficace puis efficiente et plus ou moins inattendue un effet ou une action donnée. Origine du mot[modifier | modifier le code] Le mot est un calque de l'américain « creativity », néologisme des années quarante, sans aucune connotation artistique. Adoption du mot en français[modifier | modifier le code]
Knowledge intensive business services Knowledge Intensive Business Services (commonly known as KIBS) are services and business operations heavily reliant on professional knowledge. They are mainly concerned with providing knowledge-intensive support for the business processes of other organizations. As a result, their employment structures are heavily weighted towards scientists, engineers, and other experts. It is common to distinguish between T-KIBS, (those with high use of scientific and technological knowledge - R&D services, engineering services, computer services, etc.), and P-KIBS, who are more traditional professional services - legal, accountancy, and many management consultancy and marketing services. A extract from a description found in Harvard Business Online tells us: "A common characteristic of knowledge-intensive business service (KIBS) firms is that clients routinely play a critical role in co-producing the service solution along with the service provider. From NACE Division 74: Other business activities
Organisation apprenante Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une organisation apprenante est une organisation humaine (entreprise, administration, etc.) qui met en œuvre un ensemble de pratiques et de dispositions pour rester en phase avec son écosystème. Chaque entreprise peut être considérée comme un système vivant opérant au sein d'un écosystème. À l'intérieur de l'entreprise, comme dans un organisme multicellulaire, chaque membre est lui-même attentif à cet écosystème. Dans l'entreprise apprenante, chaque membre apprend les uns des autres. Historique et origines[modifier | modifier le code] Né des travaux de Chris Argyris[1] et de Peter Senge[2], le concept et la pratique de l'organisation apprenante se sont développés tout au long des années 90 et 2000, la réflexion sur le « comment apprendre » faisant la suite des recherches de Jean Piaget[3] sur l'émergence de l'intelligence chez l'enfant, l'apprentissage par accommodation, par assimilation... Elle s’appuie sur : ↑ Chris Argyris et Donald A.
Gestion des connaissances Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La gestion des connaissances (en anglais knowledge management) est une démarche managériale pluridisciplinaire qui regroupe l'ensemble des initiatives, des méthodes et des techniques permettant de percevoir, identifier, analyser, organiser, mémoriser, partager les connaissances des membres d'une organisation – les savoirs créés par l'entreprise elle-même (marketing, recherche et développement) ou acquis de l'extérieur (intelligence économique) – en vue d'atteindre un objectif fixé. Définition[modifier | modifier le code] Actuellement, nous sommes submergés d'informations. Les entreprises, les scientifiques ou même les particuliers sont maintenant obligés d'appliquer une stratégie dans le traitement et la transmission de l'information dans les activités de tous les jours : voter, travailler, chercher un emploi, gagner des marchés, etc. D'après des praticiens et des académiciens tels que R. Historique[modifier | modifier le code] SI MARIÉ(?
CrowdFunding Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La production communautaire, ou « production participative », est une méthode de production de contenu par un très grand nombre de personnes[1]. La mise en commun des apports individuels est facilitée par le développement des réseaux sociaux et des communautés sur internet. L’internaute contributeur peut en échange trouver une contrepartie ou un service ou d’une forme particulière d'investissement, le projet fonctionnant alors comme le ferait une coopérative ou une société de coproduction, qui reverse une participation aux bénéfices futurs. Le financement de la production communautaire peut être assuré par un financement collaboratif. Le principe de la production communautaire[modifier | modifier le code] Une production communautaire fait appel aux internautes pour trouver les fonds nécessaires à l’aboutissement d'un projet de création. L'appel peut être largement ouvert, ou réduit à un cercle de réseaux de contact et d'amis.