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Afterres 2050 : le scénario qui imagine l'autre modèle agricole de demain

Afterres 2050 : le scénario qui imagine l'autre modèle agricole de demain
Pays de la Loire, 2050. Dans les champs, le maïs a cédé la place aux prairies, avec des légumineuses (comme les haricots, les lentilles, le trèfle ou la luzerne) [1]. Les vaches qui y pâturent sont de race « mixte » : ce sont de bonnes laitières et elles peuvent aussi fournir de très bons steaks. Le nombre de haies dans les champs a doublé, entourant des parcelles agricoles couvertes en permanence par l’une ou l’autre culture, ce qui ralentit l’érosion. La moitié des terres sont cultivées selon le cahier des charges de l’agriculture biologique (contre 4,4% dans les années 2000). L’eau qui coule dans les rivières, et se niche dans les nappes phréatiques, est redevenue « propre », les pesticides ayant quasiment disparus. À Notre-dame-des-Landes, définitivement débarrassée du projet d’aéroport, les végétariens de la zone à défendre (ZAD), et autres adeptes de la sobriété heureuse, ont fait des émules. + 600% de légumes en 40 ans Retour en 2013. Les Pays de la Loire, région test Related:  La voie du mieux

Small planet, big appetites: How to feed a growing world How do we feed ourselves without laying waste to the earth, and ruining everything for the next generation? If you think about it, that’s the existential question for humanity. (As opposed to, say, should I use the Oxford comma? What’s the air-speed velocity of an unladen swallow? And do I wear boxers or briefs?) Elton wants a food system that allows us to do more than just feed ourselves: She wants agriculture that will allow people and the environment to thrive. NJ It’s not universally accepted that what most people think of as sustainable agriculture — that is, small, organic, biodiverse — is actually sustainable. SE I wrote this book because I wanted to be able to answer this very question — with confidence. When you look at the facts, the status quo is just not sustainable. A system like this simply cannot be called sustainable if it is destroying the very things — like clean water, healthy soil, biodiversity — it needs to keep producing food for our kids and their grandkids.

Ce jardinier réinvente l'agriculture sur moins d'un hectare Comment êtes-vous devenu un maraîcher militant ? J’ai grandi dans la banlieue de Montréal dans un endroit pas totalement bétonné, mais où les maisons se ressemblent toutes. (…) L’écologie ne m’intéressait pas particulièrement. C’est à 18 ans que j’ai découvert la beauté et la fragilité du monde, dans les grandes forêts de Colombie britannique. Ce voyage m’a orienté vers des études d’écologie. Je voulais consacrer ma vie à la défense de cette nature. Si on ne la protège pas, elle devient du béton. Vous dites de vous que vous êtes un fermier de familles, qu’est-ce au juste ? - Maude-Hélène et Jean-Martin Fortier au marché de Saint-Armand - Je sais que mes légumes sont très importants dans leur vie. Comment produit-on de tels légumes ? Notre projet de ferme est basé sur la vie dans le sol. Comment entretenez-vous la vie dans votre sol ? - Au milieu d’un champ de pois - Si on vient toujours bouleverser le sol, on dérange, voire on empêche ce travail que la nature fait gratuitement. C’est-à-dire ?

Fairer fare: How to turn food system kinks into win-wins for growers and eaters This is part of a series in which we’re asking what pragmatic steps we can take to make regional food systems more sustainable. We previously spoke with organic farmer Tom Willey, the people at Veritable Vegetable, a Slow Money guy, and the folks trying to improve school lunches. As I read Oran Hesterman’s book, Fair Food, I realized he may be one of the people alive today who is most experienced at trying to figure out how to make food more sustainable. He grew up, in part, on a cattle ranch in Northern California, then helped develop a farm at U.C. Q. A. A generation ago, you can think of farmworkers having a boycott — I think of Cesar Chavez and the grapes. So first they looked beyond the obvious problem, at the bigger system, and then they did it in a very transparent way, so that you could see the penny was actually getting back to the farmworkers. Q. A. Q. A. Q. A. Q. A. Q. A. Q. A. Q. A. Is it purely organic? Q. A. Q. A. Q. A. Q. A. Q. A.

Des chèvres tondeuses à Morlaix (29) : la SNCF tente l'écopâturage Cela fait près de trois semaines que quatorze chèvres alpines ont pris leurs quartiers sur des parcelles pentues qui jouxtent les venelles menant au premier étage du viaduc. Leur propriétaire ? L'entreprise d'écopâturage, Danved & Co, créée en février 2012 et implantée à Rosporden. Laurent Bonnaïs, le fondateur, a de nouveau été sollicité par la SNCF après une première collaboration probante l'an dernier autour de la Tour de Cesson à Saint-Brieuc. « Les quadrupèdes accèdent sans difficulté à des zones où il est compliqué, voire dangereux de faire réaliser un débroussaillage mécanique par des hommes, souligne leur propriétaire. L'écopâturage garantit également un entretien plus doux adapté aux besoins de la faune et de la flore. » Des chèvres de réforme promises à l'abattoir Sur les terrains à forte pente qui caractérisent la ville, l'expérience, encore en cours, s'annonce pour le moins prometteuse.

Les fermiers de famille, gardiens de la biodiversité Josée Gauthier, Conseillère - Réseau des fermiers de famille d'Équiterre, explique comment son fermier de famille lui a fait découvrir une plus grande variété de légumes d'ici. « Peut-être êtes-vous comme moi, et achetez-vous toujours la même chose à l’épicerie... Ce qui revient à vous faire cuisiner, comme moi, toujours les mêmes recettes? chou rave bette à carde chou chinois tomatille roquette cerise de terre et bien d'autres! J’ai dû sortir de mon confort culinaire, mais ce, pour mon plus grand bénéfice et celui de mes proches : l’éventail de légumes - fraîchement cueillis - que nous mangeons dans ma famille s’est élargi et je cuisine de nouvelles recettes, pour le plaisir des yeux et des papilles! En plus d’avoir découvert de nouveaux légumes, mon fermier de famille m’a fait découvrir de nouvelles variétés de légumes connus, telles que des variétés anciennes ou : Ces variétés ne se trouvent nulle part ailleurs que dans les paniers bio et ce pour plusieurs raisons :

Manger (juste) local n'est pas forcément meilleur pour l'environnement Nourriture locale ne rime pas forcément avec impact moindre sur l’environnement, rappelle le Commissariat général au développement durable (CGDD) dans son note parue en mars dernier. Il existe peu d'études sur le sujet. Mais on sait que si les distances parcourues par les aliments entre producteur et consommateur sont certes petites, la consommation d’énergie et les émissions de gaz à effet de serre ne sont pas pour autant plus faibles. -> voir aussi l'avis de l'Ademe sur les circuits courts alimentaires de proximité, paru en avril 2012

Why the food movement and family farmers need to learn to get along, little dogies This article is part of a mini-series on the plight of the mid-sized farm. Read part 1 on the difficulties of organic farming. If I were still working the Smith family land, I’d be a fifth-generation Montana rancher. Instead, 628 miles, countless pairs of skinny jeans, and one internet job separate me from the family profession. Even after nearly a decade away, though, it doesn’t take much to take me back. About a year ago, my boyfriend and I were clutching hands and whispering sweet nothings in a dive bar’s midnight air. I’m gruff and conflicted when it comes to agriculture. Drawing inspiration from Ben Adler’s mixtape love letter to the parks that birthed hip hop, I planned on writing about the waning of the family farm and accompanying it with a mix of my favorite old, nostalgic country songs. Fifth-generation farmer and Daily Yonder columnist Richard Oswald echoes this sentiment. So what to do? This tension is part of my family lore.

A food desert in paradise: Solving Hawaii’s fresh vegetable problem Sam Kalalau, a Native Hawaiian who lives in the isolated, rural town of Hana on Maui’s eastern edge, has a dream for his people, many of whom suffer from chronic conditions with dietary links such as obesity, diabetes, and hypertension. Hana is known mostly for its lushness, postcard-perfect beaches, and spectacular oceans views, and less so for its fertile fields. But this produce whisperer helps run Hana Fresh Farm, a seven-acre, certified organic farm situated on a gentle slope and filled with tropical fruit trees, heirloom greens, and fragrant herbs. The 60-year-old also seeks to educate locals and visitors alike about the health benefits of homegrown foods like avocado and papaya over the canned and processed goods transported from the mainland. For local residents, many of whom are Native Hawaiians, Hana Fresh offers one-stop wellness shopping. Hana Fresh Farm’s executive director, Cheryl Vasconcellos, is in the front row, center. But people live here too.

This tool-lending library brings the sharing economy out of the city and onto the farm You might associate the sharing economy with Uber and San Francisco, but there’s a version of the sharing economy more productive than that barely regulated $362 Halloween cab ride: farming equipment. Instead of shelling out big bucks for specialized machinery, food producers in Maine can now join a lending library of farm tools. Here are the details from Modern Farmer: For a mere $100 annual fee, members have access to a six-piece inventory, currently made up of a seedbed cultivator, two-shank sub-soiler, plastic mulch layer, strip tiller, ridge tiller, and tine weeder.“The equipment we choose is relatively simple, fairly easy to understand and operate,” Gold says. The farmers receive equipment training and use a Google calendar to see what piece of equipment is available when. The Shared-Use Farm Equipment Pool came about when Gold, a Maine Farmland Trust staff member, saw the need to lower costs for both new and seasoned farmers.

La récolte de la luzerne en foin - ArvalisTv ArvalisTv ARVALIS tv est la web tv de ARVALIS – Institut du végétal ainsi qu’une chaîne thématique de TerreTv. Ce média moderne s’adresse avant tout aux professionnels des filières agricoles et propose une nouvelle façon de découvrir des informations sur les grandes cultures. ARVALIS TV propose divers sujets techniques et économiques et traite d’agronomie, d’environnement, de conduite des cultures, de marchés agricoles, débouchés et qualité des productions. ARVALIS TV assure une qualité d'image pour tout le monde. ARVALIS tv est une webTv en perpétuelle évolution, à l’écoute de vos envies et de vos propositions, et qui n'a de cesse de vous offrir encore plus de programmes de qualité. A propos d’ARVALIS - Institut du végétal ARVALIS – Institut du végétal est un organisme de recherche appliquée agricole. Infos pratiques : ARVALIS – Institut du végétal 3 rue Joseph et Marie Hackin 75 116 Paris T. 01 44 31 10 00 F. 01 44 31 10 59 E. infos@arvalisinstitutduvegetal.fr

Biodiversité et innovation primées - Lot-et-Garonne Le conseil général a remis, vendredi 19 octobre, pour 18 500 € de prix à 5 lauréats d'un appel à projets, sur la biodiversité d'une part et l'innovation de l'autre. Faisant suite aux états généraux de l'agriculture en Lot-et-Garonne, initiés par le conseil général, ce dernier a lancé un appel à projet pour favoriser la biodiversité et l'innovation. Cinq lauréats ont été désignés : trois dans la catégorie «agriculture et biodiversité», deux dans la catégorie «trophée de l'innovation agricole». Agriculture et biodiversité > Conservatoire végétal régional d'Aquitaine (7 000 €), à Montesquieu pour son projet «La biodiversité, amie du verger». > Domaine de Gueyze, pour son projet d'amélioration de la biodiversité (6 000 €), à Bruch. > EARL Vignoble Hauts de Riquets, Duras (4 000 €), pour son projet «le cercle vertueux de la biodiversité au domaine des Hauts de Riquets «Préserver, renforcer, réhabiliter, cultiver et recycler»». > Cuma de Mézin Innovation 47 (1 000 €).

Vers une culture biologique sans labour Joanne Thiessen Martens et Martin Entz La culture biologique et les cultures sans labour peuvent-elles se rencontrer? Alors qu’au premier abord cela peut paraître comme une union improbable, il y a un intérêt grandissant de développer des systèmes de cultures biologiques sans labour qui rassemblent les avantages des deux systèmes. Le principal bénéficiaire de la culture biologique sans labour est la terre, la ressource la plus importante d’une ferme. Un sol sain est indispensable pour une agriculture biologique rentable et durable, et la base d’un sol sain est la matière organique du sol. C’est cette matière organique qui transforme l’argile, le limon et le sable en quelque chose capable de recevoir la vie. Le sol se « construit » naturellement quand la matière organique est ajoutée à la terre. En bout de ligne, la formation du sol implique également la protection de la matière organique du sol qui existe déjà. Le rouleau est-il efficace pour tuer les cultures d’engrais verts? English

Du sorgo cultivé en "agriculture raisonnée" agriculture En octobre, c'est le moment de récolter le sorgho. Une plante encore assez peu cultivée dans notre région. Dans le Lauragais une expérience semble concluante: le semis sur couvert végétal. Par Michel Pech Publié le 26/10/2014 | 18:39 © France 3 A Venerque, 25 kilomètres au sud de Toulouse, les frères Béziat moissonnent une parcelle expérimentale. Leur terre s'enrichit naturellement avec les déchets des plantes cultivées, et aussi grâce à une rotation de six productions différentes. Vidéo : le reportage de François Ollier et Eric Coorevits La récolte du sorgo

Lightening the Load: Helping Working Equines in Haiti September 26, 2012 HSI´s veterinary team brings much needed relief to the island´s working animals Humane Society International Watch this video of our equine work in Haiti from earlier this year. by Arna Cohen Examining one emaciated horse after another in a remote Haitian village, Brooke Vrany finally came across a good-looking mule belonging to an elderly man. During the three-day clinic in February, Vrany and a team of Humane Society International equine specialists evaluated more than 200 working horses, donkeys, mules, and burros. Hard at work From sunrise to sundown, the American team supervised and instructed 20 Haitian veterinarians as they administered treatment. Relied on for transporting goods to market, the equines are essential to rural livelihoods, and villagers listened closely as Vrany showed how to modify and pad pack saddles to allow open wounds to heal. Empowering local vets Their new skills will greatly improve the lives of people and animals in their home regions.

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