Sequoia, la révolution écologique des pressings Les OGM sont des organismes vivants dont le C'est bio la vie ! » Blog Archive » le président maintient le moratoire sur les ogm ٩(•̮̮̃•̃)۶ ! Encore heureux ! Il faut qu’il y ait un président courageux pour faire cela, contre l’avis de plusieurs morts-vivants, qui n’ont pas compris que les OGM sont tout simplement la MORT incluse dans le règne végétal, tuant peu à peu ce qui est vivant par l’infestation et la stérilité des graines. Ainsi l’OGM en lui-même s’oppose à l’œuvre de Dieu, œuvre qu’il a créé généreuse à disposition de tous. Avez vous déjà compté les pépins dans une courge ou un melon ? Il y a là de quoi cultiver 10 jardins familiaux ! Et bien, l’OGM s’oppose à cela tuant la vie, tout simplement. Ce sont les mêmes graines à l’origine, mais avec des gènes de la stérilité, avec des gènes animaux ou « issus » de la « modification cellulaire », c’est à dire que Certains Humains ont cru bon modifier l’œuvre de Dieu qui est généreuse pour tous pour en tirer profit ! C’est qui, le Conseil d’Etat ? Oui, j’ai compté plusieurs fois, ça fait bien 3.000.000€ soit 3 Millions d’Euro par mois, donc par an ? Be Sociable, Share!
Prêt à jeter Mardi 24 janvier 2012 à 20h35 Un produit usé = un produit vendu ! Dans les années 1920, des industriels américains ont trouvé la formule magique pour soutenir la consommation : l’obsolescence programmée. Fini les bas en nylon qui résistent à tout et les ampoules qui durent cent ans, un bon produit est un produit jetable. © Article Z Insolite :Prêt à jeter raconte également l’histoire de la Centennial Light. Dans une société où la croissance est tirée par la consommation, les produits durables sont une catastrophe ! Pour rentabiliser les machines et soutenir la consommation, on a contraint les ingénieurs à réduire la durée de vie des produits. "À l'époque, le développement durable n'était pas au centre des préoccupations", rappelle Warner Philips, arrière-petit-fils des fondateurs de la marque du même nom.
Organisme génétiquement modifié Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le GloFish, issu du poisson zèbre, est l'un des premiers animaux génétiquement modifiés vendus comme animaux de compagnie. Il a été obtenu par l'introduction d'un gène issu d'une méduse (transgénèse). Il s'agit donc d'un type d'OGM particulier : un organisme transgénique. Si certains OGM peuvent présenter des risques, principalement vis-à-vis de la santé (production de molécules non désirées) ou de l'environnement (dissémination non désirée de gènes), certaines organisations scientifiques internationales, et notamment le Conseil international pour la science, affirment que les OGM commercialisés ne sont pas dangereux pour la santé humaine, et que les risques de dissémination sont correctement contrôlés. Inexistantes en 1993, les surfaces cultivées OGM, représentent en 2011, selon l'ISAAA, une association non-gouvernementale de promotion des biotechnologies, 160 millions d’hectares[10], dont près de 50 % dans les pays en développement[10].
La faim dans le monde, alibi pour le développement des OGM Les débats suscités par la récente publication de Séralini et ses collègues ont été l’occasion de présenter les OGM comme une solution potentielle à la faim dans le monde. En tant qu’agronomes et spécialistes des questions de sécurité alimentaire, nous ne pouvons pas laisser croire que les OGM sont la voie pour nourrir l’humanité, fut elle de 9 milliards d’individus en 2050, voire 12 milliards dans les scénarios les plus pessimistes. Au premier rang des avantages attendus des OGM est mise en avant leur potentielle contribution à l’accroissement de la production. Cela soulève une première question : le problème de la faim dans le monde est il vraiment un problème de production insuffisante ? Une deuxième question surgit : les OGM sont-ils une solution pour produire davantage dans les pays concernés par l’insécurité alimentaire ? (1) Source: Dorin B., 2012.
Faites recycler vos appareils Cinquante-trois euros pour un PC portable Compaq CQ61, 34 € pour une PS2 comme neuve, 4 € pour une console DS en bon état, ou 150 € pour un iPhone 3GS (8 Gb) : Bak2 rachète tout, ou presque. Même les équipements défectueux. « Nous référençons plus de mille produits, toutes gammes confondues », explique Jean-Lionel Laccourreye, directeur de Bak2. Récupération et recyclageAujourd'hui, la société veut mettre le turbo sur la collecte des produits électroniques en fin de vie et ne se contente plus des mobiles, comme du temps où elle s'appelait Fonebak. Pour le particulier, ou les entreprises, c'est un moyen facile de se débarrasser à bon compte de ses vieux appareils.En se rendant sur bak2.fr, on enregistre son ou ses produits, on les expédie et on attend sagement son virement bancaire sous cinq jours ouvrés. Christophe Séfrin Des millions de téléphones dans les placards En 2010, un appareil électronique acheté sur quatre était un téléphone.