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Londres : un supermarché zéro gâchis

Londres : un supermarché zéro gâchis
Valeurs sociales et écologiques. C’est le crédo développé par The People's Supermarket, un supermarché coopératif installé à Londres, en Grande-Bretagne. Il commercialise des produits locaux, artisanaux et bio (achetés en général à de petits producteurs), pour ses clients membres ainsi que le grand public. Première particularité : pour devenir membre, il suffit de payer une adhésion de 25 livres par an (environ 31 euros). Deuxième particularité : une gestion des déchets là encore hors norme. Une chaîne alimentaire bien huilée ! Related:  Solutions

Zéros-Gachis Qu'est ce que Zéro-Gâchis ? C'est une start-up lancée à Brest en mars 2012 et vouée à un avenir prometteur. Leur concept ? Permettre aux consommateurs, via un site web et mobile, de repérer dans les supermarchés les réductions sur des produits proches de leur date limite de consommation (viande, poisson, laitages, viennoiserie...), des fruits et légumes un peu abîmés ou des boîtes de conserve cabossées... En bref, des produits consommables qui auraient fini dans la poubelle. Ce projet a deux objectifs : lutter contre le gaspillage alimentaire et permettre des économies aux consommateurs. Comment est née l'idée de Zéro-Gâchis ? « Quand on est étudiant et qu'on fait des courses, on cherche les prix avantageux et les promos », explique Paul-Adrien Ménez, l'un des quatre jeunes piliers fondateurs de l'entreprise avec son frère Christophe. L'idée est donc partie de là, donner plus de visibilité à ces produits. Comment ça marche ? Quels avantages ? Toutes les parties sont gagnantes.

Carrefour veut transformer ses déchets en carburant L'enseigne mène une expérimentation dans le Nord-Pas-de-Calais pour transformer ses déchets organiques (aliments périmés, fruits et légumes abimés…) en biométhane, carburant bien moins polluant que le diesel. Les déchets de Carrefour sont d’abord transportés au centre de valorisation des ordures de la commune de Sequedin, puis transformés en agrocarburant , dans une usine de méthanisation de la région lilloise. Concrètement, un magasin générant environ 200 tonnes de déchets organiques par an pourrait produire 10.000 kg de biométhane. De quoi remplir les besoins en carburant de trois camions de livraison approvisionnant quinze magasins dans le Nord-Pas-de-Calais, pendant un an (soit 40.000 km). Reste à savoir si cette initiative sera duplicable dans les miliers de magasins Carrefour répartis dans 33 pays. De plus, la conversion des déchets en carburant ne peut se faire qu’à une seule condition: être proche d’une unité de méthanisation . > Lire l’article sur La Croix

ALIMENTATION : comment faire face au gaspillage En période de crise, ne pas gaspiller de la nourriture est un aussi un moyen d’économiser. Voici quelques conseils judicieux qui vous aideront à ne plus jeter vos aliments. Tout d’abord, n’achetez que de petites quantités à la fois, surtout pour les fruits et légumes qui ont la fâcheuse tendance de s’abîmer même s’ils sont placés dans le bac du réfrigérateur. Pour ce qui est des yaourts, ne vous préoccupez pas trop de la date limite de consommation (DLC) ce n’est qu’une indication. Pour les plats que vous mijotez, n’hésitez pas à en faire des barquettes s’il en reste et de les placer dans le congélateur. Avec les restes, réutilisez-les d’une autre façon, par exemple un reste de pot-au-feu pourra servir en ce qui concerne la viande, à confectionner un hachis parmentier. S’il vous reste des légumes, faites en des soupes, et même les restes de salade peuvent aussi agrémenter les potages, c’est excellent. Alors ne jetez plus que si vraiment vous ne pouvez pas faire autrement.

Partage Ton Frigo, la solution contre le g&acir Glanage, cueillette et partage des aliments : mode d’emploi pour éviter le gaspillage Cet article a initialement été publié dans la revue Village. « Chaque année, quand la récolte des pommes de terre est terminée, je vois arriver les glaneurs. Il y a toujours des tubercules qui passent au travers des machines. Plutôt que de les laisser pourrir sur place, je laisse les gens les ramasser à la main. Que dit la loi ? On distingue le glanage, qui consiste à ramasser ce qui reste au sol après la récolte, du grappillage, qui consiste à cueillir ce qui reste sur les arbres ou dans les vignes. Un réseau pour cueillir Aujourd’hui, c’est surtout chez les gros producteurs d’oignons ou de pommes de terre qu’on observe encore des scènes de glanage. Réseau, le mot est lâché. Cinq tonnes de fruits ! Beaucoup de fruitiers sont devenus des arbres d’agrément et ont perdu leur fonction nourricière. Pour ce faire, le collectif a investi dans un local aux normes, une chambre froide, un pressoir, etc. Dessiner sa carte de glanage La nature est un autre lieu de glanage. Servez-vous !

Bienvenue sur www.green-cook.org ! - www.green-cook.org Lutte contre le gaspillage alimentaire : Think.Eat.Save GASPILLAGE ALIMENTAIRE - Guillaume GAROT, Ministre délégué à l’agroalimentaire, salue le lancement, le 22 janvier 2013, par l’Organisation des Nations Unies, d’une campagne mondiale contre le gaspillage alimentaire à laquelle la France est associée. Think.Eat.Save vise ainsi à accélérer la lutte contre le gaspillage alimentaire, en valorisant, via un portail, les initiatives en cours à travers le monde. Consommateurs, industrie agro-alimentaire et gouvernements invités à réduire pertes et gaspillage qui totalisent 1,3 milliard de tonnes par an. Pour le Programme des Nations Unies pour l’Environnement et l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), il s’agit de changer les comportements face au gaspillage alimentaire. Cette campagne fait écho et prolonge la démarche engagée en France sous l’égide du Ministère de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt et qui aboutira en juin à la signature d’un Pacte national contre le gaspillage. Think.Eat.Save

Fruits et légumes : les enseignes organisent la revanche des « moches », Conso & Distribution Intermarché, Monoprix et Auchan expérimentent la vente de produits déformés.Cette production de fruits et légumes, autrefois mise au rebut, est vendue 30 % moins cher. Monoprix et Auchan les appellent « gueules cassées » et les commercialisent dans le cadre d’une opération baptisée « Quoi ma gueule ? ». Intermarché les affuble plus prosaïquement du qualificatif de « fruits et légumes moches ». De quoi s’agit-il ? De la vente de fruits et légumes non standardisés qui ne respectent pas les calibres et les critères de présentation traditionnellement exigés des producteurs. Précisément, Monoprix les propose, depuis le 26 mai, dans 17 magasins (14 points de vente d’Ile-de-France, le Monoprix Rond-Point à Marseille, ceux de la Croix-Rousse à Lyon, et du Croisé Laroche à Marcq-en-Barœul). Pionnier en la matière, Intermarché a déjà dépassé cette phase de test avec une expérience menée en mars à Provins. Un intérêt marketing certain

Food trucks et lutte contre le gaspillage alimentaire | Alain Wagener Green Dans cet article, vous allez découvrir que certains ont décidé de mixer deux tendances très actuelles et pas liées au départ. Les food trucks d’un côté, la lutte contre le gaspillage alimentaire de l’autre. Je vous propose la présentation de trois initiatives de restauration ambulante dont la matière première, ce sont les déchets et rebuts de nourriture Le premier food truck travaillant avec des produits jugés invendables par le monde de la distribution classique, c’est celui lancé par sept étudiants en BTS Hôtellerie – Restauration de l’école de gastronomie Ferrandi. Leur propos : garder les valeurs enseignées par l’école en matière de restauration tout en luttant contre le gaspillage alimentaire. On le rencontre à des événements liés à la gastronomie et/ou à des actions de sensibilisation à la lutte contre le gaspillage. Dernière chose à savoir pour ce premier food truck « anti-gaspillage », il s’appelle « Auparager », un mot en vieux français signifiant « anoblir ». Alain Wagener

Optimiam : stop au gaspillage - START ME UP Optimiam est une startup parisienne qui a décidé de se battre contre le gaspillage alimentaire. Via son application géolocalisée, elle propose à ses utilisateurs de bénéficier de réductions sur des produits qui, sans cela, finiraient directement à la poubelle. A l’initiative de ce projet, Raodath Aminou. Alors qu’elle faisait ses courses, elle fût accostée par un vendeur qui lui proposa des makis à moitié prix : son magasin allait fermer et c’était la seule solution pour lui de ne jeter les produits frais qui lui restaient. Etudiante en Master Innovation à l’école Polytechnique, Raodath Aminou suit le parcours Entreprenariat en 2014. Après cette rencontre, l’équipe d’Optimiam s’est peu à peu étoffée : au fur et à mesure un associé technique, un développeur et des designers ont rejoint le projet. L’équipe de huit personnes Optimiam est installée dans un espace de co-working au GII dans le 15ème à Paris. L’objectif à long terme d’Optimiam ? (Photo Une via Emi Popova)

Une plateforme en ligne pour vendre ses fruits et légumes Manger mieux, local et à moindre coût tout en réduisant le gaspillage alimentaire, c'est le souhait des Marseillais Benjamin Guibert et Inès Bazillier, tous deux cofondateurs de "Fruit and Food". Leur site Internet offre la possibilité à des jardiniers amateurs et particuliers vivant dans le même secteur de pouvoir échanger des produits. Ils peuvent acquérir des invendus et des surplus de fruits et légumes à des tarifs libres mais raisonnables. Un concept anti-gaspillage L'objectif affiché est de transmettre des valeurs de respect de la nourriture et d'optimisation des ressources. Système de géolocalisation L’inscription au site est gratuite, mais il faut tout de même créer un compte qui sera ensuite vérifié et approuvé par l’équipe de "Fruit and Food".

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