background preloader

"Free !" : pourquoi l'économie de demain sera gratuite

"Free !" : pourquoi l'économie de demain sera gratuite
Eco89 publie un extrait du nouveau livre de Chris Anderson, mode d’emploi du commerce à l’ère du tout numérique. Faux billet de zéro dollar à l’effigie de George Bush (DR) Le meilleur moyen de gagner de l’argent ? Tout proposer gratuitement ! Chris Anderson n’en est pas à son coup d’essai. Avec Free ! Une gratuité complète (grâce à la pub notamment), ou partielle voire factice (en faisant payer des services complémentaires, par exemple). Dans cet extrait, Anderson présente les « règles du gratuit » et « les dix principes du raisonnement d’abondance ». Si c’est numérique, tôt ou tard cela sera gratuit. Sur un marché concurrentiel, les prix chutent jusqu’au coût marginal. Les atomes aimeraient bien être gratuits aussi, mais ils n’y mettent pas autant du leur. Hors du domaine numérique, les coûts marginaux tombent rarement à zéro. Vous n’arrêterez pas le gratuit. Vous pouvez gagner de l’argent avec le gratuit. On paie pour gagner du temps. Redéfinissez votre marché. Arrondissez vers le bas.

Bernard Stiegler « Siné déblogue La Zone de Siné Retrouvez sa dernière Zone » Stéphane Mazurier raconte… L'histoire (glaçante) de l'extrême droite française Le parti de Marine Le Pen pourrait devenir le premier parti de France aux élections européennes. Lire l’article » Vidéos Le FN n’est pas d’extrême droite Voir la vidéo » Filoche sème son blog L’entreprise C’est du dancingLire l’article » Livre Les Chats de Siné réédité Disponible en librairie » Honest logos by @Viktor | Designerscouch #thecritiquenetwork Vers une économie de la contribution La solution du capitalisme à bout de souffle pourrait bien être à chercher du côté des logiciels libres. Bernard Stiegler, philosophe, appelle à passer "du consumérisme toxique à une économie de la contribution". Ce n’est plus un secret pour personne : le capitalisme est en train d’être dévoré par ses propres effets toxiques. En 2005, parmi d’autres voix peu écoutées alors, une association française, Ars Industrialis, lancée par quatre philosophes et une juriste, avait sonné le tocsin. A l’époque, leur manifeste décrivait les dangers d’un capitalisme “autodestructeur” et la soumission totale aux “impératifs de l’économie de marché et des retours sur investissements les plus rapides possibles des entreprises” et notamment celles actives dans les médias, la culture ou les télécommunications. Malaise du consumérisme L’homme habite un petit moulin industriel reconverti en maison à Epineuil-le-Fleuriel, au beau milieu de la France paysanne. Où se situe la solution ? Poison et remède Telecomix

Fernando Nogueira (MC Saatchi Mobile) : "Le business model des applications mobiles est condamné" L'un des fondateurs de l'agence MC Saatchi Gad, Gilles Masson, et Fernando Nogueira, directeur général de MC Saatchi Mobile expliquent pourquoi ils ont décidé de se lancer dans l'aventure du marketing mobile et quel avenir ils lui prévoient. Pourquoi avez-vous décidé d'ouvrir une agence de marketing mobile en France ? Gilles Masson. Ce n'est un secret pour personne, si le marché du marketing mobile est pour le moment microscopique en termes de chiffre d'affaires, il sera bientôt très porteur. On compte en France 19 millions de mobinautes pour presque 50 millions de détenteurs d'un téléphone. Ils seront 50% à l'issue de 2012, 50% d'utilisateurs pour qui le mobile sera le premier point d'accès aux marques, aussi bien online... qu'instore là où le smartphone jouera le rôle d'aide à la décision d'achat ou de fidélisation. Quels sont vos objectifs dans le marketing mobile, un milieu très concurrentiel ? Gilles Masson. "Privilégier l'expérience utilisateur à la techno" Fernando Nogueira.

L'avenir libre de Bernard Stiegler ou gratuit de Jacques Attali Un titre un peu caricatural pour un billet qui met simplement en parallèle deux récentes et intéressantes interviews vidéos, la première de Jacques Attali, la seconde de Bernard Stiegler. Choisis ton camp camarade ? Pas vraiment, parce que les deux intellectuels n’abordent pas exactement le même sujet, bien qu’il soit à chaque fois question de l’avenir de nos sociétés (on remarquera qu’ils citent tous deux Wikipédia mais pas avec le même dessein). Jacques Attali La gratuité - Dans le cade de l’émission Conversation d’avenirs sur Public Sénat22 décembre 2009 - URL d’origine de la vidéo Bernard Stiegler

Suzi Oravec Groupe de travail sur l'économie de la contribution ARCHIVES DE l'ATELIER - Enregistrements audio des séances de l'atelier - Intervention de Bernard Stiegler lors de la séance du 6 Novembre 2010 (video) - Intervention de Bastien Sibille : Entreprises à sources ouvertes - monnaie et dette, séance du 17 décembre 2011 : paix monetaire et financiere au sein de la zone euro - Innonation comme pharmacologie positive au delà de la logique économiste : séance du 4 février 2012 - Propositions pour le financement d'une croissance durable et soutenable : séance du 20 mars 2012 - Energie contributive : séance du 19 mai 2012 - Efficacité énergétique : séance du 28 janvier 2013 Ce groupe de travail « Economie de la contribution », est une thématique au centre de nos préoccupations ; celle-ci a fait l’objet de plusieurs débats au théâtre de la Colline et a été largement abordée dans nos publications, dans nos interventions publiques et dans notre Manifeste 2010.- cf. www.arsindustrialis.org/manifeste-2010 [1] cf. [2] cf. [4] cf. [8] cf. [9] cf. [10] cf.

tat de l'art sur la monétisation des apps Les plateformes de téléchargement d’applications mobiles que nous connaissons aujourd’hui, comme l’App Store ou Google Play, permettent à un éditeur de vendre ses applications. Si cela demeure la façon la plus évidente de monétiser une application, ce n’est en revanche pas la seule. Dans cet article, nous aborderons les différents moyens de monétisation des applications mis à disposition des développeurs Application payante C’est le moyen de monétisation classique et éprouvé, bien connu des utilisateurs. Des applications à moins d’un euro ont parfois un succès fulgurant. Modèle direct : revenus assurés à chaque achat 70% pour le développeur / 30% pour la plateforme Le prix peut être très différent d’un OS à un autre (répercussion du portage) Certains utilisateurs peuvent être réticents à acheter des applications, surtout sur Android Le fait qu’une application soit payante peut donc être un facteur limitant pour son succès Version d’essai Publicité Sponsoring Freemium

Bernard Stiegler : “Il y a beaucoup d’inventions qui ne produisent aucune innovation” - Nouvelles technos Constatant l'échec du consumérisme, le philosophe Bernard Stiegler soutient que seule l'intelligence collective permettra une économie innovante. Entretien, dans le cadre d’un “spécial innovation” que nous déclinerons jusqu’à ce week-end. C'est la bonne nouvelle de ces temps de crise, l'innovation innove ! Quelque chose semble mourir : le système capitaliste consumériste qui, à force d'avoir détourné le désir et la création en pulsions d'achat, a fabriqué des sociétés démotivées, autodestructrices. Mais quelque chose d'autre est en train de naître : une innovation non plus conçue par le haut, par des ingénieurs et du marketing, mais émergeant de réseaux, d'échanges de savoirs, d'amateurs passionnés. L'innovation a une histoire, liée à celle de l'entreprise, de l'industrie, des technologies de pointe. Qu'est-ce qui distingue invention et innovation ? Quels sont les risques de l'innovation ? En quoi le fordisme a-t-il résolu les problèmes du capitalisme ? Sombre tableau !

Related: