Curve Appeal Size 10-12. Rock that picnic bench. 5'8", currently 250, 26 y/o. I’m so glad I found Curve Appeal! Age: 36. Height: 4’ 11" Measurements: 43, 34, 43 Size: US 12/14 Untill I was about 18 yo, I weighted 48kg (around 105lbs) and was really happy with my body (I thought I could have more boobs, but whatever). Within a year I gained around 12kg (26lbs) for a lot of different reasons and shut down completely. Now I weight 62kg (136lbs) and practice muay thai and jiu jitsu very regularly, but I am still strugling a lot to accept my body. I keep thinking that I can’t wear certain types of clothing nowadays because I’m no longer skinny, and that I should lose at least 7kg (15lbs). This tumblr is really helping me a lot, when I see so many beautiful girls around my weight and having the same issues as I do, I get really happy seeing that I am not alone! Thank you so much, I hope my submission passes through! 5'4 143lbs I have worn a jacket everyday for 6 years I’m just starting to learn to like myself
« Examen à l’anglaise » : on n’est pas obligées d’écarter les cuisses chez le gynéco Certains médecins acceptent d’examiner les femmes « à l’anglaise », allongées sur le côté. Une position moins gênante, et une petite révolution dans la relation entre la patiente et son médecin. Discussion avec une amie il y a quelques années : « Tu savais qu’on pouvait se faire examiner sur le côté, chez le gynéco ? Elle avait lu « Le Chœur des femmes », best-seller de Martin Winckler. Ce livre, c’est l’histoire d’une interne en gynécologie, pleine d’ambition et assoiffée d’opérations chirurgicales très classes. « Allongez-vous en chien de fusil » Dans ce texte, inspiré de l’expérience de Martin Winckler, on lit cette scène où « le barbu mal dégrossi » demande à son interne (en jean) de s’installer sur la table d’auscultation : « Allongez-vous en chien de fusil.Je le regarde sans comprendre.– “En décubitus latéral gauche”, dit-il avec un sourire.– Ah ! Le médecin veut montrer à son interne que cette position présente des avantages. Ne plus être « offerte » au praticien « A l’anglaise » ?
Le mont de Vénus, le nouveau thigh gap ? Une uniformisation inquiétante du sexe féminin Hannah Davis dévoile son "mont de Vénus" à la une de "Sports Illustrated Swimsuit Issue" (capture) L’autre jour, je reçois un article sur la "monsplasty", une pratique que je ne connaissais pas, du moins que je n’imaginais pas : une chirurgie visant à donner à votre mont de Vénus (soit la partie du pubis où poussent les poils pubiens chez la femme) "une allure plus petite et plus naturelle", selon le Docteur Davison, chirurgien à Washington. Plus naturel que le naturel ? Difficile à imaginer. Le pubis est principalement constitué de graisse, sa forme et son volume sont très variables. Je me suis donc penchée sur le sujet du rajeunissement de l’ensemble de la zone des organes génitaux féminins. Les "sex-designers" Aujourd’hui, il existe toutes sortes de crèmes pour raffermir nos parties intimes, mais on ne connaît pas vraiment les conséquences à moyen et long terme de l’utilisation de tels produits sur les parties intimes, et d’ailleurs, sont-elles vraiment efficaces ?
«Faisons la révolution de la vulve !» Emma, une Australienne de 24 ans, a lancé le Large Labia Project (le projet grosses lèvres). Sur son blog, elle recueille des photos de vulves pour défendre la différence et lutter contre le diktat du porno qui imposerait des lèvres toujours plus courtes et fines. Ce Tumblr n'est pas un site érotique, un espace où il n'y aurait que des photos d'organes génitaux en gros plans. C'est avant tout un lieu où poser des questions, discuter, se mettre en confiance. Pourquoi et quand avez-vous eu l’idée de ce projet ? Emma : J’ai eu l’idée de ce blog il y a un an en regardant un documentaire sur une chaîne australienne. Beaucoup de femmes m’ont dit aussi qu’elles avaient une vision négative de leurs lèvres à cause des pornos qu’elles ont vus. Le problème, c'est le porno ? Ne vous méprenez pas. Mosaïque de photos de vagins prises sur le blog Large Labia Project. Combien de propositions de contribution avez-vous reçues ? Au départ, ce n’était que moi et mes lèvres. Sûrement.
Anciens contre Modernes, le verbe contre la peau Est-il désérotisant de verbaliser son consentement ? Est-il pathétique, naïf, réactionnaire, de verbaliser la sexualité tout court ? Maintenant que le harcèlement de rue, le viol, le viol sans-mort-d'homme (sic) ont bien hanté nos débats, vous constaterez qu'on en revient sans cesse à cette question – il faudrait choisir entre la parole et les actes. Soit on communique soit on baise. (Sans continuité possible, bizarrement.) J'ai l'impression que plus qu'une fracture entre les genres, il s'agit d'une fracture générationnelle. Si cette configuration se révélait correcte (pas de guerre des sexes mais une guerre des âges – ou une guerre culturelle, si vous préférez quelque chose de moins frontal), on aurait des vieux attachés à la zone grise pour une raison cruciale : cette zone grise serait la condition de leur désir. Quid des ambivalences de la zone grise ? Dans ce paradigme, demander le consentement revient à pratiquer du sexe hygiénique. On peut défendre le silence.
grande guerre : mise en ligne des collections numérisées Au programme, les titres de presse : L’Epatant, La Baionnette, Les Trois couleurs et des albums tels que Linette et son poilu ou La Guerre en images, L’histoire de la guerre, Récits de combats et épisodes héroïques, reprennant des tableaux extraits de L’Etoile Noëliste. Ce fonds a été numérisé avec le soutien du ministère de la Culture et de la Communication dans le cadre des appels à projets de numérisation 2013. le fonds numéirsé À la veille des commémorations du centième anniversaire du début de la Grande Guerre, nombreux sont les albums de bande dessinée ayant pour décor et époque cette période de l’histoire. Dans ces publications contemporaines, l’approche est généralement pacifiste et dénonciatrice des atrocités de la guerre, bénéficiant du recul temporel. les albums Les albums constituent un témoignage sur la représentation de la première guerre mondiale à travers la bande dessinée ou la caricature. les albums les périodiques Le fonds de périodiques est composé de trois titres :
Why Dove’s Latest “Real Beauty” Video Gets It All Wrong Originally published on BodyLoveWellness and cross-posted here with their permission. Alternately titled: “Please, Please, Stop Sharing That Video.” Chances are, someone has sent you this video and told you how inspiring it was. To be honest, I didn’t find it inspiring at all. Instead, it just made me angry. Here we go again, with Dove pretending to empower women to love their bodies, with the big honking caveat that you should love your body only when you’re more conventionally attractive than you realize. In case you haven’t watched the video, the premise is that women are their own worst enemies, who focus on and emphasize their own worst physical qualities. A sketch artist draws their faces based on their descriptions, and then redraws their face based on the description of someone who just met them. That may sound inspiring (ish), but it doesn’t work for a number of reasons. Here are my top five (in no particular order). 1. 2. 3. What if people see you as “less beautiful” than you are? 4.
Première fois : va-t-il me trouer ou me perdre ? Il existe une idée selon laquelle la femme «perd sa fleur» la première fois qu’elle se fait pénétrer. Mais on ne perd pas son hymen comme on perdrait sa clé. C’est un tissu vestigial, programmé pour s’autodétruire, qui cristallise beaucoup d’angoisses et surtout de préjugés. Presque toutes les filles vivent dans la hantise de la «première fois» : on leur a dit que ça ferait mal et que ça saignerait. 1/ L’hymen est-il est un voile ? Gérard Zwang, pionnier de la gynécologie moderne : «L’hymen est le reliquat de la membrane urogénitale, à l’union du sinus urogénital (qui va donner le vestibule) et des canaux de Müller (qui vont donner le vagin). Autrement dit : l’hymen n’a rien à avoir avec une membrane étanche qu’il faudrait crever, percer, trouer ou «faire péter». 2/ L’hymen «imperforé » relève-t-il du mythe ? Gérard Zwang : «L’hymen qui bouche le vagin fait partie des phobies infondées — tout comme le vagin denté. Pour résumer : l’hymen imperforé est aussi rare que le mouton à 6 pattes.
Histoire et mémoire des deux guerres mondiales - Enseigner la première guerre mondiale - Les femmes et la 1ère guerre mondiale par Jocelyne et Jean-Pierre Husson Pendant la 1ère guerre mondiale la contribution des femmes à l'effort de guerre a revêtu des formes multiples : - courage des femmes d'agriculteurs qui, dans une France encore à dominante rurale et agricole, ont dû assumer à partir de l'été 1914 les durs travaux des champs ; - dévouement des infirmières qui ont soigné les soldats blessés dans les hôpitaux de guerre et les maisons de convalescence ; - compassion des « marraines de guerre » qui écrivaient et envoyaient des colis aux soldats du front, rendaient visite aux blessés dans les hopitaux ; - courage aussi des femmes des villes qui ont dû pallier le manque de main d'oeuvre dans de nombreux secteurs d'activités, distribuant le courrier, conduisant les tramways, travaillant plus de 10 heures par jour dans les usines d'armement. 1/ L'appel aux Françaises de Viviani « Debout, femmes françaises, jeunes enfants, filles et fils de la patrie. Remplacez sur le champ de travail ceux qui sont sur le champ de bataille. 14-18. in J.
'The Birthmark' - Nathaniel Hawthorne In the latter part of the last century there lived a man of science, an eminent proficient in every branch of natural philosophy, who not long before our story opens had made experience of a spiritual affinity more attractive than any chemical one. He had left his laboratory to the care of an assistant, cleared his fine countenance from the furnace smoke, washed the stain of acids from his fingers, and persuaded a beautiful woman to become his wife. In those days when the comparatively recent discovery of electricity and other kindred mysteries of Nature seemed to open paths into the region of miracle, it was not unusual for the love of science to rival the love of woman in its depth and absorbing energy. Such a union accordingly took place, and was attended with truly remarkable consequences and a deeply impressive moral. "Georgiana," said he, "has it never occurred to you that the mark upon your cheek might be removed?" "Shocks you, my husband!" "None! "And you did dream of it?"