Agence Française pour le Jeu Vidéo Le journalisme de données Le journalisme de données consiste à exploiter des bases de données, pour en extraire de l’information intelligible et pertinente, présentée de façon attractive. Il vise à donner du sens à d’obscures séries statistiques, à faire émerger des histoires dans de longues séries de données éparses. En cela, il s’inscrit pleinement dans la tradition journalistique consistant à aller chercher de l’information brute pour la présenter de manière adéquate au public. Seulement, il envisage différemment le rôle médiateur du journaliste. Le journalisme de données s’adresse d’abord à l’intelligence visuelle du public, et non à son intelligence verbale. [2] et de cartes rich-media [+] NoteA. [3], d’applications interactives, etc. El Pais a mis au point une animation pour présenter les prévisions du FMI sur l’évolution du PIB des pays occidentaux. Compilation de visualisations et d'exemples de journalisme de données repérés entre novembre 2009 et janvier 2010 .
« L’émotion dans les jeux n’est pas une question de prouesse technologique » Affairé derrière son écran d’ordinateur, un homme suit distraitement une conversation. Le ton monte. La dispute se termine rapidement par un ultimatum. Conçu par une équipe indépendante réunie autour de Sébastien Genvo, maître de conférences à l’université Paul Verlaine - Metz, Keys of a Gamespace se présente comme une réflexion sur la notion de jeu d’auteur et de jeu "expressif". Keys of a Gamespace est lié à vos activités de chercheur. À travers KOAG, il s’agit d’inciter le joueur à se questionner sur ce qui fait du jeu une forme d’expression singulière, ce qui est une des problématiques centrales de mes recherches. J’ai beaucoup travaillé sur la notion de jouabilité, que je définis comme l’espace des "possibles" qu’une situation offre à un individu. Quelles références aviez-vous en tête pour la création de ce jeu ? L’exploration du joueur au sein des souvenirs du héros est parsemée de références aux jeux vidéo de toutes époques. L'esthétique du jeu rappelle notamment Van Gogh.
FIRST BUSINESS MOOC - Datajournalisme Programmeur autodidacte, Nicolas Kayser-Bril a notamment travaillé pour Le Monde, Rue89, Les Inrockuptibles, après des stages dans les rédactions du Soir, de Associated Northcliffe Digital et de Radio Free Europe. Il intervient régulièrement dans les écoles de journalisme et participe à de nombreuses conférences professionnelles en Europe et ailleurs. Nicolas a ensuite fondé, avec Pierre Romera, une agence spécialisée dans le journalisme de données, Journalism++, fin 2011. La société a contribué à développer l’outil de visualisation de données Datawrapper et la plateforme d’analyse de données Detective.io. Journalism++ travaille pour des clients comme Arte, France Télévisions, l’AFP et de nombreux autres médias européens. Il a été choisi par le Global Editors Network, responsable éditorial du MOOC et producteur des Data Journalism Awards au niveau mondial.
La gamification de l'univers ou rien de moins! Cet article est une reprise de l’article au même nom qui a été publié ce mois-ci dans la revue Argus, co-écrit avec Miss Claude Ayerdi. Est-ce que la gamification (ou ludification) sera le « buzzword » de la prochaine décennie, succédant ainsi à celui de « réseaux sociaux » qui aura dominé les années 2000? Et nous ne parlons pas seulement de l’ingérence de FarmVille dans votre fil de nouvelles Facebook ou de la reconnaissance de la culture geek des jeux vidéo, mais bien de l’envahissement du ludique dans toutes les sphères de votre existence. C’est cette théorie que soutient le ninja-en-chef M. ***Vous avez lu jusqu’à ici? «Il faudra affronter la gamification dans un duel épique… ou s’en faire un allié!» Si nous acceptons la prémisse que la gamification de la société grandira dans les prochaines années, qu’est-ce que cela implique concrètement pour l’espace public, la culture et l’information ? *** Vous avez lu jusqu’à ici? La gamification: l’ajout d’une couche ludique à une activité
It’s time to say goodbye - Silk As some of you know, the Silk team joined Palantir over a year ago. We have maintained Silk as a free service to date. Unfortunately, we have decided to shutdown the service by December 15th, 2017. Why? It’s becoming harder and harder to keep Silk.co running without significant amounts of efforts and maintenance. We’ve always intended to make Silk reliable, secure and free of bugs. Many of the third-party services we use to keep Silk.co running have been discontinued, changed or increased their pricing. What will happen next? Your Silks will remain accessible until December 15th, 2017. You will be able to export all data from your Silks from your dashboard. We will maintain a backup of all data for another month, and will delete all data, including user data, no later than January 31, 2018. Are there alternatives to Silk.co I can use? While there is no tool that has an equivalent set of features as Silk, we can suggest the following options depending on your use case: The Silk team
Arcade! Jeux vidéo ou Pop-art ? » Mathieu Triclot Cyborg vs Zombies. Ou pourquoi il est important de considérer les jeux vidéo Contribution de Mathieu Triclot, maître de conférences en philosophie des sciences à l’Université de Technologie de Belfort-Montbéliard. Il faut en finir avec la solitude du cyborg. Et lui substituer des hordes de zombies. Mais il nous faut commencer par ré-évaluer le rôle du vieux cyborg, et rendre hommage, sur le seuil, à tout ce qu’il nous a apporté. Conservons donc la question initiale, celle de la fabrique de la subjectivité dans la relation intime aux machines informatiques, mais débarrassons nous du cyborg. Il existe des analogies frappantes entre les descriptions de positions zombifiées que nous fournit Cassou-Noguès et certaines expériences du jeu vidéo. Examinons simplement deux manières opposées de jouir de la machine, de s’y immiscer pour se fabriquer une position zombie. (1) Manfred E.
Hybridation entre bibliothèque-3ème-lieu et opac-réseau-social (Gunpei Yokoi, sors de ce corps!) Je ne le fais pas souvent sur jvbib, mais voici un billet moins jeux vidéo et plus bibliothèque (que je vais quand même parsemer de quelques références videoludiques, n’ayez crainte amis gamers vous pouvez rester ;-) ), dans lequel je vais proposer une petite partie de réponse à la question que je posais il y a quelque temps : qu’attendons-nous aujourd’hui d’un site de bibliothèque? J’ai conclu le billet précédent sur l’heure du conte interactif en parlant de l’animation jeu vidéo comme d’un outil pouvant faire se rencontrer vos usagers, un outil de sociabilité. Ça me fait une transition avec aujourd’hui car nous allons continuer de parler sociabilité avec l’idée de bibliothèque comme troisième lieu. C’est à dire cet endroit où vous allez après le boulot, avant de rentrer chez vous (les 2 autres lieux). Vous me dites cet endroit c’est le bar du coin? Ça peut être ça en effet : un lieu de sociabilité. Il suffirait de pas grand chose. Ensuite, on pourrait avoir une fonction de listes.
Project Gutenberg - free ebooks Bibliothèque numérique mondiale Penser est un sport de combat Numéro coordonné par Evelyne Pieiller Lire le compte rendu de ce numéro, paru dans Le Monde diplomatique d’octobre 2014. « Loin de l’impuissance mélancolique »Evelyne Pieiller I. « On ne sait jamais de quoi hier sera fait » — cette maxime cynique attribuée à l’ère stalinienne a une valeur générale. L’histoire est écrite par les vainqueurs Howard Zinn Pourquoi le tiers-monde a disparu Immanuel Wallerstein Miroir fêlé où Europe et monde arabe se regardent Maxime Rodinson L’Asie existe-t-elle ? Les braises de la mémoire Eduardo Galeano Mai 68 et ses vies ultérieures Kristin Ross Une enquête rationnelle Eric Hobsbawm Nul n’est hors de son temps, pas même Camus Edward W. II. En toute logique, la grande crise du néolibéralisme aurait dû susciter un élan vers la gauche. L’indigence de la gauche européenne Slavoj Zizek Le dernier tabou, la démocratie José Saramago Quand Dieu n’a plus de concurrent Jacques Bouveresse Au nom de quoi refuser la loi en place ? Les orphelins de la révolution Robert Bonnaud
Des fleurs pour le papa d'Algernon Daniel Keyes, nous apprend le Guardian, est passé de vie à trépas le 15 juin dernier à l'âge de quatre-vingt-six ans. Il était l'auteur du célèbre roman Des fleurs pour Algernon. Éditions J'ai Lu n°427, 1978Illustration de Tibor Csernus Voici, pour les rares personnes qui ne connaîtraient pas ce chef-d'oeuvre, le résumé de l'intrigue tel qu'il fut rédigé au dos de l'édition française publiée par J'ai Lu : « Algernon est une souris de laboratoire dont le traitement du Pr Nemur et du Dr Strauss vient de décupler l'intelligence. Des fleurs pour Algernon était au départ une nouvelle, qui parut dans le Magazine of Fantasy and Science Fiction d'avril 1959 : The Magazine of Fantasy and Science Fiction, avril 1959 Si l'illustration de couverture est consacrée à ce texte, le nom de son auteur ne figure pas dans la liste de ceux cités : Frederik Pohl, Aldous Huxley, Poul Anderson, Anton Chekhov, Isaac Asimov et Gordon R. L'affiche du film, 1968 Illustration d'Étienne Delessert Édition estonienne, 1967