Gestion du réseau alimentaire vivant du sol
J'ai traduis et parfois adapté pour vous ces principes (ou règles) très utiles proposées par Jeff Lowenfels et Wayne Lewis dans l'excellent livre "Teaming with Microbes (Revised Edition)". Elles vous aideront à mieux comprendre les mécanismes qui rendent le sol vivant si fertile et à en prendre avantage en posant les bonnes actions. Je vous recommande le livre pour aller plus en profondeur dans le sujet. Cliquez sur l'image pour la voir en grand. En bonus, une excellent vidéo pour mieux comprendre et reconstruire les sols!.
L'Homme qui plantait des arbres
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vous lisez un « bon article ». L'Homme qui plantait des arbres est une nouvelle de langue française écrite en 1953 par l'écrivain français Jean Giono pour « faire aimer à planter des arbres », selon ses termes. Écrite à la suite d'une commande du magazine américain Reader's Digest, la nouvelle a eu un retentissement mondial. L'Homme qui plantait des arbres est aujourd'hui reconnu comme une œuvre majeure de la littérature d'enfance et de jeunesse et elle est, à ce titre, et pour son message écologique de développement durable, étudiée en classe. Résumé[modifier | modifier le code] La passion de cet homme consiste donc à planter des arbres, dans une parfaite solitude[variantes 1]. Retrouvant le planteur, qui a changé de métier et qui est maintenant apiculteur (ses moutons étant en effet une trop grande menace pour ses plantations), celui-ci lui fait visiter sa nouvelle forêt dont les chênes datent de 1910.
L’Homme qui arrêta le désert
Film documentaire de Mark Dodd (50 minutes) – Production 1080 Film and Television Ltd. Yacouba est né au Burkina Faso, dans la région semi-désertique du Sahel, où l’agriculture semble impossible. Il décide de stopper l’avancée du désert et de rendre le sol fertile pour permettre à la population qui a fui la famine de revenir. Patient et persévérant malgré la méfiance des villageois, Yacouba cultive sa terre en améliorant une ancienne technique nommée Zaï : il retient l’eau de pluie et utilise les termites pour enrichir la terre… Au Burkina, il existe une technique traditionnelle de fertilisation des sols, qui s’appelle le zaï. D’abord, il a creusé ces trous avant la saison des pluies. De surcroît, Yacouba avait compris l’importance de la présence de forêts pour protéger les cultures vivrières. Yacouba ne s’est pas contenté de reconstituer une forêt et d’améliorer les rendements agricoles: il s’est efforcé, ces dernières années, de transmettre son savoir.
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