Comment réussir son Elevator Pitch ? Lorsque l’on doit présenter son entreprise, son site internet… voire même sa personne dans le cadre d’un entretien d’embauche, il faut savoir faire sa promotion en temps limité. Il faut être synthétique, et expliquer en 30 secondes voire 1 minute maximum, pourquoi choisir votre produit plutôt que celui d’un concurrent. Cet exercice s’appelle l’Elevator Pitch, car initialement il avait pour but de présenter son entreprise ou son produit juste le temps de prendre l’ascenseur avec un décideur (vous avez 30 secondes pour convaincre…). L’Elevator Pitch peut servir : – Lors d’une conférence, d’une présentation… – Lors d’une soirée networking, d’un salon, d’un petit déjeuner… – Lorsque vous rencontrez un ami d’ami dans une soirée – Lorsque vous recherchez un financement (banque, investisseur…) – Lorsque vous vous présentez pour un job (un pitch spécial “personal branding) – Lorsque vous faites de la prospection téléphonique Un pitch classique se construit autour de la phrase suivante : 5 (100%) 1 vote
Du E-Learning à la digitalisation de l’expérience apprenante On entre dans une nouvelle ère de la E-Formation. Longtemps centrée sur la seule digitalisation du contenu (E-Learning, Rapid E-Learning, Serious games…), la E-Formation est en train d’évoluer grâce au social learning, et plus globalement à tous les outils digitaux, vers la digitalisation de l’éxpérience apprenante. Et les opportunités à saisir sont prometteuses. Du E-Learning au Rapid E-Learning 1997 – 2005 : Le E-Learning fait Pschitt ! C’est l’époque des premières expérimentations. 2006 – 2012 : le E-Learning se mue en rapid E-Learning. Les thuriféraires du E-Learning s’enthousiasment. Serious games et social learning Hop ! Heureusement, l’évolution de la technologie ne s’arrête jamais. L’autre piste, plus récente, est le social learning. L’enthousiasme que soulève le social learning est égal à celui qu’a suscité le E-Learning ou les serious games. Le piège de l’apprenant acteur de sa formation Vers la digitalisation de l’expérience apprenante
Pour un marketing continu de la formation continue (e-learning letter) Les données remontées par les plateformes LMS témoignent d’un phénomène bien connu, mais occulté, des responsables formation : les apprenants sont moins séduits qu’on aurait pu le croire par les offres e-learning du département formation. Ils ne se connectent pas si facilement ; et quand ils se connectent, c’est pour picorer sur le portail sans toujours aller loin dans leur parcours de formation sauf si c’est une obligation (par exemple quand la formation débouche sur une habilitation nécessaire au poste de travail). Phénomène connu, déception aussi, car les responsables formation ne ménagent pas leurs efforts pour proposer un portail, des contenus et des services souvent de grande qualité. Dans un tel marché, la fonction marketing prend une place essentielle. Pour résumer : la formation continue mérite un marketing continu. Michel Diaz
La formation présentielle se digitalise, pour une meilleure efficacité pédagogique ! Traduisant l’avènement du tout numérique et son impact dans l’univers de l’entreprise, la digitalisation est un phénomène grandissant qui impacte tous les secteurs d’activités. Dans le domaine de la formation professionnelle, les sessions de formations présentielles elles-mêmes intègrent de plus en plus les outils de communication digitaux, leurs conférant une dimension ludique qui favorise l’acquisition des connaissances. CSP Formation, 3ème organisme de formation professionnelle revient sur les outils digitaux les plus utilisés en salle de formation et leurs avantages. La salle de formation à l’heure de la digitalisation L’entrée des outils digitaux dans les salles de formation découle de l’informatisation et de l’innovation technologique. Le simulateur en salle de formation : le simulateur permet de recréer des situations concrètes amenant les participants à prendre des décisions. L’utilisation des outils digitaux à bon escient pour une réelle efficacité pédagogique
Classes virtuelles : quand le formateur devient animateur d'apprentissages Les applications de classe virtuelle connaissent un certain succès en formation à distance. Elles permettent d’organiser des séquences de formation synchrones avec un groupe, reproduisant en cela la configuration de la classe en présence. Dans l’espace de la classe, le formateur peut présenter des supports, s’adresser au groupe, distribuer des tours de parole, animer des activités orales ou écrites … Tout en suivant le niveau de participation des apprenants grâce à la palette d’outils mise à leur disposition. Mais alors pourquoi, avec toutes la gamme d’activités possibles, s’ennuie t-on encore si souvent, dans les classes virtuelles ? Thierry Laffont, expert classe virtuelle chez Orange, connaît bien ces problématiques et leur apporte des solutions depuis plus de 10 ans. Thierry Laffont, pourquoi vous intéressez-vous autant à la classe virtuelle ? De la posture de formateur à celle d'animateur des apprentissages Pas du tout ! Et c’est là que vous intervenez. Priorité absolue aux activités
Marketing de la formation : de l’obligation de dépense à l’obligation de résultat Alain Ragot, fondateur et dirigeant de la société RHEXIS (sponsor du blog « Management de la formation »), était l’invité de la commission Ouest-Etoile du GARF le mercredi 10 décembre 2014 dans les locaux parisiens du GARF. Au programme de cet espace-temps de travail et d’échange : Marketing de la formation : de l’obligation de dépense à l’obligation de résultat. Compte-rendu. Après un rapide tour de table où chaque « Garfiste », acteur du secteur (RF, consultant, cabinet de conseil, organisme de formation) prend la parole, le président de RHEXIS sollicite les réactions de l’auditoire. Quels sont les impacts attendus de la réforme sur la posture et le positionnement des équipes RH/formation dans les organisations ? Côté budget, on peut imaginer que les entreprises qui formaient, formeront toujours. L’une des missions des équipes RH/formation est de développer des organisations apprenantes. Le paradoxe de la formation Les 3 principes de base du marketing de la formation
Growth Hacking Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Concept importé des États-Unis, le mot apparaît en 2010, créé par Sean Ellis[2], le fondateur de growthhackers.com. Le growth hacker ou pirate de croissance tente d’optimiser le tunnel de conversion (en) en optimisant chaque étape de ce cycle par des expériences permettant de faire grandir l'entreprise. Le piratage de croissance est utilisé, notamment, par les entreprises de e-services comme Airbnb, Facebook, Dropbox, Groupon, Instagram, LinkedIn, Pinterest, Twitter, YouTube, etc[3]. Définition d'un Growth Hacker[modifier | modifier le code] Personne compétente en marketing et programmation, curieuse et créative qui fait appel à des techniques d’analyses guidées par les données pour amorcer et optimiser la croissance de l’entreprise. Tunnel de conversion AARRR[modifier | modifier le code] Le tunnel de conversion est une approche de la relation client (CRM) définissant les étapes clés entre l'entreprise et un prospect. Ryan Holiday
outil - Comment faire une étude d’opportunité? Avant de démarrer sur de bonnes bases un nouveau projet de grande envergure, vous pouvez passer par l’étude d’opportunité. Cela permettra à votre Direction de valider si le projet doit bien être lancé, grâce à une analyse préalable et une évaluation des bénéfices futurs du projet, des coûts. L’étude d’opportunité doit identifier aussi des risques éventuels. Il s’agit donc de rédiger un document dénommé “étude d’opportunité” qui va valider ou non le bien-fondé de votre projet. Voici comment découper votre étude d’opportunité … 1 Environnement et objectifs – L’environnement général Décrire ici l’environnement économique externe et l’environnement interne de la structure pour laquelle vous travaillez, les contraintes règlementaires éventuelles et dans quel contexte s’inscrit votre projet. Décrire sur quel marché vous travaillez et les enjeux stratégiques éventuels de votre projet – L’origine de la demande Identifiez l’origine de la demande qui a mené à l’émergence de votre projet Claire Cornic
Le rôle de la formation dans la stratégie d'entreprise Quels sont les aspects qui déterminent une stratégie ? Beaucoup d’éléments influencent la stratégie de l’entreprise : l’analyse des forces influençant son environnement, les métiers et les marchés où elle est active et l’analyse détaillée de ses concurrents en sont quelques exemples. Le cycle de vie d’un produit/service, en synthèse, distingue 4 grandes phases : son lancement, sa croissance, sa maturité et son déclin. Seules les 3 premières phases sont porteuses de chiffres d’affaires (CA) et de bénéfices. Comment les responsables de formation peuvent-ils se positionner pour assurer cela ? Ulrich, dans son modèle, a mis en évidence 4 façons différenciées et complémentaires d’acter ce rôle de RH. Evoluant vers un rôle de partenaire stratégique, le RH et/ou le responsable de formation se positionne comme support direct à la stratégie. Intégrer la formation à la stratégie organisationnelle peut prendre 2 formes (ASTD 1998) : Les actions à développer Les retombées positives
Meltis | Le marketing de la formation Meltis organise régulièrement ses Cafés Studieux ©, petits-déjeuners au cours desquels les invités débattent autour d’un thème, d’une idée. Une vingtaine de DRH et responsables de formation sont venus échanger leurs idées et leurs vues sur le sujet du marketing de la formation. Remarque : Vous noterez sans doute qu’aucun nom (entreprise ou DRH) ne figure dans ce compte rendu. C’est la règle retenue pour le Club des Cafés Studieux ©. Elle permet des débats sans langue de bois durant lesquels les ratés côtoient les succès. Le benchmark est total. Vendre sa formation, cela s’apprend, se pense, s’anticipe Vendre sa formation, cela s’apprend, se pense, s’anticipe. Comment mieux vendre ses formations proposées aux collaborateurs ? Le thème pouvait apparaître quelque peu incongru : en effet, les ressources humaines doivent-elles chercher à séduire, enjoliver leurs programmes, y mettre les formes alors même que le marketing n’est pas leur cœur de métier ? Des managers face à leurs responsabilités