Le paradoxe de Simpson Non, le paradoxe de Simpson ne tire pas son nom de Homer, mais de Edward Simpson, le statisticien qui l’a décrit pour la première fois en 1951. Il s’agit d’un de ces paradoxes mathématiques qui peut nous faire des noeuds à la tête, mais qui malheureusement est bien plus qu’une simple curiosité : bien comprendre ce paradoxe peut s’avérer essentiel pour prendre les bonnes décisions ! Alors si vous ne connaissez pas ce phénomène statistique très contre-intuitif, lisez la suite, et les bras devraient vous en tomber ! Calculs rénaux : quel traitement choisir ? Pas de chance, on vient de vous découvrir des calculs au rein. Heureusement des traitements existent, et à l’hopital le médecin vous en présente deux. "Oh c’est très simple, vous répond le médecin, les deux traitements ont été testés chacun 350 patients, et voici les chiffres : le traitement A a fonctionné dans 273 cas et le traitement B dans 289". Fumer, c’est bon pour la santé Examinons les chiffres de plus près. Une analyse du paradoxe
Le grand Ensemble Optimiser sa vitesse de lecture Dans les Neurones de la lecture, le neuroscientifique Stanislas Dehaene expliquait que ceux qui lisent 400 à 500 mots par minutes sont non seulement de très bons lecteurs, mais sont proche de l'optimalité, car avec "le capteur rétinien dont nous disposons, il n'est sans doute pas possible de faire beaucoup mieux". Pourquoi ? Parce que ce sont nos saccades oculaires qui limitent notre vitesse de lecture. Eh bien nous y sommes. La startup Spritz propose une technologie de lecture séquentielle rapide qui n'a besoin que d'un minuscule écran (celui d'une montre connectée par exemple ou d'un téléphone mobile) pour accélérer radicalement votre vitesse de lecture. Le système Spritz présentant des mots à une vitesse de 250 et 500 mots par minute. Spritz n'est pas le seul système existant pour améliorer votre vitesse de lecture. Reste à changer ses habitudes... à s'habituer à ce nouveau mode de lecture. Share and Enjoy Signaler ce contenu comme inapproprié
Le braquet de la liberté Wilhelm Reich, savant exclus (3/3) Troisième partie Les années qui suivirent, les patients de Reich rapportaient que l'accumulateur d'orgone était une aide pour le traitement de nombreux types de troubles, comme l'arthrite et surtout le cancer. Il n'a jamais prétendu que c'était un traitement contre le cancer, mais il acquit quelque part la réputation de s'en être vanté. Il déménagea de New York pour rejoindre une petite communauté rurale, à Rangeley dans le Maine et il mit en place un institut qu'il appela Orgonon. Reich parla aussi de la découverte d'une force motrice – il prétendait qu'une énergie suffisante se rassemblait dans l'accumulateur d'orgone pour faire fonctionner un moteur électrique de la taille d'une orange. La saga à l'institut Orgonon prit un tour effrayant quand en 1951 Reich tenta de mettre une petite quantité de matériau radioactif – du radium – dans un accumulateur à orgone. Un employé faillit mourir en passant sa tête dans l'accumulateur. D'inquiétants nuages noirs stationnaient au-dessus.
Au CES de Las Vegas, la robe du futur Pour quelques milliers de dollars, les adeptes de mode et de technologie peuvent désormais s'offrir des vêtements qui changent de couleur à la demande grâce à un textile contenant de la fibre optique. Cette innovation, que l'on doit à la créatrice londonienne Amy Rainbow Winters, a été dévoilée dans le cadre du salon high-tech International CES de Las Vegas. Une robe qui émet de la lumière bleue peut prendre une autre teinte du bout du doigt, en touchant des capteurs intégrés à la manche. « Si vous avez envie de violet, la robe sera violette. Si vous préférez du rouge, vous avez du rouge. Cette dernière collabore avec des spécialistes en technologie pour obtenir les matériaux nécessaires pour les vêtements qu'elle conçoit. Ses créations sont personnalisées et ont déjà été utilisées dans des clips vidéo ou des publicités.
À propos de nous - Soon Soon Soon Chaque semaine, Soon Soon Soon vous révèle une vision inédite du monde de demain avec quatre innovations décalées pour tester le futur dès maintenant. C'est quoi Soon Soon Soon ? Soon Soon Soon, c’est à la fois un magazine, une communauté, et un laboratoire qui étudie l’évolution des modes de vie pour imaginer ce à quoi ressemblera notre quotidien dans un futur proche et lointain. Notre mission : analyser les tendances et innovations existantes pour contribuer à inventer celles de demain. Cape d'invisibilité, shopping en 3D, conversations avec un mur interactif : partez à la découverte des idées et des créations les plus innovantes du moment. La philosophie Soon Soon Soon On n'analyse pas une tendance dans le même temps qu'on la détecte. C'est donc goutte à goutte que les tendances se forment sous nos yeux, au fur et à mesure des signaux et des innovations qui nous parviennent. Inscrivez vous et recevez chaque semaine les meilleures innovations du moment! Alexis Le rédac chef Ganaël Benjamin
Idefi CréaTIC : des ateliers-laboratoires pour une pédagogie axée sur le numérique Actu | Formations, Innovation Pauline Capmas-Delarue | Publié le , mis à jour le L'université Paris 8 - ©M. Oui Depuis octobre 2013, les étudiants issus de 18 masters des universités de Paris 8, Paris Ouest, Paris Nord, du Conservatoire national supérieur d’art dramatique et des archives nationales ont inauguré une nouvelle forme d’apprentissage grâce au projet CréaTIC : une pédagogie par projet, par et avec le numérique, qui vise à apprendre aux étudiants à intégrer les TIC (Technologies de l'information et de la communication) dans leurs futurs métiers. 14 ateliers-laboratoires ont été ouverts à la rentrée. Un lieu de transdisciplinarité et d’échange avec des professionnels En effet, les étudiants sont d’office inscrits dans l’atelier-laboratoire rattaché à leur master, mais peuvent opter pour un autre, moyennant un mail de motivation, et sous condition du calendrier des cours. Objectif : 2.000 étudiants et l'autonomie financière en 2019
L'apocalypse après l'énergie de l'amour ! » L'orgeuil spirituel INNOCENCE – Un portrait géant d’enfant pour arrêter les attaques de drones Un champ au Pakistan vu depuis un drone (AFP) Vus depuis un drone, les êtres humains prennent la taille d'insectes insignifiants. Mais l'action de celui qui appuie sur la détente est, elle, tout sauf insignifiante. Pour que le tireur n'oublie pas cette réalité, un collectif d'artistes a déployé le portrait géant d'un enfant en plein milieu d'un champ situé dans la région pakistanaise Khyber Pukhtoonkhwa, régulièrement soumises aux attaques de drones. Selon ses organisateurs, regroupés sous le hashtag Notabugsplat — nom tiré de l'expression bug splat, qui fait référence au bruit d'un insecte écrasé et qui serait utilisée par les pilotes de drones —, cette opération, réalisé avec l'aide du Français JR, a pour objectif de sensibiliser les opérateurs de drones au coût humain et aux dommages collatéraux que peuvent causer leurs attaques de cibles au sol. Les attaques de drones ont régulièrement été utilisées par la CIA pour combattre la présence des talibans au Pakistan.
#Innovation #Design #Créativité #Management... et autres sources inépuisables d'étonnement