Un ado compte extraire 7 millions de tonnes de plastique des océans
Objet flottant non identifié, le navire de Boyan Slat est flanqué de longs bras montés sur des bouées, faisant face à l'immensité. Ce système ne comporte aucun filet, ce qui permettrait de nettoyer les océans non pas en 79 000 ans (comme le prédisaient certains scientifiques) mais en seulement 5 ans ! Une différence qui a de quoi réjouir les militants écologistes les plus désabusés. Les déchets ne seront pas "attrapés" dans des filets, mais déviés par de gigantesques structures. C'est par la force des courants marins que le plastique sera dirigé vers la plateforme de nettoyage, elle-même auto-alimentée grâce au soleil et aux vagues. Durable et rentable Le génie du projet tient aussi au fait que les débris ainsi récupérés permettraient de générer plus d'argent qu'il n'en faut pour construire la plateforme. Une étude de faisabilité est en cours : le projet de Boyan Slat et de son équipe d'ingénieurs a déjà traversé un quart du processus.
Il ne paie ni eau, ni gaz, ni électricité !
Romanèche. Zéro facture d’énergie ! Des toilettes sèches aux panneaux solaires, Frédéric Verne raconte. Un nid d’aigle perché sur les falaises de Romanèche. Ici résident Frédéric Verne, 42 ans, entrepreneur du bâtiment spécialisé dans la rénovation du patrimoine, sa compagne et leur fils de deux ans et demi. Tout petit, Frédéric tombe sous le charme lorsque son grand-père l’emmène en balade et escalade dans le Revermont. En 2001, il rachète une maison de 90 m² sur trois hectares de terrain arboré et pour le moins vallonné. « C’était vraiment « roots » ! Ni eau, ni gaz, ni électricité. « Amener les fluides aurait coûté une fortune. Voilà pourquoi, comment, Frédéric Verne a tenté, et réussi, le pari de l’autonomie totale. L’eau du ciel « J’ai construit une cuve de 10 m³ pour récupérer l’eau de pluie. … et de la fontaine « Pour l’eau potable, on remplit les jerricans à la fontaine du village. 30 litres par semaine, ça nous suffit. Petit coin hi-tech Assainissement nature L’électricité du soleil
AUTARCIE: Habiter, se chauffer, se déplacer, manger, se soigner, s'equiper etc
-Heol : la maison autonome des Baronnets A moins de 10 km de Châteaubriant, il existe une maison autonome en électricité, en eau et surtout en pensée. Cette maison a été construite petit à petit par une famille qui a souhaité résister au prêt-à-porter culturel imposé par l'environnement médiatique. Ce lieu est un réservoir de solutions pour construire un avenir solidaire. chez-alice.fr/vertueux/heo l.htm -EARTHSHIP :Les earthships sont des habitations destinées à l'autoconstruction, dans le but d'édifier des logements respectant la nature à moindre coût, en se basant sur la récupération et le recyclage de matériaux > > > > > -ECODOME :Probablement le mode de construction le moins coûteux, tant pour l'environnement que financièrement. > -GERER l'EAU
L'homme qui vivait sans argent
C'est la vie de Mark Boyle depuis dix-huit mois. Dix-huit mois sans portefeuille. Depuis l'automne 2008, Mark Boyle a jeté son porte-monnaie aux oubliettes. Armé d'un ordinateur qui marche à l'énergie solaire et d'un dentifrice à base d'os de seiche, cet économiste de formation publie son quotidien sur le site du Guardian. Il vit dans une caravane sur le terrain d'une ferme biologique dans laquelle il travaillait. Dans son dernier article publié sur le site du quotidien britannique, Mark Boyle explique comment il s'y prend pour se nourrir sans dépenser un sou. Mark Boyle publie un livre intitulé L'homme sans argent qui relate cette expérience. traduction youphil.com
Yourtes et tipis reconnus par la loi comme habitats permanents…
Le nouveau projet de loi Alur de Cécile Duflot fait entrer l’habitat léger dans les règles d’urbanisme. Le développement et la diversification des alternatives au logement classique : yourte, tipi, roulotte, mobile home, caravane, etc. rendent aujourd’hui nécessaire de revoir la réglementation.L’installation de ces formes d’habitat mobile ou léger peut poser question du fait d’un cadre juridique inadapté. Par exemple, aujourd’hui, il n’existe pas de réglementation concernant les yourtes.
Vivre libre : mode d’emploi de l’autonomie
Attention, il y a déjà de bons articles sur l’autonomie sur le blog, en voici un exceptionnel écrit par “Homme des bois” qui est un habitué du blog. Car c’est bien beau de vouloir se préparer (ou pas) à un éventuel effondrement du système, c’est bien beau de parler d’autonomie énergétique, mais le faire sans réellement savoir par ou commencer rend parfois les choses difficile. Voici donc de bonnes pistes sur le sujet, des liens, des explications qui, j’en reste persuadé, vous serons très utiles le moment venu! Un grand merci à “Homme des bois” pour cet article relativement complet et intéressant. J’espère que ça vous plaira et que ça aidera ceux qui veulent s’y mettre. puis que ça ouvrira les yeux a certains moutons pas enragés du tout qui lieront ça pas hasard. Bonjour à tous.
Tout plaquer à 30 ans pour une vie d'aventures - un cas concret
JiB était cadre et a souhaité tout plaquer pour une vie différente. On lui avait pourtant dit que pour être heureux il fallait de l’argent et un bon boulot. C’est vrai, mais qu’est-ce qu’un bon boulot au fond ? Beaucoup de jeunes sont en souffrance même s’ils gagnent bien leur vie. La sécurité du troupeau ne comble pas tout le monde. Le bonheur est indissociable de la liberté, JiB l’a bien compris et il nous livre ses pensées. Comment tout a commencé ? Par une pensée justement : Rien n’est plus jouissif que de vivre en autonomie pour se sentir LIBRE. Libre d’accomplir ses rêves ! Cette liberté est-elle accessible ? Oui mais en prenant des risques ; en vous mettant en danger. Vous rêviez d’aventures, de jungles, de montagnes et d’espaces vierges quand vous étiez gamin ? En Australie, j’apprend la permaculture Rebel, je quitte la maison à 15 ans malgré mon éducation dans la « haute ». J’obtiens ma maîtrise de droit pour devenir juriste. J’ai préféré tout plaquer ! Moi je ne peux pas. Pire !
Vous avez un poêle? Ça vous dirait de vous chauffer gratuitement tout l’hiver?
Débrouille – Se chauffer : Je suis ravie de pouvoir vous expliquer une manière de pouvoir vous chauffer GRATUITEMENT tout l’hiver et chaque année. Bien entendu, il vous faudra un peu travailler en été mais pas tant que ça… vous allez comprendre! Vous êtes prêt(e)? On y va : Matériel : 1. 2. 3. 4. 5. Comment faire? Prenez deux seaux identiques. Percez le dessous du premier seau aussi… avec une mèche très petite. Placez le seau à trou-trou dans le deuxième seau qui n’a pas de trou. Mettez du carton et du papier dans le seau. Si le papier avec des couleurs vous fait peur, prenez du carton dans le container (du carton sans trace de colle) Recouvrez le tout avec de l’eau. Ensuite mettez le seau à l’abri et laissez macérer une nuit. Le lendemain, enchâssez la scie mélangeuse (Elle est faite maison) dans le manchon de votre perceuse. Réduisez le tout en pâte à papier… Vous allez voir la scie sur le manchon est hyper efficace. Tracez le contour…avec un bic ou un crayon. Quand la pâte sera sèche.
Un anglais a construit sa maison pour 180 euros
Royaume-Uni / / Europe L’année commence et nous pensons déjà aux projets de 2014 … Cependant, un mot bien connu de tous a souvent tendance à retentir ces derniers temps : LA CRISE ! Or, la Green-Team reste à vos côtés pour vous apporter au quotidien des solutions alternatives, et sans plus attendre, c’est avec vous, que nous voulons partager aujourd’hui, l’histoire magnifique et insolite de Michaël Buck, ingénieux agriculteur britannique qui a construit sa maison pour seulement 180 euros soit 150 £ près de Oxford au Royaume-Uni, en seulement 8 mois. Inspiré par la méthode de construction ancestrale de pisé, ou torchis, l’ancien professeur d’art de 59 ans a façonné sable, argile, paille, fumier et eau pour élever les murs. Les 150 livres de frais qu’il déclare ne lui ont servi qu’à acheter des clous et de la paille. Cette maison ne manque pas de charme et même sans électricité, ni eau, ni gaz, la famille Buck trouve son bonheur au quotidien. Mais comment ? Suivez l’exemple …