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Les pauvres fraudent dix fois moins que les riches

Les pauvres fraudent dix fois moins que les riches
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Nigerian student Ufot Ekong solves 30-year-old maths equation and breaks academic record at Japanese university - Africa Ufot Ekong, who studied at Tokai University in Tokyo, achieved a first class degree in electrical engineering and scored the best marks at the university since 1965, the Flotilla Magazine reported. He began his success early at the university, solving a 30-year-old maths equation in his first semester. Throughout his university career Mr Ekong won six awards for academic excellence. The mathematician worked two jobs alongside his studies to pay his way as a student. Mr Ekong also speaks English, French, Japanese and Yoruba and won a Japanese language award for foreigners. Tokai University is a prestigious private university based in the Japanese capital, which was founded in 1924.

Au squat-cantine des Pyrénées, menu à 5 euros et police au dessert Intervention policière à La Cantine des Pyrénées, dans le XXe arrondissement de Paris, 19 mars 2013 (Pascal Riché/Rue89) Parfois, c’est l’actualité qui vient à Rue89, et pas l’inverse. En 2009, la pépinière d’entreprises où nous étions installés rue des Haies, dans le bas du XXe arrondissement de Paris, avait été occupée par les mal-logés en colère. Voilà La Cantine des Pyrénées, un squat organisé en « cantoche qui veut changer le monde » comme l’écrit Guillemette Faure dans Le Monde magazine, prise pour cible d’un impressionnant dispositif policier. Cela se passe toujours sous nos fenêtres, mais cette fois rue des Pyrénées, où la rédaction a déménagé en mars 2010. Monroe et Chaplin, reliques du Bar des amis Le principe du lieu est simple : le plat est à 3 euros, le menu complet à 5 euros et « le reste est gratuit » : les cours de français, le ciné-club, les ateliers d’écriture... Le (maigre) stock d’alcool photographié « Ils cherchent un moyen de nous faire chier » L’expulsion 48 heures

Actualité philosophique : Isabelle Thomas-Fogiel Les Nouveaux chemins de la connaissance se terminent comme tous les vendredis par une émission consacrée à l'actualité philosophique. Aujourd'hui, nous recevons Isabelle Thomas-Fogiel pour son livre Le lieu de l'universel paru aux éditions du Seuil. Isabelle Thomas-Fogiel MC © Radio France Références musicales: - Astor Piazzolla, Las quatro estaciones porteñas - Marvin Gaye, Ain’t nothing like the real thing - Jacques Offenbach, Les contes d’Hoffmann Jour et nuit je me mets en quatre (Acte III) Air de Frantz Lectures: - Isabelle Thomas-Fogiel, Le lieu de l’universel (Seuil, 2015) Extraits : - Hubert Damish, émission Le bon plaisir (13/06/1992) - Jean-Luc Marion, émission A voix nue (26/01/2010) - Quentin Meillassoux émission Sciences et conscience (28/06/2007) - Peter Hacker dans Les NCC du 6 juin 2013 : Philosopher à Oxford aujourd’hui Aux corps prochains (Sur une pensée de Spinoza © Charles H. Par Adèle Van Reeth

emergencetoulouse | entrezone culturelle autogérée This Startup Gives Poor People A Year's Income, No Strings Attached (Photo: GiveDirectly) A person whom Teresa had never met showed up at her home one day with a remarkable offer. Teresa and her family would receive what amounted to a year's income, in cash. Nothing was owed in return. She did not have to repay the money, and her family could spend it however they wished. Teresa was at a loss. This scenario has played out thousands of times. Yet, dollar-for-dollar, analysts say GiveDirectly is among the most effective organizations in the world trying to eliminate extreme poverty. Teresa, her husband Odhiambo, and their family. How it works. Since launching in 2011, the group has distributed about $15 million to communities in Kenya and Uganda. Once GiveDirectly has selected a village based on publicly-available poverty data, it uses an ingeniously simple method to identify who will receive money: it enrolls households who live in homes built with thatched roofs and mud floors (as opposed to corrugated metal roofs or concrete floors).

Les méthodes de l’action nonviolente Chacune des méthodes indiquées ci-dessous a été mise en oeuvre au cours de l’Histoire et a fait l’objet d’études publiées dans le tome II de The Politics of Nonviolent Action (Porter Sargent Publishers, Boston, Ma. 02108). Méthodes de protestation et de persuasion nonviolente Déclarations formelles 1. Communications à de larges audiences 7. Représentations de groupe 13. Actes publics symboliques 18. Pressions sur les individus 31. « Visites » récurrentes à des fonctionnaires32. Théâtre et musique 35. Processions 38. Commémoration des morts 43. Rassemblements publics 47. Retrait et renonciation 51. Méthodes de noncoopération Noncoopération sociale Ostracisme de personnes 55. Noncoopération avec évènements, coutumes et institutions sociales 60. Retrait du système social 65. Noncoopération économique : boycotts économiques Action par les consommateurs 71. Action des travailleurs et producteurs 78. Action des intermédiaires 80. Action des propriétaires et dirigeants 81. 86. Action des gouvernements 92. 97. 99.

Quatre nobles vérités Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La première noble vérité : Dukkha[modifier | modifier le code] La première noble vérité est que l'existence conditionnée, l'existence que nous connaissons, est imbue de souffrances : la naissance est une souffrance, la vieillesse est une souffrance, la maladie est une souffrance, la mort est une souffrance, être uni à ce que l'on n'aime pas est une souffrance, être séparé de ce que l'on aime est une souffrance - et, finalement, les cinq agrégats (skandhas) d'attachement (à savoir la forme, la sensation, la perception, la volonté et la conscience) sont aussi des souffrances. Ce terme de souffrance est aussi traduit par l'insatisfaction, puisque ce qu'il désigne est bien au-delà de la douleur physique. Le mot « dukkha » (duḥkha en sanskrit) est souvent traduit par « souffrance » ou « douleur »[3], ce qui est réducteur. La deuxième noble vérité : Samudaya[modifier | modifier le code] La quatrième noble vérité : Magga[modifier | modifier le code]

CQFD, mensuel de critique et d'expérimentation sociales Elle n'a que 9 ans, et passe son temps libre à construire des petites maisons pour sans abris Nous vous parlions hier de Christian McPhilamy, ce jeune homme de huit ans qui se laissait pousser les cheveux pour les offrir à des enfans malades. Aujourd'hui, place à au coeur d'un squat expulsable Réquisition, expulsion. Réquisition, expulsion. Invisibles pendant ces temps forts parfois médiatiques, des familles sans hébergement sont ballotées au gré des expulsions et de l’ouverture de nouveaux locaux. Une escale au milieu de la rue C’est un immeuble de quatre étages datant des années cinquante comme on en trouve des dizaines dans le quartier des Minimes. Au premier, on trouve Igor* et Vassili*, d’origine Bulgare. A l’évocation du mot « police », son fils sort de la chambre en courant : « Qu’est-ce qu’il se passe ? Droit à l’hébergement opposable et en squat La peur de l’arrivée de la police est omniprésente, l’immeuble étant officiellement en procédure d’expulsion pour conduire à sa démolition. Venue en France pour faire soigner son mari souffrant d’un lourd handicap, Fatima et son fils de cinq ans vont de squat en squat depuis 14 mois. Repartir vivre dehors C’est la question que se posent Miglena, son mari et ses deux enfants. * Les prénoms ont été changés Google+

R)évolutionnez l’éducation le CREA réquisitionne 5400m2 innocupés depuis six ans (Actualisé) Une semaine après leur expulsion, les militants du CREA ont réquisitionné des locaux de 5400m2 vides et inoccupés depuis six ans à quelques mètres à peine de leur ancien squat. Ils espèrent pouvoir l’occuper tout l’hiver. >> Actualisé avec la réaction de Jean-Luc Moudenc, député UMP de la Haute-Garonne le 11 septembre 2012 à 19h24 « On est à 50 mètres à peine à vol d’oiseau (de l’ancien bâtiment occupé, ndlr). Cela montre bien qu’en terme de gestion du patrimoine il y a un problème ». Cuisine équipée, salle de réunion et moquettes de direction Inhabités depuis toutes ces années, les locaux semblent pourtant en bon état. Dans les étages, les bureaux vides se succèdent, le nom de leurs derniers occupants parfois encore inscrits sur les portes. « C’est une nouvelle expérience commune, on devrait être aux alentours d’une centaine de personnes. Un lieu commun à différents collectifs, une première Le lieu, s’il venait à perdurer, s’annonce comme une nouveauté. Google+

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