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Euro, banques... Les leçons du président islandais

Euro, banques... Les leçons du président islandais

ÉCONOMIE • Le capitalisme se mord la queue Les travaux de l'économiste Thomas Piketty aboutissent à un sombre constat : les inégalités entre les riches et les pauvres, qui n'en finissent pas de se creuser, compromettent l'avenir du capitalisme et finiront par détruire nos sociétés. Un nouvel économiste crée aujourd'hui la polémique et il n'est pas de droite. Début avril, à la conférence de l'Institute of New Economic Thinking, à Toronto, l'ouvrage de Thomas Piketty, Le Capital au XXIe siècle, a été mentionné au moins une fois à chacune des séances auxquelles j'ai assisté. Il faut remonter aux années 1970, avec Milton Friedman, pour trouver un économiste ayant suscité un tel débat. Comme Friedman, Piketty est un homme de son temps. Piketty est convaincu que le niveau actuel des inégalités de richesse, qui est vouée à augmenter, compromet l'avenir du capitalisme. Des "superpatrons", royalement rémunérés Piketty déploie deux siècles de données pour prouver qu'ils ont tort. L'explosion des investissements immobiliers

La leçon de l'Islande pour Chypre: la patience après la crise bancaire - LExpress.fr L'île volcanique avait un peu le même problème que Chypre, avec des banques d'une taille démesurée par rapport à son économie. Quand elles se sont effondrées en 2008, elle a décidé, comme Chypre en 2013, d'en laisser faire faillite. "Il y a des similitudes: certains déposants ont été mis à contribution après ce qui était dans le fond la même histoire, la débâcle d'un secteur financier qui était extrêmement grand", relève Jacob Kierkegaard, économiste au Peterson Institute de Washington. Tout s'est joué en très peu de temps en Islande. Le 15 septembre 2008, quand la banque d'affaires américaine Lehman Brothers fait faillite, les marchés mondiaux du crédit sont gelés du jour au lendemain. Pour les trois grandes banques islandaises (Glitnir, Landsbanki, Kaupthing), c'est rapidement la faillite qui menace. Le gouvernement choisit la manière forte, et obtient du Parlement l'autorisation de prendre le contrôle de ces banques. "L'Islande est un précédent. "L'investissement est au ralenti (...)

Where the World's Unsold Cars Go To Die In the past several years, one of the topics covered in detail on these pages has been the surge in such gimmicks designed to disguise lack of demand and end customer sales, used extensively by US automotive manufacturers, better known as "channel stuffing", of which General Motors is particularly guilty and whose inventory at dealer lots just hit a new record high. But did you know that when it comes to flat or declining sales and stagnant end demand, channel stuffing is merely the beginning? Presenting... Where the World's Unsold Cars Go To Die (courtesy of Vincent Lewis' Unsold Cars) Above is just a few of the thousands upon thousands of unsold cars at Sheerness, United Kingdom. Timestamp: Friday, May 16th, 2014. There are hundreds of places like this in the world today and they keep on piling up... Houston...We have a problem!... Below is an image of a massive car park at Swindon, United Kingdom, with thousands upon thousands of unsold cars just sitting there with not a buyer in sight.

Crise Islandaise : «Certaines décisions sont porteuses de leçons» Krisprolls. N’est-il pas un peu tôt pour parler d’un sauvetage de l’Islande ? Pascal Riché. Fkfkfk. P. Ce qui est vrai, c’est qu’elle a suivi une voie bien à elle pour sortir de la crise, et que le peuple a réussi à faire pression sur le gouvernement pour d’abord le faire tomber, puis pour orienter sa politique. Warg. P. Quand vous regardez ce qui se passe aux Etats-Unis, où des gens sont jetés à la rue, et où les banques se retrouvent avec des maisons vides sur les bras, ce n’est clairement pas la bonne méthode. Soum. P. Tyrion. P. Jojen. P. Jok. P. Volcano. P. Macareux d’Islande. Beep. P. Yves. P. James. P. Fjordbouillant. P. Gffg. P. Simonbriens. P. Euul. P. Julien L. Nomsi. P. Lili. P. Erlendur. P. Anticapitaliste. P.

Pourquoi l’Islande a tourné le dos à l’Union européenne LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Jean-Pierre Stroobants (Bruxelles, bureau européen) et Cécile Ducourtieux (Bruxelles, bureau européen) L’Islande n’entrera pas dans l’Union européenne (UE) et n’adoptera pas l’euro : Reykjavik a fait savoir officiellement à la Lettonie, qui préside actuellement le Conseil européen, et à la Commission de Bruxelles, qu’elle retirait sa candidature à l’adhésion. « L’Islande n’est plus un pays candidat et demande à l’UE d’agir en conséquence », a indiqué ce courrier, jeudi 12 mars. Vendredi matin, la Commission ne réagissait pas. « Nous examinons le dossier, cela va prendre du temps », commentait une porte-parole de Federica Mogherini, la haute représentante et vice-présidente de la Commission. Bruxelles ne voit pas d’un bon œil ce retrait, qui est un signal plutôt négatif et dénote de la perte du pouvoir d’attraction de l’ensemble communautaire, ainsi que de la monnaie unique. En six ans, l’UE a perdu son pouvoir d’attraction

L'idée choc étudiée en Islande : et si on retirait aux banques la capacité de créer de la monnaie ? Décidément, l'Islande est le pays de la créativité financière. Après avoir montré, en 2009, qu'il existait bien une alternative au transfert de la dette bancaire vers la dette publique, l'île nordique pourrait s'apprêter à réaliser une grande expérience monétaire. Le 31 mars dernier, en effet, le président du comité des affaires économiques de l'Althingi, le parlement islandais, Frosti Sigurdjonsson, a remis un rapport au premier ministre, Sigmundur Gunnlaugsson, sur la réforme du système monétaire islandais. Et c'est une véritable révolution qu'il propose. L'absence de maîtrise de la banque centrale sur le système monétaire Le rapport cherche en effet à réduire le risque de bulles et de crises dans le pays. Comment fonctionne le système actuel Dans le système actuel, ce sont en effet les banques commerciales qui créent l'essentiel de la masse monétaire, en accordant des prêts à discrétion. Le cas de la zone euro en est une preuve. Une idée ancienne Cette idée n'est, en réalité, pas neuve.

L'Islande tourne définitivement la page de la crise L'Islande veut définitivement tourner la page de la crise. Lundi 8 mai, le Premier ministre islandais, Sigmundur Davíð Gunnlaugsson, a annoncé qu'il engageait la levée du contrôle des capitaux qui avait été instauré en pleine crise, voici près de six ans et demi. Une opération risquée et qui sera un test décisif pour prouver si la stratégie suivie par l'Islande - une stratégie peu orthodoxe au regard de la plupart des économistes - était la bonne. Les sources de la crise Pour comprendre la situation de l'île nordique, il faut revenir aux sources de la crise. L'instauration du contrôle des capitaux L'Etat islandais ne peut évidemment pas faire face. Une première tentative de règlement A Reykjavik, le nouveau gouvernement de centre-gauche négocie alors avec Londres et La Haye. Le peuple islandais refuse de payer 93 % des votants rejettent en mars 2010 le projet d'accord. Limitation des effets de la crise Doper la croissance Risques d'une crise des changes Maîtriser la chute de la couronne

Islande : pourquoi les "Panama Papers" ont fait tomber le Premier ministre Sigmundur Davíð Gunlaugsson, le Premier ministre islandais, a finalement cédé. Mardi 5 avril, il a annoncé qu'il démissionnait après avoir rencontré le président du pays et lui avoir demandé de convoquer de nouvelles élections. Le chef du gouvernement islandais est un des six dirigeants politiques mondiaux en exercice directement cité dans les « Panama Papers ». Lundi 4 mars au soir, une manifestation demandant sa démission a réuni entre 10.000 et 20.000 personnes pour une population totale de 330.000 âmes dans les rues de la capitale, Reykjavik. L'affaire islandaise L'enquête "Panama Papers" a révélé une rumeur qui circulait depuis plusieurs jours dans l'île nordique : la femme du chef du gouvernement, Anna Sigurlaug Pálsdóttir a utilisé en 2007 une société basée aux Îles Vierges Britanniques, Wintris, pour y placer sa fortune personnelle, issue de la vente de la vente de l'entreprise personnelle qui détenait le monopole de la vente des automobiles Toyota en Islande. Discours discrédité

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