EXCLUSIF. L'appel de très riches Français : "Taxez-nous !" - Economie "Nous, présidents ou dirigeants d’entreprises, hommes ou femmes d’affaires, financiers, professionnels ou citoyens fortunés, souhaitons l’instauration d’une "contribution exceptionnelle" qui toucherait les contribuables français les plus favorisés. Cette contribution serait calculée dans des proportions raisonnables, dans le souci d’éviter les effets économiques indésirables tels que la fuite des capitaux ou l’accroissement de l’évasion fiscale. Nous sommes conscients d’avoir pleinement bénéficié d’un modèle français et d’un environnement européen auxquels nous sommes attachés et que nous souhaitons contribuer à préserver. Cette contribution n’est pas une solution en soi : elle doit s’inscrire dans un effort plus global de réforme, tant sur les dépenses que sur les recettes. Retrouvez cet appel dans Le Nouvel Observateur du jeudi 25 août.
Les travailleurs non qualifiés : une classe sociale ? 3 avril 2007 - Un emploi sur cinq est occupé par un travailleur non qualifié en France. Si les salaires, les conditions d’emploi et de travail sont assez homogènes, ce groupe ne forme pas pour autant une classe sociale, selon un article de Thomas Amossé et Olivier Chardon. Extrait de la revue Economie et Statistique (Insee). En mars 2002, un peu moins de cinq millions de personnes exerçaient un emploi non qualifié : 2 760 000 comme employés et 2 035 000 comme ouvriers. Loin de disparaître avec la désindustrialisation, l’emploi non qualifié a connu un regain depuis le milieu des années 1990. L’analyse de données d’enquête confirme l’ouvriérisation d’une partie de ces emplois, jusqu’à présent principalement mise en évidence par l’observation sociologique. Pour les salariés du bas de l’échelle, des formes différentes de construction identitaire opposent certaines sous-populations, les jeunes et les plus âgés, les hommes et les femmes, les immigrés et les non-immigrés.
POUR UN REVENU DE BASE POUR TOUS «Sans revenu, point de citoyen » Thomas Paine 1792 le revenu d’existence: une utopie ? Depuis vingt ans les inégalités se sont développées dans tous les pays. Alors que la productivité du travail n’a cessé de croitre, la part des salaires dans le partage de la richesse produite n’a fait que diminuer. Le travail se précarise ; il y a de moins en moins d’emplois qualifiés pour produire de plus en plus de richesse. Avec ces lignes je voudrais montrer que par une réorganisation des transferts sociaux, par une métamorphose de notre système social, il est possible, à moyens constants, de verser à chacun des citoyens un revenu d’existence ou de base de l’ordre de 600€ mensuels . Ce revenu de vie se substitue à toutes les formes d’aides existantes (RSA, Allocations familiales, bourses d’études, etc...). Il est possible aujourd’hui d’allouer un revenu de base et de le financer. Le financement du revenu d’existence est assuré: Avec le revenu d’existence c’est un nouveau paradigme de l’échange: 1.
Les maths donnent Sarkozy victorieux avec 50,3% des voix INTERVIEW - Deux universitaires français ont mis au point une méthode de calcul qui permettrait de déterminer le vainqueur de la prochaine échéance électorale. Ayant déjà prédit le résultat de plusieurs élections, ils annoncent la victoire du président sortant. Nicolas Sarkozy réélu avec 50,3% des voix. Tel est le résultat du calcul opéré par deux universitaires français. Selon une équation basée sur la popularité, l'évolution du chômage et le comportement des électeurs dans les élections passées, Bruno et Véronique Jérôme prévoient la victoire du président sortant d'une courte tête. LE FIGARO.- Votre méthode de calcul se base en partie sur la cote de popularité. BRUNO JEROME.- Tout d'abord, distinguons bien la cote de popularité de l'intention de vote. Vos calculs prennent-ils en compte la possibilité d'un événement exceptionnel? Tous les aléas sont compris dans la marge d'erreur qui est de plus ou moins deux points. Quid des indécis et de l'abstention?
Taxer les riches ? Quelle riche idée ! Une idée de riche Taxer les riches ? En voilà une idée qu’elle est bonne ! Et nouvelle en plus. Une présentatrice d’I-Télé a parfaitement résumé la situation, jeudi 18 août : « C’est l’un d’eux qui a lancé l’idée, Warren Buffett. » Et le reportage qui suivait de confirmer : « L’idée a germé en Amérique... » En effet, jamais les militants de la gauche sociale et politique n’ont proposé, au cours de ces trente dernières années, d’augmenter les impôts des ménages les plus fortunés. Pour Libération, qui s’en empare enfin à la « une » (alors qu’elle a été à plusieurs reprises évoquée en d’autres temps, mais en pages intérieures), c’est d’ailleurs une « riche idée » : Et Le Monde l’a trouvée tellement novatrice qu’il lui a consacré un éditorial. « Il est normal que nous, qui avons eu la chance de pouvoir réussir, de gagner de l’argent, jouions pleinement notre rôle de citoyens en participant à l’effort national. Que l’on ne se méprenne pas : M. Et certains se sont montrés perplexes.
Cornelius Castoriadis Cornelius Castoriadis en 1990. Cornelius Castoriadis [kɔʁneljys kastɔʁjadis][1] (en grec moderne : Κορνήλιος Καστοριάδης [korˈneːlius kastoriˈaðis][2]), né le 11 mars 1922 à Constantinople et mort le 26 décembre 1997 à Paris 7e[3], est un philosophe, économiste et psychanalyste grec, fondateur avec Claude Lefort du groupe Socialisme ou barbarie. Il consacra une grande partie de sa réflexion à la notion d'autonomie, comme disposition à faire être du nouveau, projet de société visant l'autonomie individuelle et collective, soit une démocratie « radicale », qu'il opposait à l'hétéronomie, constitutive selon lui des sociétés religieuses et traditionnelles, ainsi que des régimes matérialistes productivistes industriels, capitalistes et communistes. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et formation[modifier | modifier le code] En 1948[4], il devient économiste à l'OCDE, poste qu'il occupe jusqu'en 1970[14]. Socialisme ou barbarie (1949-1967)[modifier | modifier le code]
Cinéma : pourquoi les auteurs sont des marques et les scénaristes miséreux | Nemasco François Truffaut aurait eu 80 ans cette année. Et si le réalisateur de « Jules et Jim » ne tourne plus depuis longtemps, la politique des auteurs qu’il a inventée continue de dominer le discours cinéphilique français. Après plus de 50 ans de règne, l’heure de l’inventaire a sonné. Nature morte (Tanxxx/Gerber/Mathieu) Nous en parlions récemment, la politique des auteurs était une religion bien commode, avec ses rites, ses chapelles, son panthéon, sa légende dorée. Pourtant, la politique des auteurs a du plomb dans l’aile. 1. Le 28 août 2011, Ciné+ Emotion diffusait « Eyes Wide Shut ». « Comme tous les films de Kubrick, le dernier gagne à être revu et s’il n’est pas de l’un de ses meilleurs, c’est un Kubrick. » Voilà le genre de facilités qu’autorise la politique des auteurs. Le problème est que cette grille de lecture, souvent pertinente, est devenue une véritable manie. Des films sans auteur (Gerber/Mathieu) Polis, ses invités n’avaient pas relevé. 2. Woody Laine (Véronique Gerber) 3. 4.
"Les milliardaires ne peuvent plus afficher leur fortune face à cette précarité galopante" Dans la lignée de Warren Buffett aux Etats-Unis, le mécène Pierre Bergé et le patron de Publicis, Maurice Lévy, ont lancé un appel en faveur d'une hausse d'impôts pour les plus grandes fortunes. Antoine Vaccaro, président du Centre d'étude et de recherche sur la philanthropie (Cerphi), décrypte dans une interview accordée à Youphil les réelles motivations de ces philanthropes-milliardaires. Youphil: L'appel de Pierre Bergé et de Maurice Lévy en faveur d'une surtaxe des plus hauts revenus contribuera-t-il à résorber la crise? Antoine Vaccaro: Il s'agit avant tout d'un effet d'annonce. Cette hausse des impôts pour les 30.000 à 40.000 foyers les plus riches permettra de récolter entre 1 et 2 milliards d'euros. Or, la dette publique atteint plusieurs centaines de milliards d'euros. Cette participation est donc anecdotique. Youphil: Vous êtes spécialistes de la philanthropie sociale. A.V: Le phénomène des grands donateurs a débuté depuis une dizaine d'années. Photo: dps/FlickR.
Communisme libertaire De Anarchopedia. La tendance anarchiste communiste ou "communiste libertaire" associe deux termes dont l'un, anarchisme, définit le mouvement libertaire qui veut la liberté politique pour les individus, mandatement impératif, fédéralisme, rejet de l'État, lutte contre toutes les formes d'oppression et l'autre, communisme, qui de l'adage « à chacun selon ses besoins, de chacun selon ses capacités » veut la liberté économique en partant des besoins des individu-e-s. Les besoins sont recensés par communes, par quartiers, par entreprises. À partir de ce recensement, la production doit ensuite être organisée et cela sans limitation autre que les capacités et les besoins des intéressé-e-s. L'idéal de l'anarcho-communisme est une société composée de fédérations libres de collectifs libres et égalitaires. L’anarcho-communisme, encore appelé communisme libertaire, dont Bakounine et Kropotkine sont les principaux représentants, cherche à établir une société socialiste égalitaire.
Steve Jobs: le FBI publie 191 pages d'enquête sur le co-fondateur d'Apple Le FBI a publié jeudi 9 février 191 pages de son enquête sur Steve Jobs le co-fondateur d'Apple décédé le 5 octobre dernier. Ces données ont été collectées par le FBI en 1991 lorsque Jobs était pressenti pour le gouvernement de George Bush père et révèlent de nombreux détails sur la vie personnelle et professionnelle du feu PDG d'Apple . L'enquête du FBI confirme en grande partie des détails sur la vie de Steve Jobs déjà révélés dans sa biographie. Elle certifie notamment que Jobs consommait de la drogue ou que ses méthodes de management créaient quelques frictions entre lui et certains collègues. En effet, le co-fondateur d'Apple a bien été envisagé par le président Bush père pour être conseiller à l'exportation à la Maison Blanche. C'est pour cette raison que 29 proches de Jobs (au moins) ont été interrogés par la police fédérale. L'enquête du FBI s'intéresse tout particulièrement aux rapports de Steve Jobs avec la drogue. » Lire le rapport complet du FBI