Internet nous rend-il seul ? Non !
« Nous vivons dans un isolement qui aurait été inimaginable pour nos ancêtres, et pourtant nous n’avons jamais été plus accessibles » via les technologies de la communication et les médias sociaux, estime l’écrivain Stephen Marche pour The Atlantic. La montée de la solitude ? Selon lui, nos médias sociaux interfèrent avec nos amitiés réelles. Pour preuve, Stephen Marche (@StephenMarche) en appelle aux travaux du sociologue Erik Klinenberg (@ericklinenberg), auteur de Going Solo : la montée de l’extraordinaire et surprenant appel à vivre seul . Dans son ouvrage, Klinenberg explique que la vie solitaire se développe plus que jamais : 27 % des ménages américains sont composés d’une seule personne, alors qu’on ne comptait que 10 % de foyers composés d’une seule personne dans les années 50. 35 % des adultes de plus de 45 ans sont chroniquement solitaires, estime une étude de l’AARP (voir le détail .pdf), l’association américaine des personnes retraitées (soit 20 % de plus qu’il y a 10 ans).
L'humain augmenté est-il un être diminué ? (Bienvenue dans le monde des rats)
Les inventions modernes sont toujours étonnantes : des chercheurs français viennent de mettre au point un dispositif appelé « Flyviz » qui permet un élargissement du champ de vision à 360 ° grâce à un casque supportant une caméra dirigée vers un miroir hémisphérique. Cette vision panoramique qui permet de voir simultanément devant et derrière comme les mouches aura sûrement des applications pour les militaires ou la vidéo surveillance, même si l’on se surprend à penser que cela évoluera peut-être un jour vers une machine à explorer le temps qui permettrait d’embrasser d’un simple regard le passé comme le futur. D’autres inventions permettent déjà aux aveugles de voir, aux sourds d’entendre, et aux handicapés de marcher ce qui est quasiment la réalisation concrète d’une prophétie biblique (Ésaïe : chapitre 29, verset 18). Télé, bagnole et autres prothèses du sujet moderne D’ailleurs chacun peut à présent constater que ces « automates intelligents » (?) 2 Jean-J.
Réseaux sociaux : de nouveaux dangers pour nos enfants ?
Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Olivier Dumons L'intégralité du débat avec Jacques Henno, auteur du livre Les 90 Questions que tous les parents se posent. Ganon : Pourquoi considérez-vous que ces réseaux puissent être un danger ? Bonjour. lebaro : Pourriez-vous lister les dangers que représentent les réseaux sociaux pour les enfants ? Premier danger : être victime d'un prédateur sexuel.Deuxième danger : le harcèlement de la part d'autres enfants. Le premier danger est réel, mais ne doit pas être exagéré. Le harcèlement : les réseaux sociaux permettent d'échanger des messages. Le vol d'identité : ce phénomène comporte plusieurs degrés. Y passer trop de temps : comme tout outil interactif (le surf, les jeux vidéo...), les réseaux sociaux sont extrêmement chronophages. Comment se protéger ? La pédophilie : les réseaux sociaux du type Facebook permettent de préciser les règles de confidentialité de son profil. Oui, pourquoi pas ? Oui, mais on ne sait pas dans quelle proportion.
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Facebook isole-t-il ou socialise-t-il ?
Dans la littérature du numérique, on distingue deux courants de pensée : ceux qui dénoncent Internet parce qu’il isole les individus au monde extérieur et ceux qui sont convaincus qu’Internet renforce plutôt une certaine sociabilité. Face à ces deux approches d’Internet complètement opposées, difficile de prendre parti : « cette double nature peut à juste titre être regardée comme un facteur de confusion. Comment savoir quelle dimension va prévaloir :celle désocialisante, du média de masse, ou celle qui entretient le lien social, celle du moyen de communication interpersonnelle ? Numérique : un usage qui isole Pour beaucoup, Internet correspond à une inconnue mystérieuse dont on se méfie. Une envie de socialisation Auprès des anti-Internet, on peut deviner qu’une hiérarchie est faite entre outils de communication. L’existence d’un réseau réel prédisposerait ainsi les utilisateurs à passer beaucoup de temps sur Internet. Notions de sociabilité Relations interpersonnelles Extension de réseau
Quand la technologie remplace la discussion…
La lecture de la semaine, il s’agit d’un article de USA Today publié le 30 décembre dernier, sous la plume de Sharon Jayson. Il m’est arrivé par un auditeur de Montréal, que je remercie au passage. Et il s’intitule : “2010, l’année où la technologie a remplacé la discussion”. L’article commence par constater que les Américains sont connectés à un niveau sans précédent. 93 % d’entre eux utilisent des téléphones portables ou des outils de connexion sans fil… Les avantages sont évidents : on peut rester en contact avec ses amis et sa famille, et utiliser à bon escient les moments d’attente, par exemple, pour discuter avec eux. L’inconvénient : on se déconnecte de fait des gens qui sont dans la même pièce que nous. C’est pourquoi, malgré toutes ces technologies qui nous permettent de communiquer plus facilement, 2010 est l’année où l’on a arrêté de se parler les uns aux autres. Je trouve assez intéressant l’écart entre le titre et ce que raconte le papier. Xavier de la Porte
Quand la technologie devient l’architecte de notre intimité
« Combien de fois par jour vérifiez-vous votre e-mail ? Dès votre réveil ? Avant de vous coucher ? Une douzaine de fois entre les deux ? Si vous êtes comme beaucoup d’entre-nous, le clignotant rouge de votre BlackBerry est la première chose que vous voyez chaque matin – vous avez un message ! – et la dernière lumière à disparaître quand vous vous endormez », rappelle Jessica Bennett pour Newsweek. On ne présente plus l’ethnographe et psychologue Sherry Turkle directrice du département sur la technologie et l’autonomie du MIT et auteur de nombreux livres dont La vie à l’écran sur l’identité à l’heure de l’internet (1995), ou La simulation et son malaise (2009). Image : Sherry Turkle photographiée par Jean-Baptiste Labrune en mars 2009. Notre attention et nos sentiments entrent en conflit avec les machines Certes, la technologie, malgré ses défauts, rend la vie plus facile. « Mais pouvons-nous vraiment changer nos habitudes ? Des exemples dramatiques font-ils pathologie ?
Facebook est de nous faire seul? - Stephen Marche
Yvette Vickers, a former Playboy playmate and B-movie star, best known for her role in Attack of the 50 Foot Woman, would have been 83 last August, but nobody knows exactly how old she was when she died. According to the Los Angeles coroner’s report, she lay dead for the better part of a year before a neighbor and fellow actress, a woman named Susan Savage, noticed cobwebs and yellowing letters in her mailbox, reached through a broken window to unlock the door, and pushed her way through the piles of junk mail and mounds of clothing that barricaded the house. Upstairs, she found Vickers’s body, mummified, near a heater that was still running. Her computer was on too, its glow permeating the empty space. The Los Angeles Times posted a story headlined “Mummified Body of Former Playboy Playmate Yvette Vickers Found in Her Benedict Canyon Home,” which quickly went viral. Also see: Live Chat With Stephen Marche The author will be online at 3 p.m.
Présences en ligne – Blog du Master Info-Com UHA » Internet et cerveau humain : quels impacts ?
Internet, toujours plus présent dans notre quotidien, modifie nos façons de jouer, de communiquer, de mémoriser et d’apprendre. Etre déconnecté, c’est comme marcher dans la rue les yeux fermés Jean-Philippe Lachaux, chercheur de l’Inserm La carte cérébrale de notre utilisation du Net Le magazine « La Recherche » (n° 467, septembre 2012), a publié un article intitulé « Internet modèle-t-il notre cerveau ? Grâce aux différentes cartes cérébrales suivantes, vous verrez que même si notre cerveau est modelé par l’usage d’Internet, selon l’activité effectuée, les zones cérébrales activées ne seront pas identiques. Recherches d’informations Participer aux réseaux sociaux Réaliser plusieurs tâches en même temps – La multiactivité Jouer à des jeux vidéo Pour en savoir davantage sur ce sujet, rendez-vous sur l’article « Comment Internet modifie notre cerveau ? Source