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Avec la "classe à l'envers", l'école garde les pieds sur terre

Avec la "classe à l'envers", l'école garde les pieds sur terre

La pédagogie inversée (page précédente) La ZoneTIC du Cégep Lévis-Lauzon décrit la « pédagogie inversée » (ou classe renversée, flipteaching, reverse instruction) comme ceci : une stratégie d’enseignement où la partie magistrale du cours est donnée à faire en devoir à la maison, alors que les traditionnels devoirs (travaux, problèmes et autres activités) sont réalisés en classe. Quel est l’intérêt? Lorsque les élèves appliquent ce qu’ils ont appris à l’école en faisant leurs devoirs à la maison, ils rencontrent parfois des difficultés et des questionnements qu’ils ne rapportent pas toujours à l’école le lendemain. De plus, la collaboration entre pairs n’est pas toujours facile à cause des horaires de chacun. Dans cette philosophie, les technologies sont omniprésentes. Jonathan Bergmann et Aaron Sams enseignent la chimie à l’école secondaire de Woodland Park au Colorado. Cette pédagogie laisse de côté les points d’évaluation du style « l’élève se comporte-t-il bien en classe? Pour lire la suite

Pédagogie Inversée- playliste- 9 vidéos Welcome to YouTube! The location filter shows you popular videos from the selected country or region on lists like Most Viewed and in search results.To change your location filter, please use the links in the footer at the bottom of the page. Click "OK" to accept this setting, or click "Cancel" to set your location filter to "Worldwide". The location filter shows you popular videos from the selected country or region on lists like Most Viewed and in search results. Loading... by MrProfdeChimie1 1,015 views by pocketlodge 86,025 views by ColloqueTICE 1,077 views by ChannelTechSmith 9,072 views by ChannelTechSmith 18,889 views by GOODMagazine 18,532 views by Alliance4ExcEd 34,925 views Quelques vidéos sur le thème de la pédagogie inversée, une approche s'alliant parfaitement avec des méthodes d'apprentissage actif. About Zone CPTIC Pour des vidéos sur le thème de l'intégration des TIC en classe au niveau collégial. 1,705 views

La "classe à l'envers", petite révolution pédagogique au Canada "Bonjour, ici Madame Annick". Celle qui s’exprime ainsi sur une vidéo YouTube avec un joli accent canadien n’est pas une animatrice de la télé, mais professeure de maths, d’histoire et d’anglais dans une école publique, l’école Le Mascaret à Moncton, à l’extrême sud-est du Canada. Annick Arsenault Carter, 41 ans, adresse ses leçons (environ 10 minutes) sur les probabilités, les diagrammes circulaires ou les décimales à ses élèves de 7e (11-12 ans). Depuis le printemps 2012, la professeure a décidé de mettre ses élèves à l’heure de la "classe inversée". Les sécheurs démasqués Mine de rien, c’est une petite révolution dans cette classe pas facile (la moitié des élèves se trouvent en difficulté) : "Au départ, j’avais envie d’aider mes élèves qui peinaient le plus à avancer, avant de réaliser que la méthode pouvait aider tout le monde", explique la professeure. A plusieurs vitesses Et justement, est-ce que cette dernière est mesurable ?

Pédagogie inversée : des résultats scolaires nettement supérieurs Au Calhoun Community College, en Alabama, les étudiants sont responsables de connaître la matière avant d’arriver en classe. Sur place, ils travaillent ensemble sur des projets leur permettant de progresser dans leurs apprentissages, tout en menant des discussions significatives avec l’enseignant. Bienvenue à l’ère de la classe inversée! Le concept de classe inversée est très populaire ces temps-ci. L’idée a notamment fait du chemin avec la popularité grandissante de la Khan Academy, un espace Web qui fait la promotion de l’apprentissage libre et gratuit pour tous. Au Calhoun Community College, c’est la réalité de plusieurs groupes. Dans les dernières années, le Calhoun Community College a vu sa clientèle augmenter de 25 % en raison de l’explosion démographique. La dynamique de classe inversée s’y est imposée naturellement. « C’est une philosophie et non une méthodologie, note Bobbi Jo Carter, coordonnatrice de l’apprentissage numérique au collège. À lire aussi : Pour suivre l'auteur :

#sansnotes : les conditions du changement Se passer des notes, c’est bien joli, mais comment faire dans la pratique pour se lancer dans ce projet ? Sous quelle conditions le changement est-il possible ? Claire Krepper, secrétaire nationale du secteur Education du SE-Unsa, et Lionel JeanJeau, proviseur-adjoint en lycée, donnent quelques clés pour changer de système. Claire Krepper L’évaluation doit être d’abord un outil au service des apprentissages et non un outil de sélection des élèves. - Elle entraîne mécaniquement le classement des élèves en « bons », « moyens » et « mauvais » dans le groupe et place donc un certain nombre d’élèves en situation d’échec quel que soit leur niveau réel. - Elle induit un regard négatif sur les « performances » des élèves plutôt qu’une valorisation de leurs progrès, conduisant les élèves à ne pas avoir confiance en leurs compétences, comme l’ont mis en évidence plusieurs enquêtes internationales. Pour mettre en place ces nouvelles pratiques, les enseignants ne doivent pas être livrés à eux-mêmes.

Apprentissage par enquête et Pédagogie inversée | «C’est le rôle de la prospective que de ne pas minimiser les tensions et les dangers futursau nom d’un optimisme de convention. Mais l’anticipation se veut aussi une incitation à l’action. En cela, elle ne saurait non plus céder au pessimisme.»Vers les sociétés du savoir, Rapport mondial de l’UNESCO, 2005 Dernièrement, une personne dans mon entourage professionnel m’a fait grandement réfléchir à propos de la grande importance que l’on accorde en éducation au spécialiste, à l’expert à qui on accorde le monopole du savoir. On aura pu constater, il y a quelques mois, dans le cadre du débrayage des étudiants, à quel point cette notion est aussi amplement ancrée dans le paysage médiatique. En effet, combien de fois a-t-on lu ou entendu des journalistes et des animateurs dire : «donner des cours», «assister à des cours», «manquer des cours». Qu’on ne se méprenne pas! C’est ici que la notion de partage d’expertise et de réelle interactivité prend toute son importance. Source Wikipedia

L’évaluation autogérée Depuis le début de la période 4, j’ai enfin réussi à mettre en place un système d’évaluation qui me convient. C’est un système parmi beaucoup d’autres qui fonctionnent également, mais de tous ceux que j’ai essayés c’est celui qui me permet d’être le plus efficace. Voici donc la démarche. Au départ, j’ai voulu m’orienter vers la pédagogie Freinet qui me plait énormément. Cependant, je ne me sentais pas à l’aise avec cette pédagogie, et surtout, pas prêt à la mettre totalement en place. Je m’en suis donc inspiré pour le démarrage. La première fois que j’ai distribué le plan de travail aux élèves, j’ai été très surpris de leur réaction. Ce qui m’a frappé, c’est de me rendre compte que les élèves ne s’étaient jamais montrés aussi curieux de ce qui allait se passer dans la période et des notions qu’on allait étudier. N’hésitez pas à me donner vos impressions, vos idées et à me poser des questions.

À la découverte de la pédagogie inversée: le pourquoi « Annick Arsenault Carter Comment se fait-il que certaines régions du Monde parlent de classe inversée depuis déjà deux ans et que j’en ai seulement fait connaissance il y a quelques mois? Vous la connaissez? Si vous lisez ce billet, il y a de fortes chances que vous êtes familiers ou familières avec celle-ci et/ou que vous cherchez, tout comme moi, à la comprendre davantage. Pourquoi fait-elle fureur? Pourquoi j’ai inversé ma pédagogie en début février 2012? Voici quelques explications du pourquoi. Dans l’article Warning : Flipping Your Classroom Might Lead To Increased Student Understanding Teaching Science and Math on précise qu’il s’agit d’une philosophie et non d’une stratégie. J’aime bien que l’article souligne qu’il faut changer le statu quo, car le statu quo ne fonctionne pas. We all know how students like to interact with one another as well. Like this: J'aime chargement…

L'évaluation pour apprendre, apprendre à évaluer - Les classes sans note Une tendance qui s'affirme La tendance des "classes sans note" apparaît de manière explicite dans la base nationale d'Expérithèque (actions déclarées et suivies par les CARDIE en académie) : les actions ou dispositifs centrés sur les modes d'évaluation des élèves (approche compétences ou encore "classes sans notes") se répartissent également entre innovation et article 34. L'inscription administrative n'est donc pas signifiante en elle-même ; elle est facteur souvent du contexte local et de l'autorisation que les acteurs se donnent à changer des routines que formellement rien n'impose, si ce n'est la conformité à des évaluations de sortie de cycle (ex. DNB ou Bac). La plupart s'inscrit dans le collège, en concernant une classe d'âge d'élèves finalement élevés à l'ère du Socle commun entré en vigueur dans le premier degré depuis plus de cinq ans. Une pratique collective et plus réflexive de l'évaluation Quelques exemples

Au lieu d’obliger à apprendre il faut aimer apprendre Le Conseil Economique, Social et Environnemental, saisi par le gouvernement s’est prononcé à une forte majorité sur l’avant projet de loi d’Orientation et de programmation pour la Refondation de l’Ecole de la République dans sa séance plénière du 16 janvier. Le CESE estime que les grands objectifs de l’avant-projet de loi correspondent à ce qu’il recommandait dans son avis sur « Les inégalités à l’école » notamment la forte priorité au premier degré et la formation initiale des enseignants. Le CESE préconise d’affirmer le rôle des parents et de développer une véritable formation continue des enseignants, ainsi que la diffusion des innovations pédagogiques les plus performantes. Enfin, le CESE insiste sur l’implication des acteurs du système éducatif et l’importance d’une publication rapide de l’ensemble des textes réglementaires. Le numérique représente un point fort du projet de refondation de l’école estime le CESE qui : Imagine-t-on ce qui va se passer ? Claude TRAN

L’évaluation automatique ? Quelle horreur ! (Quoique…) Comment faire pour évaluer les travaux de plusieurs milliers d’étudiants à la fois ? Voilà la question qui se pose quotidiennement aux instigateurs de MOOCs (voir le billet de Matthieu, doctorant à l’ENS, si vous ne savez toujours pas ce que signifie cet acronyme). Mais pas à eux seulement : en première année de fac de médecine par exemple, on est habitué à des cohortes de plusieurs milliers d’étudiants; par exemple, plus de 5 000 étudiants de première année à la fac de médecine de Lyon 1. La masse n’est donc pas exclusivement réservée aux cours tout en ligne; certains cours en présence doivent hélas composer avec cette donnée cruciale, et il y a bien longtemps que les enseignants de Médecine ont mis au point des outils leur permettant d’évaluer rapidement les travaux de leurs étudiants. La réponse la plus courante à ce problème s’appelle le Quiz. Ce qui n’est pas toujours le cas, bien entendu.

pédagogie inversée La pédagogie inversée est une stratégie d’enseignement où la partie magistrale du cours est donnée à faire en devoir, à la maison, alors que les traditionnels devoirs, donc les travaux, problèmes et autres activités, sont réalisés en classe. L’auteure Shelley Wright voit dans cette approche une révolution de notre application de la traditionnelle taxonomie de Bloom. Selon l’enseignante, cette taxonomie qui présente les fonctions cognitives dans une progression des plus simples aux plus complexes amènent les enseignants à baser leur enseignement sur les fonctions simples comme la mémorisation avec pour objectif trop souvent jamais atteint de construire jusqu’aux fonctions complexes. L’approche de Wright retourne l’approche classe en plaçant au premier niveau de la pyramide les fonctions cognitives complexes, comme l’évaluation et la création. Des TIC sont utilisées pour générer un environnement et des ressources d’apprentissage efficaces pour l’étudiant.

La classe inversée: Définition et réflexions | La pédagogie pour tous! On parle beaucoup ces jours-ci sur le web du concept de classe inversée. Mais qu’est-ce que la classe inversée? C’est une approche qui a pour but d’inverser les rôles traditionnels d’apprentissage. Son fonctionnement est celui-ci: l’élève a comme devoir à la maison de regarder les explications de l’activité que l’enseignant a enregistrées préalablement en format vidéo. Le lendemain, l’élève réalise immédiatement l’activité en classe sans avoir besoin d’explications. Je trouve que ce concept est intéressant puisqu’il permet de placer les enfants dans une posture active dans leur apprentissage plutôt que d’être «coincés» dans une posture passive à écouter les explications de l’enseignant pendant une bonne partie de la période. Cependant, je me questionne sur la faisabilité de cette approche dans mon école multiethnique en milieu allophone défavorisé. Avez-vous expérimenté ce concept? Voici un très beau site qui fait la promotion de la classe inversée: Aimer :

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