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« Crise et Web ont généré une très large économie de la débrouille »

« Crise et Web ont généré une très large économie de la débrouille »

Pourquoi les pauvres ne votent pas en fonction de leur intérêt économique Qu'on se le dise: les citoyens économiquement les plus modestes ne sont pas toujours fans des politiques de redistribution. Du moins si l'on en croit leur vote. C'est ce que démontrent depuis plusieurs décennies les études électorales américaines. Et, de plus en plus fréquemment, les études électorales européennes. Comme le confirme Bruno Cautrès, chercheur au Cevipof (centre de recherches politiques de Science Po), «Depuis une trentaine d'années, la sociologie, autrefois déterminante dans l'explication du comportement électoral, n'explique plus qu'en partie le vote.» Ainsi Marine Le Pen (moyenne nationale: 17,9%) a réalisé un bon score chez les ouvriers où elle se place au même niveau que François Hollande (autour de 30%) au premier tour, alors que son programme propose plus d'exclure certains des minima sociaux que d'augmenter à proprement parler ces derniers. Quand les pauvres seront riches Quatre chercheurs américains, Ilyana Kuziemko, Michael I. Le pouilleux, c'est l'autre

Pouvoir d’achat : des propositions qui changent la vie La vie share - Usbek et Rica - Mai 2012 La Fondation Terra Nova, proche du Parti Socialiste, a publié samedi 15 septembre un rapport plaidant pour une "politique des consommations" - ou comment développer une société de services, sobre pour l'environnement et réconciliée avec l'humain. Au total, 85 propositions pour "modifier les usages", "réinventer l’abondance", changer de logiciel et vraiment entrer dans le XXIème siècle. Oui oui. De la vie chère à la vie share L’ambition est affichée dès l’introduction : "Notre société produit toujours plus de désirs relatifs et répond de moins en moins aux besoins absolus", peut-on lire dans les premiers paragraphes, qui se poursuivent en invitant à "politiser la consommation, la pluraliser, la démonétariser en partie", à "découpler consommations, bonheur, prospérité" et "se rendre moins dépendants de la croissance pour assurer la redistribution". Changement de pouvoirs ++ Lire le rapport de la Fondation Terra Nova Anne-Sophie Novel / @SoAnn

Heidemarie Schwermer, le choix d'une vie sans argent Vivre sans argent ? Impossible direz vous. Et pourtant. Il y a 16 ans, Heidemarie Schwermer a fait ce choix. Ce qui ne devait être qu'une expérience de douze mois est devenu pour cette Allemande, aujourd'hui âgée de 69 ans, un véritable mode de vie. Un film, Living without money, de la Norvégienne Line Halvorsen, retrace d'ailleurs le parcours de cette ancienne institutrice, mère de deux enfants, qui a un jour décidé de s’alléger du matériel, rapporte le site Business Insider. Jamais Heidemarie Schwermer n'aurait crû pouvoir tenir si longtemps sans argent. Les prémices de cette idée un peu folle remontent au mois de mai 1996. Un constat qui choque cette femme, convaincue qu’il ne s’agit pas fondamentalement d’un manque de ressources, mais de leur mauvaise répartition. Cette femme énergique refuse de se résigner à cette situation de fait.

2007-2015: une si longue récession Partager cet article En ce début d’année 2016, il n’est pas inutile de faire le point sur la situation économique de la zone euro, sur la base des dernières données publiées par Eurostat. Cela permettra également de répondre à plusieurs questions posées par les internautes à la suite de ma chronique « Changer l’Europe, maintenant« . Commençons par comparer la situation des pays de la zone euro, considérés globalement, à celle des Etats-Unis. On constate tout d’abord que la « grande récession » de 2007-2009, provoquée initialement par la crise américaine des subprimes et la faillite de Lehman Brothers en septembre 2008, a eu approximativement la même ampleur en Europe et aux Etats-Unis. La reprise commence courant 2009, et le niveau d’activité retrouve fin 2010-début 2011 quasiment le même niveau que celui de fin 2007. De ce point de vue, le graphique suivant est édifiant: On constate que la moyenne de la zone euro cache des réalités très différentes entre les pays de la zone.

L’économie collaborative à l’ère de la société fluide En ce temps de crise globale mais aussi ce moment de remise en question profonde de nos valeurs, des initiatives émergent pour faire face. À cette image, le mouvement de l’économie collaborative se met en place. C’est une nouvelle forme de gestion des ressources, des biens mais aussi des connaissances basée sur le partage et l’échange. Elle trouve ses valeurs et toute sa puissance à l’heure d’une « société fluide », selon l’expression empruntée à Joël de Rosnay. Qui sont les acteurs de ce mouvement ? Comment s’organisent ils? À l’aube du XXIème siècle, le constat est flagrant. Bref c’est la « crise » que la plupart des médias nous rappellent à longueur de temps, créant une ambiance générale de peur et de pessimisme, bien souvent amplifiée par la passivité ou l’incapacité des gouvernements à se mettre d’accord. « Désormais une autre approche est nécessaire pour survivre à la complexité du monde moderne, à son accélération, et, plus encore, pour construire ensemble notre avenir.

Les nouveaux modes de solidarité A Proud Nation Ponders How to Halt Its Slow Decline Changing any country is difficult. But the challenge in France seems especially hard, in part because of the nation’s amour-propre and self-image as a European leader and global power, and in part because French life is so comfortable for many and the day of reckoning still seems far enough away, especially to the country’s small but powerful unions. The turning of the business cycle could actually be a further impediment in that sense, because as the European economy slowly mends, the French temptation will be to hope that modest economic growth will again mask, like a tranquilizer, the underlying problems. The French are justifiably proud of their social model. But in a more competitive world economy, the question is not whether the French social model is a good one, but whether the French can continue to afford it. But Mr. In May 1968, students at the University of Paris in Nanterre began what they thought was a revolution. “The young people march now to reject all reforms,” he said.

Le supermarché collaboratif débarque à Paris Depuis 40 ans, des coopératives alimentaires se développent à New York et Londres. Un modèle transposable à Paris? C’est en tout cas l’opinion de Tom Boothe et Brian Horihan, les co-fondateurs de La Louve, la coopérative parisienne basée sur l’auto-gestion entre particuliers. Rencontre. Park Slope Food Coop (PSFC) est une coopérative alimentaire située dans le quartier Park Slope de Brooklyn à New York. Le magasin vend une variété d’aliments et d’articles ménagers respectueux de l’environnement (mais pas que: ils respectent également une éthique et un cahier des charges définit par les membres). D’où vient le projet de lancer ce type de coopérative à Paris et combien de temps avez-vous déjà passé sur ce projet? On a découvert la PSFC il y a 5 ans. Entrer dans le magasin a été comme aller dans un pays étranger, les gens n’attrapent pas les articles comme ils le feraient dans un supermarché classique. Cela fait quatre ans que nous avons débarqué à Paris. Envie de plus d’informations?

L’échange de services | Accorderie Les principes de base 1) Une heure de service rendu vaut une heure de service reçu Le principe de fonctionnement de base d’une Accorderie est qu’une heure de service rendu vaut une heure de service reçu, quels que soient la nature, la complexité ou l’effort reliés au service échangé. De l’aide pour faire le ménage vaut autant que du dépannage informatique, de la correction de textes, de la couture ou des conseils en décoration. 2) L’échange repose sur le temps et non l’argent La monnaie d’échange d’une Accorderie, c’est le temps et non l’euro. 3) Équilibre dans les échanges L’adhésion à une Accorderie implique, de la part de chaque Accordeur, une obligation morale vis-à-vis du groupe et une aptitude réelle à rendre service. 4) De l’échange et non du bénévolat Dans une Accorderie, le seul bénévolat est celui de la participation aux réunions du conseil d’administration. 5) Prise en charge de l’organisme par les Accordeurs De l’échange de services à trois niveaux

Toilet Paper History: How America Convinced the World to Wipe Since the dawn of time, people have found nifty ways to clean up after the bathroom act. The most common solution was simply to grab what was at hand: coconuts, shells, snow, moss, hay, leaves, grass, corncobs, sheep's wool—and, later, thanks to the printing press—newspapers, magazines, and pages of books. The ancient Greeks used clay and stone. The Romans, sponges and salt water. How Toilet Paper Got on a Roll The first products designed specifically to wipe one's nethers were aloe-infused sheets of manila hemp dispensed from Kleenex-like boxes. Toilet paper took its next leap forward in 1890, when two brothers named Clarence and E. "No one wanted to ask for it by name," says Dave Praeger, author of Poop Culture: How America Is Shaped by Its Grossest National Product. As time passed, toilet tissues slowly became an American staple. At the end of the 19th century, more and more homes were being built with sit-down flush toilets tied to indoor plumbing systems. The Strength of Going Soft

Is Swapping the New Shopping for Canadians? It’s not often that a metropolitan city gets to experience Collaborative Consumption in the epicentre of its most famous intersection. Yet, for the last three years, Torontonians have been able to take part in a massive community swap at Yonge-Dundas Square—equivalent to New York’s Times Square—where they can “shop” without spending a dime. The swap meets are inspired by the vision of making barter accessible to Canadians and showing there is value beyond money. “A brilliant and fun idea that helps the planet and the wallets.” commented a participant as she left the Swap Zone. “Got enough new-to-me books to last me and my family for months – for free” tweeted another swapper. These highly popular events are organized by Toronto-based Swapsity.ca, a social enterprise that champions the swapping movement in Canada, both online and offline. The stats of these swapathons are impressive, to say the least. In the words of veteran swapper, Meka Jones, “It’s so empowering!

Echange de service entre Particuliers dans toute la France - Mixitemps

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