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Ces villes qui expérimentent les services publics gratuits - Innovation

Ces villes qui expérimentent les services publics gratuits - Innovation
Monter dans un bus sans composter un ticket, et sans risquer de passer pour fraudeur, tel est le quotidien des Aubagnais. Depuis trois ans, l’agglomération du Pays d’Aubagne – 104 000 habitants – en périphérie de Marseille, a fait le choix de la gratuité totale dans les transports en commun. Cette gratuité était auparavant réservée aux demandeurs d’emplois, aux allocataires du RMI et aux personnes âgées et handicapées. Réélue, la municipalité entame alors un bras de fer avec la société des Autobus Aubagnais, propriété du groupe Veolia, qui exploite le réseau depuis 2007 dans le cadre d’une délégation de service public. A qui profite la gratuité ? Dans l’agglomération de Châteauroux (76 000 habitants), les transports collectifs sont gratuits depuis une décennie. Dix ans après l’instauration de la gratuité, la fréquentation sur le réseau géré par Keolis, filiale de la SNCF, a progressé de 208% ! Qui finance les transports gratuits ? La gratuité, une « fausse bonne idée » ? Anthony Laurent

Why Denser Cities Are Smarter and More Productive - Jobs & Economy Density is one of the most important, and at times contentious, topics in urban development. We cover it a lot here at Cities. It's clear that density plays an important role in economic growth. Density brings people and firms closer together which makes it easier to share and exchange information, invent new technologies, and launch new firms. But the question remains: How exactly — in what ways and through which channels — does density make our cities more productive? That’s where a recent study published in the Journal of Regional Science breaks new ground. In doing so, the study overcomes a couple of nagging problems that have confounded previous research. The graph above, from the study, shows the wide variation in productivity across U.S. metros. "[These maps] really show the difference (especially for places like Denver) between the 'standard' density measure (population per square mile) and the weighted density measure," writes Gabe in an email.

Les riches fabriquent des pauvres et la surpopulation détruit la Terre Les écologistes, affligés par l’épuisement des ressources et le déclin des écosystèmes, font remarquer qu’il nous faudra deux planètes ou plus pour survivre. Dans un autre domaine, ces deux planètes existent déjà, tout le monde sait bien qu’il y a une planète des riches et une autre des pauvres. La première, usurpée, n’est pas pour nous déplaire… Un milliard de riches occupe l’Amérique du Nord, l’Europe, l’Australie, le Japon et un club très privé de privilégiés qui règnent tyranniquement sur les pays du tiers monde. Les hectares excessifs que s’octroie chaque habitant chanceux du monde occidental et qu’illustre le calcul éloquent de l’empreinte écologique sont usurpés sans la moindre contrepartie au reste du Monde, à celui auquel nous attribuons des dettes extérieures. « Notre mode de vie n’est pas négociable » était une déclaration de principe de Georges Bush père, prémonitoire puisque le fils n’a pas plus daigné se soumettre à une gouvernance écologique respectueuse.

"La ville de demain doit permettre de recréer du lien social" Plus proche des usages et des besoins des citoyens, la ville du futur devrait être enrichie, plus interactive et collaborative. Interview de Stéphane Cagnot, fondateur de dedale, une agence dédiée à la culture, aux nouvelles technologies et à l'innovation sociale en Europe. L'agence faisait partie des acteurs innovants qu'il était possible de rencontrer lors de Demain dans ma vie, organisé par la ville de Paris. L'Atelier : A quoi va ressembler la ville du futur? Stéphane Cagnot : Je dirais que l'un des enjeux futurs, c'est de penser et imaginer les services qui vont changer la ville. Cela va représenter une grande partie du travail pour l'ensemble des acteurs économiques, sociaux, les collectivités publiques. Par contre, en termes de conception et de design, on est encore à l'âge de pierre. La ville sera-t-elle plus orientée vers l'humain ou vers la technologie à l'avenir ? Côté humain, la ville enrichie est encore à organiser et mettre en place.

La forêt et le bois français pillés Peut-on imaginer que n’importe qui puisse s’approvisionner librement dans les champs de pétrole russe ou arabe ? Non. Et bien, c’est pourtant ce qui se passe pour la forêt française et européenne : les bois européens sont en libre accès. Les arbres s’enfuient vers la Chine ; la forêt d’Europe trinque Compétition déloyale sur le bois français et effet boomerang Explication : la France représente une part très importante des importations chinoises de bois, et précisément de grumes de chênes et hêtres. Où est le problème ? Exportations de bois – quelques repères Selon Laurent Denormandie, président de la FNB, « avec l’Italie et l’Espagne (débouchés traditionnels du bois produit en France, ndlr), les volumes étaient à peu près stables. La croissance des exportations de bois est une fausse bonne affaire Les détecteurs de fumée sont obligatoires page 2 > l’Europe naïve

The Very Hungry City - Troy, Austin Austin Troy Won Honorable Mention in the 2012 New York Book Festival General Non-Fiction category, sponsored by the New York Book Festival Designated as the Baltimore Ecosystem Study Book of the Year for 2013. As global demand for energy grows and prices rise, a city's energy consumption becomes increasingly tied to its economic viability, warns the author of The Very Hungry City. Troy looks at dozens of cities and suburbs in Europe and the United States—from Los Angeles to Copenhagen, Denver to the Swedish urban redevelopment project Hammarby Sjöstad—to understand the diverse factors that affect their energy use: behavior, climate, water supply, building quality, transportation, and others. Austin Troy is associate professor in the Rubenstein School of Environment and Natural Resources at the University of Vermont, and principal and cofounder of Spatial Informatics Group, LLC.

Guérilla gardening France :: Stage plessage haie bocagère Salut un petit stage sur le plessage à Nort sur Erdre ça vous dit ? Salix de la GGNantes m'en a parlé et même si je ne peux pas y aller je partage l'info ! -----------------------------------------------------------------------------------------------------------Apprendre à plesser une haie bocagèreSamedi 11 février 2012de 9H30 Ã 17H00 Ã Nort-sur-Erdre (44) Comment plesser ? Le plessage est une technique d'entretien de la haie bocagère qui consiste à tresser vivant les végétaux la constituant, de façon à la rendre infranchissable par le bétail et d'autre part, de lui permettre de garder tous ses avantages tels que la production de bois de chauffage, de fruits, le refuge de gibiers et autres animaux auxiliaires, l'effet brise-vent etc... Franck Viel est animateur de l'Association PASSAGE dans le Perche et pratique le plessage sur les bases des connaissances transmises par les anciens.

L'"empowerment", nouvel horizon de la politique de la ville Le ministre François Lamy s'est emparé de ce concept venu des Etats-Unis qui vise à redonner aux habitants des cités populaires une capacité à agir. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Sylvia Zappi C'est le nouveau mot à la mode dans les cercles de la politique de la ville. Empowerment. Depuis quelques mois, travailleurs sociaux, associatifs, professionnels de la politique de la ville, élus, ne jurent plus que par ce terme venu d'outre-Atlantique. Conscient que sa concertation sur la réforme de la géographie prioritaire ou l'installation de nouveaux contrats de ville ne suffiraient pas à redonner du souffle à une politique de la ville en bout de course, le ministre a décidé d'intégrer ce nouvel outil et ainsi d'afficher une politique de gauche qui ne coûte pas très cher. L'empowerment semble devenu le nouvel horizon de la politique dans les quartiers. L' empowerment n'a pas de traduction adéquate - sinon le néologisme québécois "capacitation".

Forêt >  Programme - Relier L’exploitation de la forêt s’oriente de plus en plus vers des coupes rases et de la monoculture, des filières longues et cloisonnées, la précarité du travail. Pour en sortir, RELIER participe, depuis 2008 à l’exploration de pratiques pour une gestion alternative de la forêt. Le Réseau pour les Alternatives Forestières propose ainsi une recherche-action visant à favoriser l’émergence et le développement de pratiques forestières alternatives, pour que les besoins émergents en ressources naturelles et locales soient effectivement vecteurs de solidarité, d’humanité et de respect de la terre. Pour cela, le Réseau pour les Alternatives Forestières apporte un soutien à ceux qui s’engagent dans cette recherche de cohérence en : 1. 2. 3. 4. 5. Le Réseau pour les Alternatives Forestières recherche des forêts à vendre, à céder ou à entretenir dans le grand Sud : contact(a)reseau-relier.org

Les Espaces publics numériques peuvent-ils devenir des tiers-lieux ? (2/3) Illustration : Jacques Goldstein (IDRC) Dans l'article précédent « A la rencontre du 3ème type … de lieu », nous sommes repartis aux sources du concept de « 3ème lieu » pour découvrir qu'il était préférable d'utiliser le terme de « tiers-lieu » plus porteur de sens. Ces tiers-lieux peuvent se décliner sous la forme d'une trilogie : espaces de co-working, tiers-lieux culturels, fablabs et leurs dérivés. Dans ce second article de la série, nous nous interrogeons sur les conditions nécessaires pour qu'un EPN puisse proposer un espace de co-working au sein de ses locaux, ainsi que la pertinence et la faisabilité de cette évolution. Ne serait-ce pas finalement revenir au modèle de télécentre tel qu'il existe ailleurs dans le monde ? Nous pointons les risques que quelques projets d'Espaces de co-working siphonnent l'argent public disponible au détriment d'un financement plus large des réseaux d'EPN ou que les médiateurs-trices numériques soient réduits au rôle de concierge.

La Convention Européenne du Paysage 10 février 2010 (mis à jour le 30 septembre 2013) - Ville durable, aménagement et construction La convention européenne du paysage est un traité inscrit dans le cadre du Conseil de l’Europe. Cette instance est plus large que l’Union européenne, 47 États en sont membres contre 28 pour l’Union. Le Conseil de l’Europe n’a pas autorité sur les États parties, aussi cette convention est-elle l’expression d’un accord volontaire entre les États alors que les directives de l’Union européenne émanent d’une autorité supra nationale et s’imposent aux États. La Convention européenne du paysage, ouverte à la signature en octobre 2000, à Florence, est entrée en vigueur en France le 1er juillet 2006 et publiée au Journal officiel par décret du 22 décembre 2006. La convention de Florence donne un nouvel élan aux politiques du paysage. Consultez :

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