Le fondateur de Tumblr veut ringardiser Facebook - Le Nouvel Observateur A peine Facebook s'apprête-t-il à entrer en Bourse, que déjà la relève se prépare. A 25 ans, David Karp a fondé Tumblr, un site valorisé 800 millions de dollars sans en avoir rapporté un seul, et qu'il espère voir ringardiser le roi des réseaux sociaux. Des jeunes prodiges de l'internet devenus patrons, David Karp a déjà adopté le verbe. A première vue, Tumblr n'a rien de révolutionnaire. La relève "Rêver de quelque chose et le donner à des millions de personnes, putain ! Dix ans après l'éclatement de la première bulle des premières start-ups, et sans plan clair pour dégager des profits, David Karp a pu lever en septembre 85 millions de dollars, valorisant le site 800 à millions de dollars. Les investisseurs ont fait beaucoup pour que nous n'ayons pas à nous préoccuper de notre chiffre d'affaires. "Aujourd'hui ce sont Google et Yahoo qui doivent fermer des services, et c'est Twitter, Foursquare [réseau social basé sur la localisation par téléphone] et Tumblr qui marchent à fond", dit-il.
The Guy Kawasaki Guide to Rocking Your Online Marketing If you want to do well with social media, then the first thing that you need is a strategy. Right? Maybe not – at least, according to Guy Kawasaki; venture capitalist, founder of Alltop.com, and the author of a dozen books, including the recent bestseller Enchantment. Guy breaks a lot of the “established” rules of social media, and ignores a lot of the best practices taught by “social media experts”. And you should listen to him. After all, it’s hard to argue with a man who has well over 400K followers on Twitter and almost 60K Facebook likes! The Three Pillars of Enchantment The foundation of social media is elements that are timeless – they worked in Dale Carnegie’s time, and they still work today. 1. 2. 3. Applying the Pillars to Twitter, Facebook, and Google+ Once you have basics down pat, then you can move on to applying social-media tools such as Twitter, Facebook, and Google+. This is ridiculous. Not likely. In fact, it would be pretty scary if you did. Twitter is a Link Economy
Le degré d'engagement des fans en octobre Le classement des 20 Fan pages les plus visitées au mois d’octobre (source Socialbakers) a peu évolué par rapport au mois de septembre (voir tableau 1), avec toutefois de légers mouvements, notamment pour la page Schtroumpf Haribo qui perd trois places en l’absence de prise de parole de la marque depuis des mois. En octobre, la majorité des communautés de fans s’agrandit, avec un taux d’accroissement moyen de 3,45 % vs septembre (voir tableau 2). Cette tendance confirme l’intérêt soutenu des marques vis avis des réseaux sociaux. Parmi les pages qui recrutent le plus ce mois-ci, on retrouve des marques de confiserie (notons Dragibus, M&M's France et Chupa-Chups) mais aussi des marques de service (SFR, La Redoute et Air France). Gain nombre de fans octobre vs septembre Le nombre de likes pour 10 000 fans Ces baisses peuvent être en partie reliées à la baisse du nombre de posts émis par les marques mais pas uniquement. Nombre de likes/nombre de posts Le nombre de commentaires Méthodologie
Marketing et médias sociaux aux États-Unis : les blogs déclinent, Facebook (et LinkedIn) triomphent En 2011, l’étude menée auprès de 500 entreprises ayant la plus forte croissance par l’université du Massachusetts (University of Massachusetts Dartmouth Center for Marketing Research) portant sur l’usage des réseaux sociaux à des fins marketing relève une forte hausse de l’usage de ces réseaux et l’abandon des autres points de visibilité (blogs, podcasts, forums etc.) Points notables, plus des deux tiers des 500 entreprises américaines étudiées utilisent Facebook et LinkedIn et près de la moitié Youtube. Sans grande surprise, MySpace est dans les limbes, tout comme les podcasts. L’étude relève toutefois un paradoxe. Une approche somme toute assez logique. Vous pouvez lire un résumé de l'étude sur le site de l'Université de Dartmouth L'article de emarketer.com
TNS Digital Life Etudes - L’ère du social shopping Publié le 16 juin 2011 Facebook Stores, Facebook Credits, Facebook Deals: le social shopping est le prochain Eldorado des consommateurs et des marques. Coup de projecteur du pôle stratégie de l’agence Dagobert... Les chiffres parlent d’eux-mêmes: 34% des internautes envisagent d’acheter les produits d’une marque directement via les media sociaux. Plus d’un million de sites ont intégré un outil Facebook… On ne peut nier aujourd’hui le pouvoir du social media sur la décision d’achat. Le social shopping permet d’améliorer et faciliter l’expérience shopping, que ce soit en intégrant les avis des internautes, en permettant l’interaction avec ses amis directement sur un site d’e-commerce, ou en proposant de demander un feedback de la communauté ou encore d’acheter à plusieurs. Cliquez sur l'image pour accéder à l'étude Deux stratégies se démarquent pour intégrer une dimension sociale au e-shopping: Les Facebook Credits commencent également à arriver dans notre beau pays. Isabelle Musnik
DeadSocial : restez actif sur les réseaux sociaux... Après votre mort Du glauque, en veux-tu en voilà ! DeadSocial est un nouveau service découvert au cours de la SXSWeek d’Austin qui permet à ses utilisateurs de publier sur Facebook, Google+ ou encore de tweeter lorsqu’ils ne seront plus de ce monde. Pour un grand nombre de personnes, Internet est devenu le moyen de laisser une trace de soi plus ou moins permanente dans ce monde. Alors que le concept existe déjà sous d’autres formes, l’entrepreneur anglais James Norris a décidé de le pousser un peu plus loin, en permettant aux utilisateurs de son service — qui est le fruit de trois mois de travail intensif — de tenir un calendrier de publications sur les réseaux sociaux (Facebook, Google+ et Twitter) qui seront envoyées sur ces derniers après leur décès. Norris affirme que DeadSocial est un moyen d’explorer la notion d’héritage digital, et la manière dont nous pouvons étendre notre vie digitale par l’intermédiaire des nouvelles technologies et du Web social. Alors, que pensez-vous de ce service ?
Les marques ne maîtrisent pas les réseaux sociaux "Gagner et conserver ses clients devient de plus en plus compliqué", déclare Frédérique Bonhomme, directrice de projet au sein de la Digital Factory de TNS Sofres. L’institut d’études dévoile, en exclusivité pour E-marketing.fr, les principaux résultats de l’étude internationale "Digital life" (72 000 consommateurs online interrogés dans 60 pays), qu’elle présentera avec Adobe, le 2 février 2012, à Paris. L’étude révèle que 57 % des habitants des pays développés(1) ne veulent pas s’engager vis-à-vis des marques sur les médias sociaux ; un taux qui est légèrement supérieur en France (59 %). De plus, au plan international, 47 % postent des commentaires en ligne sur les marques, alors qu’ils ne sont que 29 % en France. "Le monde du digital représente des opportunités de croissance importantes pour les marques. "De nombreuses marques ont identifié le fort potentiel d’audience sur les réseaux sociaux. Comprendre le marché français Miser sur les marchés à forte croissance
Vers une remise en cause de l’influence présumée des réseaux sociaux ? Je préfère tourner le titre de l’article comme une question car il serait prématuré de remettre totalement en cause l’influence des internautes entre eux sur ce média. Mais des premières études et premiers signes commencent à remettre en cause les discours de certains rêveurs ou utopiques. J’aurai l’occasion de continuer à évoquer le sujet prochainement en parlant de Youtube et des nouveaux changements préparés par Google sur la plateforme vidéo leader. Une réalité : notre navigation Internet est devenue profondément sociale Les internautes veulent entendre la voix du Directeur ! La question pourrait être différente si finalement l’internaute se détournait de tous ses avis et contenus crées par ses pairs pour se recentrer vers des contenus plus fiables et plus experts. Il n’y a pas d’influence sur les réseaux sociaux… en ce qui concerne l’achat La bataille de Google et Facebook pour l’influence reste pour le moment une victoire de Google. Deux analyses à la lecture de ces chiffres.
Les réseaux sociaux, entre viralité et low cost ? Les réseaux sociaux sont des réceptacles à fantasmes. On ne désigne pas ici des vidéos produites à domicile dans lesquels papa se filme habillé en maman. Constatons plutôt que les mythes et légendes originels du web trouvent avec Facebook et consorts un moyen de se perpétuer. Adieu publicité, bonjour viralité. On osera quand même rappeler qu’un levier marketing est d’autant plus efficace qu’il est employé en fonction de ses avantages propres. Contenu spécifique Bref, un peu de publicité, ça aide au démarrage, quand le besoin de notoriété est le plus criant. Florian Pittion-Rossillon, Directeur associé de Brandcasterz Le contenu, donc. Investissements alléchants Et il est notable que la publicité sur les réseaux sociaux est en plein boom, celui-ci étant le corollaire de la finesse du ciblage des inscrits (800 millions sur Facebook, bonjour la base de données). Auteur : Florian Pittion-Rossillon, Directeur associé de Brandcasterz Lire la suite de notre Dossier réseaux sociaux