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Les alternatives aux pesticides se développent partout… sauf en France - Modèle agricole

Les alternatives aux pesticides se développent partout… sauf en France - Modèle agricole
En France, le développement des alternatives naturelles aux pesticides reste un parcours du combattant. La faute aux règlements européens, affirme le ministère de l’Agriculture. Les préparations à base de composants naturels s’échangent pourtant sans problème dans plusieurs pays européens. « Vous voyez cette préparation ? La grande fierté de l’entreprise familiale est d’être parvenue à soigner par les plantes des vignes abîmées par la grêle, ou à épaissir et rendre plus vigoureux les sarments. Espagne-France : 1-0 En France, la réglementation est beaucoup plus complexe et coûteuse : la commercialisation de ces préparations requiert l’inscription de leurs substances actives sur une liste communautaire, au même titre que les produits chimiques. 40 000 euros, c’est le coût moyen pour le dépôt d’un dossier. Qu’en disent les autorités gouvernementales espagnoles ? Le modèle allemand Un retard très critiqué par l’AEFA, une association de producteurs industriels de fortifiants. Sophie Chapelle

Ce jardinier réinvente l'agriculture sur moins d'un hectare Comment êtes-vous devenu un maraîcher militant ? J’ai grandi dans la banlieue de Montréal dans un endroit pas totalement bétonné, mais où les maisons se ressemblent toutes. (…) L’écologie ne m’intéressait pas particulièrement. C’est à 18 ans que j’ai découvert la beauté et la fragilité du monde, dans les grandes forêts de Colombie britannique. Ce voyage m’a orienté vers des études d’écologie. Si on ne la protège pas, elle devient du béton. Vous dites de vous que vous êtes un fermier de familles, qu’est-ce au juste ? - Maude-Hélène et Jean-Martin Fortier au marché de Saint-Armand - Je sais que mes légumes sont très importants dans leur vie. Comment produit-on de tels légumes ? Notre projet de ferme est basé sur la vie dans le sol. Comment entretenez-vous la vie dans votre sol ? - Au milieu d’un champ de pois - Si on vient toujours bouleverser le sol, on dérange, voire on empêche ce travail que la nature fait gratuitement. Vous ne touchez jamais le sol ? Est-ce un modèle reproductible ?

de carnivore à végétar(l)ien · Econologie – fruits secs, marron, etc. – légumes de saison – fruits de saison – jus de soja (ou autre) Bio ET français – pensez aux confitures (châtaigne, etc.) – exceptionnellement : œuf bio, fromage (par exemple lors de repas festifs, ou chez les amis pour remplacer la viande-poisson) N.B. : on peut jouer sur les textures des aliments, ainsi qu'entre le cru et le cuit que l'on mélange... N'hésitez pas dans les compositions : par exemple, incorporez des marrons dans une macédoine de légumes, des risins ou abricots secs dans le riz, et TOUJOURS les salades + légumineuses, etc. CONCLUSION => AU FUR ET A MESURE : L'épicurisme* rentre véritablement en jeu à mesure que l'on apprend à reconnaître les sensations corporelles. En 6 mois, il est facile de diminuer tous les usages de produits dérivés du traitement des animaux (manger souvent des œufs, boire du lait encourage toujours le traitement productiviste et donc les exploitations animaux et sols).

Se débarrasser des fourmis naturellement Les fourmis peuvent parfois vite devenir encombrantes! Bien qu’elles soient petites, leur nombre très important les rend vite dérangeantes! Surtout quand elle rentre dans la maison. Voici quelques astuces naturelles pour s’en débarrasser. Quelques gestes simples Arrêtez de les nourir Une des raisons qui pousse les fourmis à vous envahir, c’est qu’elles trouvent de la nourriture. Supprimez les éclaireurs Vous remarquerez parfois des éclaireurs, fourmis seules, qui inspectent la zone avant de retourner au nid. Bouchez les passages Souvent les fourmis exploitent une fissure, un joint abîmé, un petit trou sous les fenêtres. Sans les tuer Parce que les fourmis sont des êtres vivants et qu’elles participent à un équilibre naturel, il est important de commencer par essayer des les faire fuir et les repousser avant de penser à les tuer. Le citron ou le vinaigre Les fourmis n’aiment pas ces produits à forte odeur et s’en éloigneront. Le basilic L’odeur forte du basilic dérange les fourmis. crédits photo:

Maintien à l'agriculture biologique et projets de la ferme paysanne. Bienvenue sur cette cagnotte ! Ici vous pouvez directement et en un clic, participer à cette cagnotte. Chacun participe du montant qu'il souhaite.Tous les paiements sont sécurisés. Le blog de la ferme : Page Face Book de la ferme : Bonjour à tous. Atteindre le seuil de 35 000 soutiens, avec ces messages tous tellement émouvants chargés d'éthique, de bon sens et d'humanisme, pendant le Salon de l’Agriculture 2015, juste avant la rencontre avec le Ministre de l’Agriculture, Stéphane Le FOLL et le spécialiste de la PAC à son cabinet, a donné encore plus de force , de crédibilité et de légitimité aux propos de Benoît Biteau. Voir la vidéo conférence de presse avant le salon : Voici également un lien court vers la pétition sur Change.org : www.change.org/benoitbiteau Pensées humanistes, Merci,

Une semaine sans pesticides, c'est vraiment possible? A quoi ressemblerait une semaine sans pesticides? Ces produits chimiques pénètrent dans l'organisme par la voie cutanée, digestive ou voie respiratoire. L'Inserm a prouvé, dans une étude publiée en juin 2013, le lien entre l'exposition à certaines de ces substances et plusieurs cancers ou encore la maladie de Parkinson, ainsi que des retards de développement chez l'enfant. Comment se prémunir de ces pesticides au quotidien? Lundi: facile Je prépare mes menus de la semaine avec des fruits et légumes achetés la veille au marché bio. Mardi: l'épreuve de la restauration collective A la cantine, rien ne m'indique que le contenu de mon assiette est bio. Mercredi c'est phobie Je rends visite à une amie pour me vanter: à part l'expérience -ratée- de la cantine, ma semaine zéro pesticide s'annonce vraiment simple. Jeudi: tiques et puces Je suis invitée à dîner chez des amis branchés bio, j'accepte sans me poser de questions. Vendredi sur la pelouse Samedi, c'est jardinerie Dimanche docu

Pour la biodiversité, adoptons les bonnes vieilles méthodes agricoles, propose l'ONU Pour préserver la biodiversité, il faut redécouvrir des modes d’agriculture ancestraux plus respectueux de l’environnement. C’est ce qu’affirme l’IPBES, organisme de l’ONU chargé de prévenir l’extinction des espèces. L’Organisation des Nations Unies a récemment formé sur le modèle du GIEC (Groupement intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat), la « Plate-forme intergouvernementale sur la biodiversité et les services éco-systémiques » (IPBES), un groupe de cent quinze pays qui doit tenter de faire baisser le rythme de l’extinction des espèces dont la croissance est exponentielle (cent à mille fois plus rapide que le taux naturel d’extinction). Durant des réunions en Turquie qui se terminent le 14 décembre, le groupe a découvert une stratégie dont il espère beaucoup, pour protéger la biodiversité : le retour aux systèmes traditionnels de l’agriculture et de la gestion des terres. Quelle découverte ! Photo : Chine informations

La nourriture du futur que nous concocte l’industrie agroalimentaire - Menu de synthèse En entrée : une saucisse de glu de porc malaxée Cela ressemble à de la guimauve rose liquide. Cette mixture de viande est obtenue en passant les carcasses de poulet ou de porc dans une centrifugeuse à haute température, ce qui permet de récupérer le moindre morceau de barbaque. Les tendons, graisses, tissus conjonctifs sont transformés en pâte. À l’arrivée dans l’assiette, le « lean finely textured beef » (bœuf maigre à texture fine) est utilisé depuis quinze ans « sans restrictions » aux États-Unis. Petit détail : ce hachis liquide provient des parties les plus prédisposées à la bactérie E.coli et aux salmonelles. Ce pink slime – ou « glu rose », tel qu’il a été rebaptisé par ses détracteurs – a déclenché récemment une tempête aux États-Unis. En plat : la « viande séparée mécaniquement » Pourquoi l’agro-industrie se donne-t-elle tant de mal ? En France aussi, on pratique le « VSM », pour « viande séparée mécaniquement ». Où trouver cette appétissante substance ? Son avantage ?

Lutter contre les pucerons ? Il y a la coccinelle, bien sûr, mais pas seulement… Avec le printemps et l’éruption de tendres pousses sur nos rosiers, arbustes et arbres fruitiers, un nouvel ennemi envahit les jardins ces temps ci : le puceron. Et chaque jardinier de sortir son arsenal de lutte : pulvérisations en tous genres, aspersions, et, pour les plus avertis, lâchers (ou poser) de coccinelles. C’est une bonne idée d’inviter ces insectes au jardin et de leur permettre de s’y installer durablement, mais on peut pousser plus loin cette réflexion. En effet, la coccinelle, ou Bête à bon Dieu, comme on l’appelait autrefois, est loin d’être le seul insecte efficace contre les pucerons. Il existe de nombreux autres auxiliaires qui peuvent aider le jardinier, pourvu qu’on les y invite. Comme beaucoup d’insectes, la coccinelle passe par des métamorphoses. Les larves Voici quelques photos de larves de coccinelles prises au Jardin des Merlettes. Et c’est toujours un spectacle rassurant pour le jardinier que la vue d’un groupe de larves en action sur une pousse de pommier !

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