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OGM, les Organismes Génétiquement modifiés

OGM, les Organismes Génétiquement modifiés

Ogm - Coexistence avec les plantes non Ogm possible sous condition La coexistence de cultures de plantes conventionnelles avec celles génétiquement modifiées (Ogm) est possible, à condition d'instaurer distance de sécurité et rotation des cultures, a estimé le Haut conseil des Biotechnologies (Hbc) dans un avis rendu public mardi. L'avis du Hbc, requis en septembre 2010 par le ministère de l'Agriculture, avait pour objet de préciser les conditions techniques relatives à la mise en culture, la récolte et le stockage de plantes Ogm afin de minimiser leur présence accidentelle dans les cultures conventionnelles. Pour le Comité scientifique du Hbc, si l'on veut réduire le taux de transgène dans les cultures non Ogm à 0,1 %, des « mesures contraignantes » comme notamment l'obligation de respecter des distances entre les types de cultures, vont s'imposer. « Assurer le libre-choix de produire ou consommer des plantes Ogm et pas » L'avis du Hbc inclut, par ailleurs, des recommandations du Comité économique, éthique et social (Cees).

Les OGM sont-ils dangereux ? Les OGM sont des plantes particulièrement encadrées et surveillées au sein de l’Union européenne comme en France. Elles font l’objet d’évaluations scientifiques, au cas par cas, en amont comme en aval de leur autorisation. Les OGM sont les produits alimentaires les plus étudiés Au cours des vingt dernières années, les experts scientifiques mondiaux ont développé des procédures très strictes d'évaluations scientifiques sur la sécurité sanitaire et environnementale des OGM. A ce jour, depuis que les premières plantes OGM ont été développées et autorisées à la culture en 1994, aucun effet nocif sur la santé humaine ou animale, ou encore sur l’environnement n’a pu être scientifiquement établi. Comment les OGM sont-ils évalués ? Lors de l’évaluation, les scientifiques étudient : Qui est chargé de l’évaluation des OGM ? Le contrôle scientifique en France et en Europe Une évaluation permanente

Tensions autour de la destruction de parcelles illégales de maïs OGM en Midi-Pyrénées ordonnée par l'Etat agriculture Deux agriculteurs avaient semé du maïs MON810 interdit en France sur des parcelles en Haute-Garonne, Tarn-et-Garonne et Gers. Certaines ont été détruites mercredi, les autres ce jeudi avec quelques incidents entre agriculteurs et forces de l'ordre. Par Fabrice Valery Publié le 04/06/2014 | 22:48, mis à jour le 05/06/2014 | 18:27 © S. Le ministère de l'agriculture a ordonné à deux agriculteurs de Midi-Pyrénées de détruire des parcelles de semis de maïs OGM MON810 qui est interdit en France, selon un communiqué de la préfecture de région. L'un des deux agriculteurs a obtempéré mercredi matin en détruisant lui-même les parcelles concernées, situées sur le département de la Haute-Garonne. Un autre agriculteur, possédant des parcelles dans le Gers et le Tarn-et-Garonne a reçu le même ordre. Tôt ce jeudi matin, la tension était vive sur l'une des parcelles à détruire, de 11 hectares sur la commune d'Auvillar entre Tarn-et-Garonne et Gers. Champ OGM illégal

Faut-il considérer les OGM comme des poisons ? - Sciences Peekaboo - Rat sortant de son nid de laine Pockafwye © Via Flickr - CC Le 19 septembre 2012, Gilles-Eric Séralini et son équipe publient un article dans la revue Food and Chemical Toxicology montrant que des rats soumis, pendant toute leur vie, c’est à dire deux ans, à un régime alimentaire comprenant des OGM et de l’herbicide Round Up ont développé des tumeurs spectaculaires. Le même jour, l’hebdomadaire Le Nouvel Observateur met ce sujet en couverture sous le titre : « Oui, les OGM sont des poisons ». Une campagne de communication sans précédent se déclenche alors avec la publication, le 26 septembre, du livre de Gilles-Eric Séralini sous le titre « Tous cobayes, OGM pesticides, produits chimiques » chez Flammarion. Le même jour, sort au cinéma un documentaire de Jean-Paul Jaud intitulé « Tous Cobayes » qui sera diffusé sur France 5 le 16 octobre. Cap21photo © via Filckr CC Questions : Que reste-t-il du titre provocateur du Nouvel Observateur : « Oui les OGM sont des poisons ? Invités :

Débat sur les organismes génétiquement modifiés Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les manifestations anti-OGM, Washington, DC Les organismes génétiquement modifiés (OGM) provoquent de nombreux débats qui sont sortis des mondes agricole, économique et scientifique pour toucher les sphères politique, philosophique, médiatique et juridique. Les débats sur les OGM concernent trois thèmes principaux : Sur le bien-fondé des modifications génétiques par l'être humainSur les processus utilisés pour créer et expérimenter des OGMSur l'utilité et les risques dans leur domaine d'application Évolution générale du débat[modifier | modifier le code] Les OGM sont source de grandes divergences d’opinion, qui conduisent à une absence de consensus au sein des opinions publiques nationales ; les craintes sur les risques sanitaires qu'ils pourraient générer et sur une éventuelle atteinte à la biodiversité entrent en conflit avec les avantages mis en avant des OGM . Histoire du débat[modifier | modifier le code] Durée de vie des plantes

Interdire les OGM relève de la politique LE MONDE | | Par Marc Lavielle, directeur de recherche à l'Institut national de recherche en informatique et en automatique de Saclay L'histoire était trop belle... Seul face à Monsanto et à la communauté scientifique asservie au lobby pro-OGM, un chercheur met en évidence la toxicité d'un OGM... Mais chaque histoire est différente, et celle-ci s'avère finalement lamentable à bien des égards. Passons sur la façon scandaleuse dont l'étude de Gilles-Eric Séralini a été médiatisée et sur les clauses de confidentialité insensées qui ont accompagné sa sortie. Non, on ne peut pas justifier ces erreurs par les faiblesses des études réalisées par Monsanto. Rappelons d'autre part que le Haut Conseil des biotechnologies (HCB) a toujours été extrêmement critique dans ses avis à l'égard de toute étude qui conclut hâtivement à l'absence totale de risques sur des bases statistiquement fragiles. Publier dans une revue internationale n'est en rien un gage indiscutable de qualité.

Un champ de maïs OGM détruit dans le Midi Les services de l'Etat ont détruit aujourd'hui un champ de maïs OGM dans le Tarn-et-Garonne sous la protection des gendarmes et malgré la mobilisation de dizaines d'agriculteurs pour les en empêcher, selon des sources concordantes. Le préfet de Tarn-et-Garonne a mis là en oeuvre la décision du ministère de l'Agriculture, annoncée la veille, de faire détruire des parcelles plantées de maïs OGM dans son département ainsi qu'en Haute-Garonne voisine, en vertu de l'interdiction de ce type de culture en France. Cette destruction émeut vivement les FDSEA locales, soutenues par la fédération nationale. Une quarantaine d'agriculteurs a vainement tenté de s'opposer jeudi à la destruction du champ près d'Auvillar (Tarn-et-Garonne), a rapporté le président de la FDSEA Alain Iches. Plusieurs dizaines de gendarmes les ont empêchés de s'interposer, a-t-il indiqué. L'agriculteur, comme son collègue de la Haute-Garonne, ont planté du maïs génétiquement modifié de la firme américaine Monsanto en mars.

Ministére de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt www.ogm.gouv.fr Le présent projet d’arrêté vise à interdire la commercialisation et l’utilisation des variétés de semences issues de la lignée de maïs génétiquement modifié MON 810, pour faire face aux risques environnementaux liés à la mise en culture de ces variétés.La consultation est ouverte du 17 février au 9 mars 2014 inclus. publié le mardi 18 février 2014 Une demande d’autorisation pour la prolongation d’une expérimentation en plein champ de peupliers génétiquement modifiés a été déposée par l’INRA (Institut national de la recherche agronomique) auprès du Ministère de l’alimentation, de l’agroalimentaire et de la forêt. publié le lundi 6 mai 2013 Une demande d’autorisation pour la prolongation d’une expérimentation en plein champ de peupliers génétiquement modifiés a été déposée par l’INRA (Institut national de la recherche agronomique) auprès du ministère de l’alimentation, de l’agroalimentaire et de la forêt. publié le jeudi 2 mai 2013

Bill Gates : un bienfaiteur de l’humanité... version OGM et nucléaire Peu d’entre nous ont été dupes, quelques-uns s’y sont laissés prendre… Bill Gates à Salt Lake City le 21 novembre 2011 (Jim Urquhart/NBC/AP/SIPA). Bill Gates, un des hommes les plus riches du monde, le fondateur (et profiteur) de la firme Microsoft, a lancé une fondation dite "philanthropique et écologiste". "Créée en 1994, la fondation Bill et Melinda Gates gère un capital de 33,5 milliards de dollars. Valse avec Monsanto Oui : Monsanto, le temple des OGM, le fabricant de l’agent orange (à la dioxine) déversé par tonnes sur le Vietnam, de nombreux pesticides parmi les pires, ou du sinistre herbicide Roundup… Gates-Monsanto : contemplons, ébahis, l’union amoureuse de deux des monopoles les plus cyniques et les plus agressifs de la planète ! Tango avec les OGM La fondation Gates coopère, en outre, avec la fondation Rockefeller, fervente promotrice des OGM à destination des pays pauvres. Cha cha cha avec le nucléaire Ce n’est pas tout ! Tous les guillemets sont utiles et recommandés.

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