Pharmacie, épicerie, Franprix : pourquoi nous filent-ils encore des sacs plastique ?
« Non, je n’ai pas besoin de sac, merci. » Vous avez arrêté de compter le nombre de fois où vous prononcez cette phrase. Vous prenez votre mal en patience, pensant secrètement « vivement que ces sacs jetables soient interdits ». En 2010, la France s’est engagée à les taxer, afin d’aboutir à l’« éradication » (sic) du milliard de sacs plastique jetables distribués en France. « La loi est bien entrée en vigueur, mais les décrets d’application n’ont toujours pas été publiés, explique Delphine Lévi Alvarès, chargée de campagne du Cniid (Centre national d’information indépendante sur les déchets). Les enseignes qui « offrent » encore des sacs plastique à leurs clients pourront donc se contenter de changer de fournisseurs mais pas de pratiques. Un remède pire que le mal Un remède pire que le mal s’est même emparé d’une part du marché. 10% des sacs distribués aujourd’hui sont dits « oxodégradables ».
Bientôt une appellation d'origine contrôlée pour le bois
Depuis 1994, France Alzheimer se mobilise chaque année lors de la Journée mondiale Alzheimer (21 septembre) pour sensibiliser et informer le grand public sur une pathologie qui touche aujourd'hui plus de 850 000 personnes en France, avec 20.000 nouveaux cas diagnostiqués chaque mois. En quelques mots, la maladie d'Alzheimer est une affection du cerveau dite « neuro-dégénérative », c'est-à-dire qu'elle entraîne une disparition progressive des neurones. On associe souvent la maladie d'Alzheimer à la perte de mémoire mais malheureusement elle entraîne également la disparition progressive des capacités d'orientation dans le temps et dans l'espace, de reconnaissance des objets et des personnes, d'utilisation du langage, de raisonnement, de réflexion. Par ailleurs, bien qu'elle apparaisse plus souvent chez les personnes âgées, la maladie d'Alzheimer n'est pas une conséquence normale du vieillissement. (Infos complémentaires sur www.francealzheimer.org) Spot France Alzheimer
L'AFB lance une deuxième campagne de retrait des pneus immergés au large d'Antibes
L'Agence française pour la biodiversité a lancé, le 3 avril, une deuxième campagne d'enlèvement des pneus dans le site Natura 2000 "Baie et Cap d'Antibes - Iles de Lérins". L'objectif est d'enlever 25.000 pneus immergés depuis plus de 30 ans sur le site. Initialement, ils devaient être des récifs artificiels pour développer la production halieutique et soutenir la pêche traditionnelle locale. Mais "[ils] n'ont pas donné les résultats espérés", explique l'AFB. Aujourd'hui, le retrait des pneus vise quatre objectifs : interrompre l'altération de l'écosystème et des habitats, consolider l'équilibre de l'écosystème, rétablir l'écosystème dans ses fonctions et son état naturel, et libérer les fonds marins des pneus disséminés au gré de la houle et des courants. Une première campagne, menée l'automne dernier, a déjà permis de retirer 9.393 pneus (soit 81 tonnes de déchets pneumatiques) sur les 22.500 répertoriés par 25 à 40 mètres de fond.
L'éducation au développement durable
L'École s'engage dans la dynamique des Objectifs de développement durable - Agenda 2030 Depuis la publication des 17 objectifs de développement durable (ODD), dont "Une éducation de qualité pour tous », par les Nations Unies en 2015, ces derniers font l'objet d'appropriations nationales sous la forme des "Agendas 2030". Les ODD font l'objet d'une dynamique d'appropriation forte et rapide par les collectivités territoriales, le monde de l'entreprise et les associations. Les ODD confèrent une nouvelle dimension à l'éducation au développement durable, et un sens planétaire à la mission propre à l'Éducation nationale. Découvrir les 17 objectifs de développement durable Le développement durable est adopté par le ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche dans son acception classique comme étant une démarche de rétablissement d'équilibres dynamiques entre l'environnement, le monde social, l'économie et la culture. Une mise en œuvre progressive
Pharrell is making jeans out of recycled ocean plastic
Here’s some news to make you happy: Pharrell Williams not only makes catchy, sunny jams, but he’s trying to do something good with all the plastic junk in the Pacific. The musician and fashion designer announced at New York Fashion Week that he’s partnering with designer denim label G-Star RAW to create jeans out of ocean waste. And it’s not just gloriously tacky back-pocket bedazzling; the plastic is incorporated into the jeans as part of the core of each denim strand. It’s covered in an outer layer of cotton to create “bionic yarn.” (But can it lift cars with a single hand?) Check out Williams’ promo video, which is light on the details but heavy on cute octopuses: The collection, G-Star RAW for the Oceans, will be available in mid-August.
Sport et développement durable - Contribuer à la stratégie nationale du développement durable du sport
Déchets des navires : le Parlement européen valide la nouvelle directive - Actu Environnement - 14 mars 2019
Le Parlement européen a formellement adopté, le 13 mars en plénière, le projet de directive sur les installations de réception portuaires pour le dépôt des déchets des navires. Ce texte a été présenté en janvier 2018 par la Commission européenne et s'inscrit dans le cadre de la stratégie européenne sur les matières plastique. Les eurodéputés ont entériné l'accord trouvé le 12 décembre 2018 entre le Parlement, le Conseil des ministres de l'UE et la Commission européenne. Cette directive vise à ramener à terre les déchets produits sur les bateaux et récupérés dans les filets pour être traités et recyclés dans les ports. Les navires devront notamment verser une redevance indirecte qui leur donnera le droit de déposer leurs déchets dans un port. L'eurodéputée écologiste Karima Delli a salué l'adoption de la nouvelle directive. Le Conseil doit à son tour approuver formellement le texte.
Thèse : l’empreinte écologique : Proposition d'un modèle synthétique de représentation des empreintes à l'échelle « Micro » d’une organisation...
J’ai le plaisir de vous convier à ma soutenance de thèse qui aura lieu le Jeudi 03 juillet 2008 à 14h30 à l’Ecole Supérieure des Mines de Saint-Étienne, dans l'amphithéâtre A022 à l'Espace Fauriel. La thèse porte sur « l’empreinte écologique : Proposition d'un modèle synthétique de représentation des empreintes à l'échelle « Micro » d’une organisation ou d’un projet » Résumé: L’analyse de l’empreinte écologique permet d’évaluer la consommation des ressources naturelles régénératives et les besoins d’absorption des déchets d’une population humaine ou d’une économie donnée, en termes de surface correspondante de sol productif. Le calcul de l’empreinte écologique est basé sur la traduction des consommations en surfaces (hectares globaux) de terre et d’eau biologiquement productives utilisées pour produire les ressources consommées et pour assimiler les déchets générés avec les technologies actuelles. - La méthode « basée sur les calculs nationaux ». Membres du jury: Membre invité du jury :
Look who’s eating your plastic now: A whole unprecedented ecosystem
We already knew that barnacles, lanternfish, and whales have been gobbling up plastic. It turns out that the problem is even bigger than we thought — because it is much, much smaller. Welcome to the “plastisphere,” the tiny plastic-based ecosystem developing within the world’s oceans. The alien-sounding title is fitting, as scientists have found more than 1,000 species of microbes living there, some of which still have not been identified. The study, done by a team in Woods Hole, Mass., took a high-resolution look at plastic particles between 1 and 5 millimeters in size (I believe the unscientific term is “itty bitty specks”). How big a deal is it to discover a new ecosystem developing in the middle of an old one? One very interesting but very hypothetical possibility proposed by the Woods Hole team is that some of these microbes may actually be cleaning up the plastic for us, since they were found hunkered down in ‘pits’ on the surface of the plastic particles.
Ah là il y a des idées d'utilisation. ;) by alwen Jan 12