Un transhumaniste dans la haute sphère politique
« Ce n’est pas nécessairement une mauvaise chose pour nous de devenir moins humains », a exprimé le transhumaniste politique Guiseppe Vatinno : Le transhumanisme est une doctrine philosophique qui vise à améliorer sans cesse l’humanité. Elle encourage la science et la technologie, mais avec des gens qui gravite en son centre. En fin de compte, elle vise à libérer l’humanité de ses limites biologiques, surmontant l’évolution naturelle pour nous rendre plus humain. : Il le fait à travers le développement de technologies qui améliorent la santé et la lutte contre le vieillissement et la maladie – en remplaçant les parties du corps perdues ou défectueuses – et par l’avancée de l’Internet, de la communication et des technologies de l’intelligence artificielle. : Devenir moins humain n’est pas nécessairement une mauvaise chose, car cela pourrait signifier que nous sommes moins soumis aux caprices de la nature, comme la maladie ou les phénomènes climatiques extrêmes. : À mon avis, non.
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Transhumanisme
H+, un symbole du transhumanisme. Le transhumanisme est un mouvement culturel et intellectuel international prônant l'usage des sciences et des techniques afin d'améliorer la condition humaine notamment par l'augmentation des capacités physiques et mentales des êtres humains. Les transhumanistes considèrent certains aspects de la condition humaine tels que le handicap, la souffrance, la maladie, le vieillissement ou la mort subis comme indésirables. Le transhumanisme partage de nombreux éléments avec l'humanisme, y compris le respect de la raison et de la science, une volonté de progresser et une valorisation de l'existence humaine (ou transhumaine). Il en diffère cependant par la reconnaissance et l'anticipation des changements radicaux que pourraient entraîner les techniques émergentes[1]. Le terme « transhumanisme » est symbolisé par « H+ » (anciennement « >H »[3]) et est souvent employé comme synonyme d'« amélioration humaine ». Histoire[modifier | modifier le code] (en) Allen E.
le transhumanisme français se caractérise par un hyperhumanisme, plus que fréquentable
(Réponse à la contribution de Marc Roux) Je remercie vivement Marc Roux de sa réaction à l’interview téléphonique que j’ai accordée à Julia Vergely. Celle-ci se souviendra de mes précautions oratoires : il fallait, m’a-t-elle dit, répondre par oui ou par non à la question : « faut-il condamner le transhumanisme ? ». Je réduirais donc le transhumanisme à sa version néo-libérale ? J’aime que Marc Roux veuille associer les technologies revendiquées par les transhumanistes (qu’ils soient modérés ou extrémistes) à une vision démocratique du monde, mais se demande-t-il si les réquisits économiques de ces technologies sont compatibles avec une telle vision ? Je préfère l’audace par la suite exprimée par Marc Roux : le transhumanisme pourrait – « à très long terme » - orienter et même supprimer la sélection naturelle.
Le posthumanisme ou l'«Extreme Make-Over» d'Homo sapiens
Il faut bien distinguer science-fiction et utopie. Bien que l'une et l'autre aient en commun cette «volonté de forcer les verrous du temps pour ouvrir sur des espaces éloignés de notre quotidien», écrit l'historienne Yolène Dilas-Rocherieux, la science-fiction est «pressée», avide «d'accélérer le processus de transformation» pour imaginer tout de suite des futurs parfaitement cohérents. «À l'inverse», écrit-elle, «l'utopie est "rationnellement raisonnable", hostile au hasard, méthodiquement élaborée entre déconstruction et reconstruction de manière à rompre avec l'ordre en place.» Rompre avec Homo sapiens, créer un «homme nouveau»: voilà l'utopie des posthumanistes et des transhumanistes que j'ai étudiée dans plusieurs reportages, un documentaire et nombre d'interviews, lesquels constituent la matière de base de ce livre. Produire un «homme nouveau»: il y a là en fait une version contemporaine d'une vieille ambition; la célèbre formule cesse ici d'être une métaphore. Définitions
Transhumanisme Démocratique
James Hughes Ph.D. Public Policy Studies Williams 229B, 300 Summit St., Hartford, CT 06106 860-297-2376 - james.hughes@trincoll.edu Une version antérieure, mais considérablement différente de cet essai a été publiée dans Transhumanity, 28 avril, 2002 Version originale anglaise Résumé La biopolitique est un axe émergent de la politique moderne au côté de la politique économique et culturelle. Cependant, la biopolitique ne fait que compliquer le paysage politique préexistant, elle ne le remplace pas. Les transhumanistes démocrates, les sociaux-démocrates pro-technosciences ou les techno-utopistes de gauche sont manifestement absents de leur niche théorique dans ce nouveau paysage politique. Le transhumanisme démocratique provient de l’affirmation que les êtres humains seront généralement plus heureux quand ils prendront le contrôle rationnel des forces naturelles et sociales qui contrôlent leurs vies. Politique du 21ième siècle Transhumanisme démocratique Techno-utopisme et la Gauche Les biopunks
La Déclaration transhumaniste
La Déclaration transhumaniste (1) L’avenir de l’humanité va être radicalement transformé par la technologie. Nous envisageons la possibilité que l’être humain puisse subir des modifications, tel que son rajeunissement, l’accroissement de son intelligence par des moyens biologiques ou artificiels, la capacité de moduler son propre état psychologique, l’abolition de la souffrance et l’exploration de l’univers. (2) On devrait mener des recherches méthodiques pour comprendre ces futurs changements ainsi que leurs conséquences à long terme. (3) Les transhumanistes croient que, en étant généralement ouverts à l’égard des nouvelles technologies, et en les adoptant nous favoriserions leur utilisation à bon escient au lieu d’essayer de les interdire. (4) Les transhumanistes prônent le droit moral de ceux qui le désirent, de se servir de la technologie pour accroître leurs capacités physiques, mentales ou reproductives et d’être davantage maîtres de leur propre vie.
The Venus Project
Immortalité, transhumanisme : pourquoi l'intelligence artificielle est un rêve affligeant
Le robot italien iCub, qui aide les chercheurs dans le domaine de l'intelligence artificielle, à Lyon, le 19 mars 2013 (L.CIPRIANI/SIPA). Ils rêvent d’un monde où l’humain, trop humain, serait supplanté par sa magnifique création, l’ordinateur... Exit la responsabilité individuelle, la machine aurait le dernier mot. Pour autant, ce courant de pensée à de quoi inquiéter. Durant de nombreuses années, l'intelligence artificielle (IA) s'est contentée d'être ce qu'elle est : une technologie. L'ordinateur a été créé par... l'homme ! Il n’empêche. On aurait pu croire que cette vision demeurait l’apanage de la SF, mais pas du tout. Je me souviens d’un débat à la radio où l’on m’a rappelé que Deep Blue – l’ordinateur d’IBM – avait battu Kasparov, le champion d’échecs. Alors oui des programmeurs d’IBM (des humains) ont battu Kasparov (un humain). L'intelligence artificielle, une nouvelle Église Seulement voilà. Un marché de l'immortalité ? Le danger d'y croire un peu trop