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Les conditions de travail attaquées chez Renault

Les conditions de travail attaquées chez Renault
Les avocats des familles de trois salariés « suicidés » du Technocentre de Renault à Guyancourt (Yvelines) ont mis en cause hier, lors d'une conférence, la responsabilité de l'ex-employeur de leurs proches. Antonio, Hervé et Raymond travaillaient plus de 10 heures par jour, se remettaient souvent à plancher sur leur ordinateur portable le soir et ne dormaient que trois ou quatre heures par nuit.

«Chez Renault, les conditions de travail vont se dégrader» Après l'annonce de 7 500 suppressions de poste chez Renault, principalement par des départs en retraite non remplacés, les syndicats tentent d'évaluer les conséquences pour les salariés du constructeur automobile. «Renault aura-t-il encore les moyens de créer de nouveaux véhicules ?», s'interroge Alain Tailleur, délégué CGT au centre de recherche du constructeur. (Photo DR) Quelles seront les conséquences des suppressions de postes pour les salariés de Renault ? Vu la pyramide des âges de Renault, les départs naturels annoncés auront lieu, mais ils ne seront pas remplacés. Renault négocie actuellement avec les syndicats une modulation des salaires et du temps de travail contre la promesse de ne pas fermer l’usine. Selon la direction, la non-fermeture d’usine est liée à la durée de l’accord, qui doit être conclu à la fin du mois et durer quatre ans. Comment les salariés vont-ils réagir ? C’est difficile à dire. Recueilli par Dominique ALBERTINI

Le bon stress n'existe pas ! Qu'on se le dise dans les hautes sphères de l'entreprise : le bon stress n'existe pas ! Une étude menée par l'Institut de Médecine Environnementale en partenariat avec l'Institue of NeuroCognitivism (INC) et TNS Sofres auprès de 7000 actifs dans 5 pays et s'appuyant sur 25 années de recherche a analysé le stress au travail selon ses trois dimensions : l'individu, l'organisation et le management. De quoi réconcilier une bonne fois pour toute, les syndicats pour lesquels la dimension organisationnelle et managériale prône sur celle de l'individu et les dirigeants qui préfèrent taire cette dernière pour en faire un sujet strictement personnel. Premier facteur de stress : l'hyperinvestissement au travail Plus préoccupant, un actif sur trois souffre de stress, d'épuisement psychologique et/ou de perturbation du sommeil à cause du travail, un sur 4 estime que son travail dégrade sa santé. Les cadres, une population à risque Individu, organisation et management, le trio infernal

L'activité humaine: charge ou ressource de La Poste : un suicide reconnu comme "accident du travail" (CGT) Le suicide d'un cadre de La Poste en février a été reconnu comme "accident du travail" par la Caisse primaire d'assurance maladie (CPAM) du Val de Marne. L'information a été donnée, ce mardi 31 décembre, par la CGT. Le syndicat rappelle que fin septembre, l'inspection du travail avait estimé dans un courrier adressé au Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT), que ce geste avait "bien un lien fort" avec le travail. L'inspecteur du travail avait expliqué qu'en octobre 2012, cet ancien journaliste au Figaro, qui travaillait à la direction de la communication, s'était vu confier l'intérim de la direction des médias internes, ce qui avait été "une période éprouvante et très anxiogène pour lui". Elle ajoute que l'entreprise "ne partageait pas toutes les conclusions de l'enquête sur l'organisation du travail dans le service de son collaborateur", mais qu'elle "a la ferme volonté de continuer à renforcer ses actions de prévention pour tous les postiers".

La mixité dans les entreprises Stress professionnel: les conditions de travail  : Durée du travail | Stress | Mieux-Être Travailler plus de onze heures par jour accroît le risque de dépression, autant que le chômage. Le travail a un effet protecteur sur la santé mentale, mais dans certaines limites seulement. On sait depuis longtemps que le risque de dépression est multiplié par deux en cas de chômage: 16 % de risque pour un chômeur ou un inactif, contre 8 % pour un actif. Les résultats prennent en compte d'autres facteurs de risque de dépression connus tels que l'âge, le statut marital, la consommation d'alcool ou le statut socio-économique Les taux de suicide sont plus élevés chez les personnes sans emploi que chez les individus actifs. Ce n’est pas seulement le temps de travail qui influence le risque, mais également le type de labeur effectué. Par ailleurs, le fait que l'exclusion du monde du travail aggrave les risques dépressifs n'est pas tellement surprenant: les sociologues ont bien démontré la valeur intégratrice et créatrice de lien social du travail.

Les indicateurs qui mesurent l'activité untitled la remuneration et les autres couts liée a

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