Evénementiel : des relations de sous-traitance basées sur la confiance et le prix
64 % des annonceurs investissent jusqu’à 24 % de leur budget global de communication (hors achat d’espace) sur les opérations événementielles. Tel est l'enseignement principal du Baromètre 2012 Anaé-OpinionWay. Selon l'étude, 65 % des annonceurs ont déjà mesuré l’efficacité de leurs opérations événementielles, et plus particulièrement ceux menant des actions sur des cibles B to C (77 %). Les agences, quant à elles, sont 67 % à proposer à leurs clients un outil de mesure de l’efficacité des opérations. Un marché mené par les appels d’offres Dans le cadre de la sélection de leurs agences, deux critères arrivent en tête parmi tous ceux proposés aux annonceurs : – plus des deux tiers des sélections des agences (71 %) se font par appel d’offres,– la poursuite d'une collaboration précédente (63 %).
Social CRM : et si les médias sociaux simplifiaient la relation client
Avec les nouvelles technologies, on cherche souvent de la complexité là où finalement le client veut au contraire que ca soit de plus en plus simple. La technologie ne doit pas être utilisée comme gadget mais comme un service qui crée de la valeur ajoutée dans la relation entre une marque et un consommateur. Augmenter les points de contact Voila un sous-titre que je vois apparaître souvent. Internet, via la multiplicité des médias sociaux permet de multiplier les points de contact entre une marque et ses prospects / clients. Accessible depuis les tablettes (iPad) et depuis smartphones (iPod, Androïd..), présente depuis diféréntes services et plateformes (Youtube, Facebook, Twitter...), une marque multiplie sa présence sur différents terminaux et services afin de se rendre accessible everywhere at anytime.
Comment arrêter d’absorber les émotions des autres
Les émotions comme la peur, la colère, la frustration et l’immobilité sont des énergies. Et vous pouvez potentiellement « attraper » les énergies des autres sans vous en rendre compte. Si vous avez tendance à être une éponge émotionnelle, il est essentiel de savoir comment éviter de prendre les émotions négatives d’un individu, et même comment se détourner des négativités qui flottent au-dessus de la foule. Autre problème, l’anxiété chronique, la dépression ou le stress peuvent vous transformer en éponge émotionnelle en affaiblissant/diminuant vos défenses.
Publication - L’ÉVÉNEMENTIEL
n°228 - avril 20148€ L'ékoburo, de Konica Minolta Lieux de grandes capacités : l'envergure du décor Parcs d'attraction :ils sortent le grand jeu pour les entreprisesThalassothérapie/Spas :A l'heure de la Happy Thérapy Qté : n°227 - mars 20148€
Révolution digitale : s'adapter ou mourir - TRIBUNE
...et que si vous ne savez pas le prendre en compte et vous adapter, vous ne survivrez pas bien longtemps. Dans un monde digital, tous ceux qui s'agripperont à leur modèle analogique n'arriveront pas à se mettre "à la page". Même si certains nous promettent que "le changement, c'est maintenant", le changement doit être constant or, bien souvent, il intervient trop tard et devient alors une contrainte, une nécessité pressante où l'on confondra souvent vitesse et précipitation. Lorsque l'on est un empereur qui règne sur son royaume, on ne voit pas les troupes barbares à ses frontières, sûr de sa force et de la loyauté de ses généraux. Sauf que le confort, le leadership ne poussent pas au changement, ne poussent pas à se poser les questions. Or, sur Internet, tout va très (trop) vite.
Visuel, auditif ou kinesthésique? 3 façons de percevoir -
Visuel auditif kinesthésique: 3 façons différents de voir le monde qui déterminent trois manières de communiquer. Vous est-il déjà arrivé, à votre travail ou ailleurs, de vous faire dire comment les autres vous percevaient, de connaître l’image que vous projetiez? N’avez-vous pas été étonné alors de la différence qui pouvait exister entre l’idée que vous avez de vous-même et celle que les autres se font de vous, étonné même de constater les perceptions parfois contradictoires à votre sujet? Peut-être avez-vous déjà eu l’occasion de discuter avec des collègues de bureau d’une personne ou d’une situation et de vérifier à quel point vos points de vue différaient, tout en étant convaincu que vous aviez raison et que les autres avaient tort? Depuis le temps que je m’intéresse à la psychologie et particulièrement à la communication, j’ai toujours été fasciné par le phénomène de la perception. Notre représentation de la réalité est très partielle.
Les animateurs vont-ils remplacer les mascottes des marques ?
Dans ma jeunesse, les marques se servaient de mascottes pour incarner des valeurs et paraitre plus sympathiques auprès du public. À l’époque nous avions donc un dauphin pour Galak, un gros costaud pour Malabar… Depuis la situation à bien changée. La télé-réalité et les médias sociaux ont ainsi fait évoluer les idéaux des consommateurs d’effigies fantasmées (les mascottes) ou idéalisées (les stars de ciné) vers des figures plus proches, plus réalistes, mieux ancrées dans le quotidien “palpable” des cibles. La raison est toute simple : les consommateurs s’identifient beaucoup mieux à des semblables. Pourquoi est-ce que je vous raconte tout ça ?
L'écoute active
L'écoute active et efficace est une habitude à acquérir et la base d’une communication efficace. L’écoute active est l’action de se concentrer sur ce que vous écoutez en groupe ou en dialoguant, afin de bien comprendre ce qui est dit. En tant qu'auditeur, vous devriez être en mesure de répéter dans vos propres mots ce qui vous a été dit d’une manière qui soit satisfaisante pour votre interlocuteur. Ceci ne veut pas dire que vous soyez d’accord avec ce qu’on vous dit, mais bien que vous comprenez ce qui est dit. Qu'est-ce qui détermine la qualité de l’écoute?
danah boyd : pourquoi avons-nous peur des médias sociaux
A l’occasion de la conférence SXSW qui se tenait mi-mars à Austin, Texas, la sociologue de Microsoft, danah boyd, a donné une très intéressante conférence sur « le pouvoir de la peur chez les publics en réseaux » dont elle a publié le transcript sur son site. Son intérêt pour cette question, comme elle l’explique, vient du fait qu’elle travaille particulièrement sur les cultures adolescentes et les rapports des jeunes aux nouvelles technologies (voir les nombreux articles que nous avons consacré aux travaux de cette chercheuse). Dans ce cadre, elle observe notamment l’intimidation en ligne et est souvent confrontée aux problèmes que les jeunes rencontrent via les réseaux sociaux.