Le cerveau et les émotions… comment ça marche ? - Harmonie-Spirituelle Mardi 1 mars 2 01 /03 /Mars 16:49 Bonjour, Comment allez-vous ? C'est mardi 01 mars et il fait soleil et plutôt froid ^^ Dans l'article précédent, je vous ai écrit que le cerveau produisait des peptides via des neuropeptides en lien avec une émotion déterminée. Fig 1 : La figure ci-dessus vous montre trois circuits "émotionnels". Les 5 sens amènent l'information au cerveau : Il y a alors 3 possibilités, mettons une personne surprise par un animal. 1. 2. 3. Important : ceci est un descriptif – simplifié –. Il y a 2 circuits (dans le cadre d'une personne équilibrée) pour les émotions, un long et un court. Le court (rouge) : Je l'appelle le circuit court car il déclenche l'émotion instantanément. Par exemple : un chien grande taille, uni couleur, maigre, jeune etc. Le circuit long (bleu) le thalamus réceptionne les informations – mais – il est sous tutelle du néocortex qui décide de dévier l'information vers lui. J'appelle ce circuit long car l'émotion est canalisée, filtrée voire stoppée.
Jean-Léon Beauvois, Les illusions libérales, individualisme et pouvoir social. Petit traité des grandes illusions 1D’une grande érudition, ce livre est un essai à la fois passionné et rigoureux sur notre vie sociale. Le constat de départ est le suivant : nous vivons actuellement dans une sorte d’ambivalence politique avec, côté sombre, une vue très pessimiste sur l’état du monde, sur notre vie démocratique, sur notre avenir, et, côté lumineux, une croyance aveugle en l’excellence de notre système politique et de nos valeurs. La thèse défendue est originale, courageuse et, à tout le moins, politiquement incorrecte : si nous sommes mieux lotis que d’autres, il ne faudrait pas croire que nous avons atteint – nous, ressortissants de ce qu’on appelle « les démocraties » – une sorte de perfection susceptible de servir d’exemple, ici ou là, de par le monde. L’argumentation se construit autour trois points. 4Troisièmement, l’auteur évoque notre renoncement au progrès. 6Voilà pour le fond.
Le cerveau partagé entre peur et panique -- La Science de l'Esprit Cette étude de l'Université de l'Iowa identifie 2 zones différentes du cerveau associées à la peur liée à une menace externe ou interne. La recherche publiée dans l'édition du 3 février de la revue Nature Neuroscience montre que l'amygdale n'est pas le seul gardien de la peur dans le cerveau humain. D'autres régions, comme le tronc cérébral, le diencéphale, ou encore le cortex insulaire sont à l'origine de signaux internes de danger et de panique lorsque la survie est menacée. Lorsque ces chercheurs de l'Université de l'Iowa demandent à une patiente d'inhaler une dose de dioxyde de carbone - qui va induire la panique-, elle n'a peur de rien. Mais après quelques secondes d'inhalation, elle se met à appeler au secours sous le coup de la suffocation. Or cette patiente est atteinte d'une maladie extrêmement rare appelée maladie de Urbach-Wiethe qui a causé d'importants dégâts à l'amygdale, cette région du cerveau connue pour son rôle dans la peur.
Notre cerveau reptilien nous pousse à faire le mal Le cerveau serait divisé en trois couches : le cerveau limbique, centre des émotions ; le néocortex, siège de la pensée ; et le reptilien, le plus archaïque. C'est cette partie de notre encéphale que nous aurions héritée de nos lointains ancêtres les reptiles, et qui serait dédiée à l'instinct. Cette théorie, que le neurophysiologiste américain Paul MacLean a formulée dans les années 1960, est fausse et tombée en désuétude. En effet, le contrôle des émotions n'est pas localisé, chez les humains, au sein d'une seule couche intermédiaire du cerveau. "Penser que notre part reptilienne nous pousse à faire le mal est un mythe hérité des récits de la chute de l'Éden, où le mal prend précisément l'apparence du serpent. Cette légende s'est ensuite parée des habits de la science : les anatomistes du cerveau et les psychanalystes s'y retrouvaient puisque ils avaient une conception hiérarchisée du cerveau", commente Laurent Bègue, professeur de psychologie sociale à l'université de Grenoble.
ZE BRAIN L'intelligence ne dépend pas de la génétique mais de l'aptitude à utiliser pleinement les possibilités de notre esprit. L'important est la façon dont nous traitons et organisons les informations, dont nous interprétons nos expériences, et plus globalement, la façon dont nous nous représentons la réalité. Voici donc quelques clés pour devenir "plus intelligent"... Penser par soi-même Ne pas faire son jugement en fonction de celui des autres, et ne pas prendre pour argent comptant ce qui est dit ou suggéré par les médias, la publicité, les responsables politiques. Celui dont l'esprit ne produit aucune pensée autonome et ne contient rien d'autre que ce qu'on y a déversé est pour ainsi dire "sans valeur ajoutée". Ecouter son intuition L'hémisphère droit du cerveau possède des capacités intuitives qui sont complémentaires de l'intelligence rationnelle du cerveau gauche. L'intuition est capable de prendre en compte une multitude d'éléments dont nous n'avons pas conscience. Penser en 4D
Les 4 dons des personnes hypersensibles Quand on est en minorité face à une grande majorité, on se sent immédiatement désavantagé, et envahi par la peur. Pourquoi perçoit-on les choses différemment ? Pourquoi souffre-t-on plus que les autres ? Pourquoi trouve-t-on refuge dans la solitude ? Pourquoi observons-nous et sentons-nous des choses que, généralement, les autres ne remarquent pas ? 20% de la population est hypersensible, mais, ce n’est pas un défaut. Il est fort possible qu’au cours de votre vie, et plus particulièrement lors de votre enfance, vous ayez eu pleine conscience de cette distance émotionnelle, et de la façon dont, parfois, vous avez eu la sensation de vivre dans une sorte de bulle d’étrangeté et de solitude. L’hypersensibilité est un don, un outil qui vous peut vous permettre d’approfondir les choses et de faire preuve de plus d’empathie. C’est Elaine N. Vous devez vous sentir chanceux de disposer des 4 dons suivants: 1. Leurs yeux capteront des choses dont les adultes ne tiennent même pas compte. 2. 3. 4.
L'intelligence à l'école L'intelligence en tant que faculté de résolution de problème est, selon l'auteur, trop rarement sollicitée à l'école. Tout apprentissage est le fruit d'une démarche intellectuelle qui part d'un questionnement concret. Les situations pédagogiques font trop souvent abstraction de ce postulat de base. Sans un mot, surprise oblige, le jeune professeur a distribué des feuilles A4 à ses élèves de 6e. - « Pliez cette feuille en deux, n'importe comment ! » Les élèves plient. - « Pliez une seconde fois en mettant les bases bord à bord ! Les élèves replient. - « Dépliez et observez les lignes obtenues ! Les élèves déplient. - « Repliez le tout : qu'obtenez-vous ? Les élèves replient. - « Qu'avez-vous obtenu ? Silence. - « Une équerre, vous ne voyez donc pas !!! Moment de joie intense de la part du professeur. Celle-ci est pourtant une qualité reconnue et admirée par tous, et plus encore peut-être par l'école elle-même. « Toute leçon doit être une réponse » Du problème au concept
Un approfondissement de la théorie de l'équilibre structural : le graphe des parentés Le graphe des liens (voir Flament, 1963 ; Harary, Norman et Cartwright, 1965) C’est le graphe en quelque sorte classique sur lequel s’élabore la théorie de l’équilibre structural. Nous nous limiterons, dans le rappel de cette théorie, à des emprunts à la psychologie sociale et éviterons les applications de cette théorie à diverses réalités sociales comme les relations entre villes ou les réseaux sociaux de communication comme le web. Le graphe des liens de la théorie classique est donc le graphe duquel nous sommes partis. Il est constitué : d’une base dont les sommets représentent des entités psychologiques (concepts de l’univers sociocognitif, personnes d’un groupe…) ;d’un ensemble d’arêtes reliant des paires de sommets de la base. Sur un tel graphe, la théorie de l’équilibre structural définit de nouveaux concepts : une triade, qui est un sous-graphe réduit à trois sommets ; un quadruplet, qui est un sous-graphe réduit à quatre sommets, etc. Figure 1 N.B. Le graphe des parentés Tableau 2
Les émotions, obstacle ou source d'énergie vers l'autre ? C 'est pour tendre vers cet objectif qui caractérise le mouvement Pax Christi, que je propose de mettre en perspective quelques repères théoriques essentiels et d'orienter le projecteur sur celles des émotions qui peuvent jouer un rôle particulier dans cette dynamique de paix pour un monde moins violent. Que savons-nous des émotions ? Parmi les définitions colorées par leur époque et leur posture idéologique, je m'appuierai volontiers sur celle-ci. Elle offre l'avantage de présenter un visage de complexité, dans une alchimie entre intérieur et extérieur, corps et psyché, soi et l'autre. " Une émotion est la résultante de manifestations psychiques impliquant l'inconscient avec des retentissements corporels (neurovégétatifs, voire moteurs), largement involontaire et induite par une réactivité personnelle à des événements intérieurs ou extérieurs à soi-même ." Les émotions, un territoire partagé avec l'animal Un modèle possible d'interactions entre cognitif et affect Emotions collectives
Quand les émotions sont refoulées, le coeur souffre – Nos Pensées Personne ne peut faire une introspection et ne voir que du vide au fond de soi. Même le vide que nous pouvons ressentir au fond de nous a des limites. Nous sommes tous remplis de personnes, de moments, de détails insignifiants qui forment notre quotidien, et qui font de nous les personnes que nous sommes. Toutes ces choses, petites et grandes, nous ont fait mûrir dans notre existence. Certaines personnes ne parviennent pas à se départir des absences des êtres chers qui les hantent, mais ne sont pas vides pour autant. Nous avons tous au fond nous-mêmes des émotions qui nous font du mal. Ecoutez-vous et exprimez tout ce qui vous fait du mal S’il y a bien une chose qui nous distingue des animaux, c’est la faculté de parler. Il faut mettre des mots sur les choses que nous ressentons, afin de leur donner un lieu pour s’exprimer. L’une des meilleures initiatives à prendre est de s’exprimer à voix haute, de dire ce qui nous fait du mal, de laisser échapper toute cette souffrance.
Christophe Scudéri : “Université et psychanalyse : “« L’unité de la psychologie » par Daniel Lagache (1949)” | La philosophie au sens large 31 mai 2010 Si l’exercice de la psychanalyse est le plus souvent adossé à une inscription du dit « analyste » à l’annuaire d’une école analytique, le titre reste pour autant libre de tout droit. Seule obligation qui est une obligation « morale » ou éthique, s’être soumis personnellement à l’épreuve du divan. Au regard de cette logique qui est une logique de l’Inconscient empêchant que qui que ce soit ait pour « plan de carrière » de devenir analyste, il est normal que la psychanalyse aitrésisté à son assimilation pure et simple par les instances officielles dont la première, l’Université. Mais, pourquoi cet ouvrage ? Comme le précise une note du livre de 1949, son propos est le « le développement de la leçon inaugurale du cours de Psychologie, professée à la Sorbonne, le 28 novembre 1947 » par D. Or, la petite histoire que nous a rapportée M. - Un premier temps : la première version, celle publiée en 1949 chez F. La première version de 1949 Or, comme le rappelle M. 1) Thèse : le donné
Le syndrome d'aliénation parentale, une menace pour la cohésion familiale Le syndrome d'aliénation parentale, une menace pour la cohésion familiale in "Ethique et Familles" Tome 1, E Rude-Antoine & M Piévic, edit. L'Harmattan, Paris, 2011, p 155-176 Jean-Pierre Cambefort Résumé Le syndrome d'aliénation parentale, ou S.A.P., est l'embrigadement et/ou la manipulation d'un enfant ou d'une fratrie par un parent contre l'autre, au moment ou après une séparation conflictuelle et a souvent des conséquences irréversibles chez l'enfant. Le syndrome d'aliénation parentale : menace pour la cohésion familiale Jean-Pierre CAMBEFORT Psychologue. Administrateur de l'Association des Maisons de la Famille de la Réunion.Ecole des Parents et des éducateurs. Formateur en sciences humaines et sociales. 1-Evolutions et bouleversements familiaux de la modernité Dans les sociétés post industrielles, le mot "famille" ne s'énonce presque plus au singulier, tant sont nombreuses les formes d'organisation de ce que l'on nommait avant "la" famille. a- Description "C'est ainsi, je le sais".