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Le décrochage scolaire : un défi à relever plutôt qu'une fatalité

Le décrochage scolaire : un défi à relever plutôt qu'une fatalité

La lutte contre le décrochage scolaire - Ministère de l'éducation nationale En vidéo : La lutte contre le décrochage scolaireLutte contre le décrochage scolaire : témoignages Toutes les vidéos sur le décrochage scolaire Vaincre le décrochage : un enjeu de cohésion sociale La lutte contre le décrochage constitue un enjeu majeur humain, social et économique. Le préjudice psychologique du décrochage est important en termes d’estime de soi, de qualité de vie. La non-valorisation des talents est un gâchis pour la société et menace la cohésion sociale. Les jeunes sans diplôme se trouvent plus souvent au chômage, notamment de longue durée, occupent plus souvent des emplois précaires et présentent un état de santé dégradé. Du point de vue économique, le décrochage génère des coûts importants pour la société. Les pays qui ont réussi à réduire significativement le décrochage en ont fait une cause nationale, un enjeu du vivre-ensemble.Le décrochage scolaire n’est pas un phénomène uniforme et homogène. Le décrochage n’est pas une fatalité. Les chiffres du décrochage Prévenir

Dispositifs Relais Les dispositifs relais (classes et ateliers) constituent un des moyens de lutte contre la marginalisation scolaire et sociale de jeunes soumis à l'obligation scolaire. À ce titre, ils doivent contribuer à réduire les sorties sans diplôme ainsi que les sorties précoces. Aussi, il convient d'en réaffirmer les principes en fonction des objectifs que les académies doivent se fixer, en matière de prévention du décrochage scolaire ainsi que dans le cadre de la nouvelle politique de lutte contre l'absentéisme. Certains élèves en rupture plus profonde avec les exigences de la vie des établissements scolaires, ou en voie de déscolarisation, ont besoin d'une prise en charge éducative plus globale, que peut permettre l'internat. L'ensemble de ces dispositifs relais (classes, ateliers et internats) contribuent à atteindre l'objectif de réduction de l'abandon scolaire que la France s'est donné en s'inscrivant dans la « stratégie Europe 2020 ». 1. 1.1 Les principes généraux 1.3 L'action pédagogique 2.

Décrochage : Les microlycées peuvent-ils sauver l'Ecole ? Avec l'intensification de la lutte contre le décrochage, les microlycées sont sous les feux de la rampe. En Ile-de-France, le conseil régional souhaite voir leur nombre doubler. Partout ils apparaissent comme une réponse pour remettre sur les rails une partie des décrocheurs, principalement les "déçus de l'école", ceux que l'Ecole a blessé ou à qui elle refuse toute chance de retour à la normalité après un accident de vie. L'ouvrage d'Eric de Saint-Denis et Nathalie Broux fait découvrir la pédagogie et l'organisation qui font l'originalité de ces structures. Or toutes deux sont aisément transmissibles aux lycées ordinaires. Mis en avant avec la montée de la question du décrochage, les microlycées restent peu connus. L'intérêt de ce livre c'est de donner la parole aux enseignants des microlycées. Partant du récit de vie de trois élèves des microlycées, les auteurs mettent en avant ce qui fonde la pédagogie du raccrochage. Entretien avec Nathalie Broux Cela dépend des structures.

Vaincre l'absentéisme - MENE1102847C La lutte contre l'absentéisme scolaire est une priorité absolue qui doit mobiliser tous les membres de la communauté éducative. Chaque élève a droit à l'éducation, qu'il soit soumis à l'obligation scolaire ou qu'il n'en relève plus. Ce droit à l'éducation a pour corollaire l'obligation d'assiduité qui est la condition première de la réussite et favorise durablement l'égalité des chances. Cette obligation s'impose à tous les élèves. Il importe d'abord que les familles assument pleinement leur autorité parentale, qui est le premier de leurs devoirs. Au sein du nouveau dispositif, la suspension des prestations familiales constitue l'ultime recours, mais son unique objectif est d'impliquer les familles, parfois très éloignées du monde de l'école, dans la scolarité de leur enfant, en améliorant le dialogue entre les parents d'élèves et le reste de la communauté éducative. I - Piloter efficacement la prévention et le traitement de l'absentéisme I.1 Au niveau de l'école ou de l'établissement 1.

Rentrée scolaire 2014-2015 Les chiffres clés de l’éducation nationale Les moyens nouveaux Une ambition pédagogique affirmée pour la réussite de tous les élèves Vers de nouveaux contenus d’enseignement L'essentiel La refondation de l’école de la République se joue maintenant dans les classes. Le nouveau socle et les nouveaux programmes Le socle commun est la référence centrale de l’école. Le Conseil supérieur des programmes (CSP), créé par la loi du 8 juillet 2013, a été saisi dès l’automne 2013. La loi de refondation de l’école donne une nouvelle mission à l’école maternelle. Le nouvel enseignement moral et civique, en développant une morale commune et la capacité de jugement de chacun, vise une appropriation libre et éclairée par les élèves des principes qui fondent la République et la démocratie. Les phases nationales de consultation L’année scolaire 2014-2015 sera marquée par des phases de consultation nationale sur les projets proposés par le CSP, en réponse à la demande du ministre. Automne 2014 Février-juin 2015

L'absentéisme des élèves du second degré Auteur : Sophie Cristofoli, DEPP B3 L’essentiel La proportion d’élèves absents de façon non justifiée quatre demi-journées ou plus dans le mois atteint, en moyenne annuelle, 2,2 % des collégiens, 4,9 % des élèves de lycée d’enseignement général et technologique et 11,8 % d’élèves de lycée professionnel. Le phénomène de l’absentéisme est très inégalement distribué entre les d’établissements. Il touche moins de 1,8 % des élèves dans la moitié des établissements tout au long de l'année et dépasse 11 % dans un établissement sur dix la majeure partie de l'année. Le taux d’absentéisme dépend du calendrier scolaire : il est de 1,8 % en septembre et atteint 5,1 % avril. Les élèves perdent en moyenne 5,4 % de leur temps d’enseignement du fait de leurs absences quel qu’en soit le motif, dont 1,1 % pour absences non justifiées. L'absentéisme lourd reste limité : il touche moins de 1 % des élèves sur l'ensemble des établissements. Chiffres-clés L’infographie Repères Absence non justifiée Absentéisme

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